Tu arborais un sourire fière et une démarche assurée. L'idée qui avait germé au creux de ta tête quelques jours auparavant fit finalement floraison. Aujourd'hui étant le jour de la St Valentin, tu aurais du le passer devant la télé entrain de pleurer toutes les larmes de tout corps sur ton rude célibat. Bref, cela aurait du être une journée abominable, merdique, pitoyable. Mais il se trouve qu'aujourd'hui, ce ne serait pas le cas. En effet, tu avais planifier une petite surprise pour ta femme de coeur, Holly akka honeyboo my wifey. Elle sera ta valentine, celle qui aura l'honneur de recevoir une rose de ta part. Enfin, une rose... Non, tu avais fais plus originale et plus unique. Venant d'une famille riche, tu eu le luxe de te payer l'un des meilleurs floristes d'Angleterre pour fabriquer l'un des plus beaux bouquets imaginables, muni des fleurs les plus rares et les plus délicates. Mais ce n'était pas tout. Un bouquet, c'est bien, mais pour Holly, il faut plus. Une fois celui-ci fais, tu y avais glisser quelques fleurs de cannabis, les plus fortes que tu eu pus te procurer. Si cela ne la rendait pas heureuse, c'est qu'elle avait chopper un virus ou une maladie grave.
Les gens se retournaient sur son passage, poussant des hoquets d'admiration ou de légers grognement. Victoria avait on ne peux plus soignée son apparence, armée d'une robe à la dernière tendance et d'un maquillage irréprochable. Perché sur ses talons haut au coloris bleu, la rose déambulait dans les couloirs dans le seul but de montrer à tout autre étudiant à quel point Queen B rayonnait en ce jour ci. Que le fais d'être célibataire ne l'abattait absolument pas. Que tout était propice à la mettre en valeur. Sourire satisfait en voyant la jalousie ou l'envie se peigner sur le faciès de diverses individus, Victoria poursuivait sa route jusqu'à son cabanon, où elle y trouverais Holly. Bouquet en main, elle souffla une mèche de ton visage, se re parfuma un peu et ses phalanges vinrent toquer contre le bois de la porte. Très vite, une brunette vint lui ouvrir. Une brunette dont elle reconnaitrait le visage entre milles. Holly, ta Holly et aucun moyen pour vous la prêter.
« SURPRISE ! Je viens t'offrir ce bouquet en guise de notre amourrrr. Le refus est bien évidemment non toléré. »
Clin d'oeil, Victoria lui tendis le bouquet en question dont se dégageait un délicieux parfum, un large sourire aux lippes.
Silencieuse, Maëly fixait sa fleur et sa boite de chocolat avec un air pensif. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire avec tout ça en fait... Elle ddevait déclarer sa flamme avec la fleur .. et refuser avec le chocolat.. Refuser ça n'allait pas être dur.. Car de toute manière personne voudrait d'elle.. Mais c'était la fleur qui compliquait un peu la chose. Elle était beaucoup hésitante sur ce qu'elle devait faire et encore de la manière qu'elle allait devoir le faire. Elle regardait la fleur en silence, assise sur son lit. Elle retourna sur le ventre sur son lit... Pensive, elle bougeait ses jambes de haut en bas.. Avant d'émettre un soupire.. À qui la donner.. Il y avait plein de filles qu'elle regardait de loin gênée, certaine de n'avoir aucune chance avec la plupart d'entre elles. Au final, il ne lui restait qu'un vrai choix. Il y avait bien une fille qui faisait plus vibrer son coeur que les autres.... Mais ça la gênait beaucoup...
Après un long moment de réflexion, elle finit par se lever sur son lit. En vitesse, elle s'habilla vite fait avec son uniforme car elle n'avait pas envie de perdre de temps. Ainsi prête, elle sortie pour se diriger vers la cabane de la fille qu'elle convoitait. Mais arrivée devant, elle figea un moment et hésita à fuir après avoir cogner à la porter. Un instant passe, puis elle remarque la jolie fille qui lui ouvre... Elle devient rouge et finit par tendre sa rose gênée vers Roxy , baissant les yeux.
'' Roxy... Je... je souhaiterais que tu sois ma valentine.. Car.. je pense à toi tous les jours et que j'aimerais être... avec toi.
Elle était complètement rouge, tournant son visage pour tenter de camoufler sa gêne avant de reporter son regard vers Roxy en tentant de sourire.
'' Alors ? Tu voudrais bien être ma valentine que je pourrais chérir ?
Etalée sur le canapé dans ma cabane, entrain de matter un disney. Vêtue d'un gros sweat, d'un jogging et d'une paire de grosses chaussettes d'hiver, les cheveux attachés en chignon. bref habillée comme un sac avec une gueule de zombie en gros. Je me gave tranquillement de chocolat. Aujourd'hui c'était la saint valentin. la fête des amoureux. lol. la fête de la connerie oui. bon ok j'avoue, je raj parce que je suis seule au monde et que les gens sont là à fêter leur amour alors que moi, à part de la souffrance de ce côté là, j'ai pas connu grand chose. Non mais c'est chiant merde, ils pensent pas aux gens comme moi ? En plus de ça, le directeur avait fait distribuer une rose et une boite de chocolat à chaque élève. Genre la rose pour déclarer son amour, la boite de chocolat pour refuser celui de quelqu'un d'autre. Quelle connerie. Bon comme personne n'allait avoir l'idée stupide de m'offrir sa rose, j'avais déjà mangé la boite de chocolat. Ils étaient bons, c'était déjà ça. Quant à la rose j'l'avais foutue dans un verre d'eau histoire qu'elle meurt pas. J'aurais des remords si je laissais ce petit être sous ma responsabilité mourir, vraiment.
M'enfin bon, j'ai plus de chocolat. Fuck. Je me lève en soufflant pour me diriger vers la cuisine histoire de prendre un paquet de chips ou un truc du genre (oui je mange que des cochonneries. j'aime ça.) lorsque j'entends quelqu'un frapper à la porte. Je grogne. Je m'arrête de marcher vers la cuisine pour fixer la porte. Je la regarde. Puis je regrogne et marche vers elle. J'aurais voulu laisser frapper mais je suis un peu trop curieuse. Je veux voir qui vient m'embêter. Sans doute quelqu'un qui cherche un de mes colocataires pour lui offrir une de ces roses là. Ca serait rigolo. BREF. J'ouvre donc légèrement la porte pour voir qui il y a derrière. Maëly. Je la fixe un instant puis ouvre un peu plus la porte avant de remarquer la rose...qu'elle me tend. Je regarde un instant la rose, les joues rosées puis je relève mon visage vers le siens, lorsqu'elle prend la parole.
Roxy... Je... je souhaiterais que tu sois ma valentine.. Car.. je pense à toi tous les jours et que j'aimerais être... avec toi.
Elle marque une petite pose afin de cacher sa gêne, tandis que je reste plantée là à la regarder sans rien dire, rouge comme une tomate.
Alors ? Tu voudrais bien être ma valentine que je pourrais chérir ?
Je baisse légèrement mes yeux, puis regarde vers l'intérieur de ma cabane avant de reporter mon regard sur Maëly. J'ai plus de chocolats pour refuser de toute façon. Puis la pauvre, elle a quand même fait le chemin jusqu'ici pour m'offrir sa rose. De toute façon, j'ai pas grand chose à y perdre. Je saisis doucement la rose en regardant celle-ci les joues rouge.
Hm... je...j'peux rien te promettre mais...hm..si tu as du temps à perdre.. je veux bien...t'accorder un rendez-vous
Je relève légèrement le regard vers la jeune fille devant moi. Je suis vraiment très gênée buhuuu. Au moins ma rose se sentira moins seule dans son verre...
Rp réel, le lieu de rendez-vous est la salle des miroirs au 5ème étage et il a été proposé par Malory M. Sully. ♥
Ethan Valtena a écrit:
Les derniers temps n'avaient eu que peu de saveurs agréables pour moi. Mais Ruthel, ah ce brave, qui ne s'est jamais opposé a Ranker... Ce brave me remettait du baume au cœur. Revenir le jour de la saint Valentin et découvrir son nouveau jeu m'amusaient. En tout cas, plus que les fameux cookies. Dès que je pus, je partis déposer la rose chez Kathleen Kingsley avec ce petit mot :
"Rejoins-moi dans les jardins pour me donner ta réponse. Dès que tu me verra, tu saura que c'est ma rose."
C'était peut-être une bêtise. Peut-être qu'elle verrait quelqu'un d'autre en route. Peut-être qu'elle avait déjà quelqu'un. Cependant, j'avais regretter un temps de ne pas m'être lancer avant. Je me rendis ensuite sur le 'lieu de rendez-vous'. Non, que je pensais rester là bas, mais ce lieu de rencontre me paraissait très approprié. C'était, et c'est toujours d'ailleurs, le lieu de notre première rencontre, de notre premier contact.
Je m'assis sur ce sol d'herbe froide, résigné à attendre l'arrivé de la E. Ça aller certainement encore gueuler. Elle chercherait certainement encore a menacer. Elle aurait probablement raison. Mais elle comme moi, nous savions que nous nous apprécions. La question était de savoir si nous en resterions à cette simple distance...
La Saint-Valentin. Une Fête catégorisée de débile par l'adolescente. C'était un jour à vomir pour elle. Voir tous ces couples éphémères se former, se tenir la main, se dévorer des yeux... Toute cette niaiserie qui pulluler de partout. Elle, elle reste seule avec sa mauvaise humeur. Kathleen n'est pas concernée par tout ça. Ou plutôt, elle ne devrait pas être concernée. Comme lors du dernier bal de Noël. Ruthel s'en était mêlé et elle avait vécu l'une de ses pires soirées au pensionnat. Aujourd'hui, comme ce jour là, Kathleen a un mauvais pressentiment. Elle a bien envie de se débarrasser de la rose et des chocolats, mais dieu seul sait ce que le directeur à prévu si elle faisait ça. Alors elle les a caché, en attendant la fin de ce jour pourri.
Après un jogging, elle rentre dans sa cabane, se douche et prend de nouvelles affaires. Et elle finit par voir la rose sur sa table de chevet. Un regard interloqué. Il y'a un mot accroché à la fleur. Ce n'était pas possible. Elle relit plusieurs fois la phrase, l'invitation... Mais elle n'y croit pas. Personne ne pouvait lui offrir de rendez-vous. Pas avec son caractère de merde, pas avec son allure grossière. Kathleen rejetait presque tout le monde.* Il sait peut être trompé ou il est profondément maso.* Il n'y avait que ces deux possibilités. L'idée d'avoir un rendez vous amoureux était inconcevable pour elle et aucun de ses potes ne lui ferait ce genre de blagues. Délaissant la rose sur son lit, elle sort de son cabanon.
Elle n'a pas prit les chocolats, elle a momentanément oublié que c'est le seul moyen de claquer un refus. Décidément perturbée. Mais en voyant la gueule qu'elle tire, la personne aura certainement comprit sa réponse. Elle va régler le problème, vite fait bien fait... Du moins, c'est ce qu'elle croit. Arrivée près des jardins, elle commence à regarder autour d'elle. Ses pas ralentissent, elle voit des p*tains couples partout. HGUIQFHRUQFHJ. Colère. On l'a fait tourner en bourrique, voilà. Elle a oublié aussi que les jardins étaient le lieu privilégié pour se déclarer à Prismver. Des cheveux violets. Son regard s'arrête sur une silhouette qu'elle connait bien. Une silhouette qui lui a manqué aussi.
Surprise. Ethan. Ici, maintenant ? Elle s'est arrêtée en plein milieu du chemin. La colère s'est envolé pour laisser place à l'incompréhension. Ce type était parti, sans rien lui dire. Pas de nouvelle depuis deux mois... Alors que Kathleen et lui se rapprochaient, alors qu'il était surement l'un des seuls à qui elle est fait des excuses, qu'elle avait laisser tombé les barrières entre eux définitivement. Elle reprend son élan et se stoppe devant lui, serrant les poings. Elle veut des explications, mais elle ne sait pas par où commencer.
- Ethan ? Me dit pas que c'est toi qui...
La fin de sa phrase reste en suspens. Si, c'était lui. Forcément. Elle lui offre un sourire pincé, comprenant ce qui va se passer ensuite.
- J'ai pas les chocolats... Tu vas devoir te coltiner ma compagnie pendant une partie de la journée.
Connard. Ce type est un connard, elle le sait. Alors pourquoi elle a autant envie d'être avec lui, maintenant ?
Déjà à la base, ce n'était pas le meilleur jour du monde pour Tony. Il avait passé la moitié de la matinée à retrouver son ordinateur portable : un petit rigolo de D avait trouvé, par un miracle du destin, sa planque, et en avait extirpé l'engin qu'il avait tenté de déverrouiller. En vain, bien sûr - personne dans ce pensionnat n'était capable de mettre à mal ses capacités informatiques - peut-être qu'une ou deux personnes lui poseraient problème, mais sans plus. Et donc, bien qu'amusé par cette élan de témérité de la part du jeune homme, ça l'avait tout de même ennuyé de se balader pour une raison si stupide dans le pensionnat.
Autre chose à signaler ? Ah oui. La rose et le chocolat qu'il avait reçus - la rose avait fait office de décoration du lavabo du cabanon tandis que les chocolats avaient terminé leur pitoyable vie dans le ventre du monstre. Et alors ? Personne n'allait le demander de toute façon. Tony s'en fichait, et c'était bien mieux comme ça. Il avait beau éprouver une certaine curiosité à l'égard de cette fête, il n'allait pas perdre son temps avec pour autant. Du coup, il errait dans les couloirs, sans but, jusqu'à ce qu'une chose lui saute sur le dos en lui tendant une rose ?
Sérieusement ? Elle y croyait ? Tony aurait voulu se défouler sur cette nana. Il aurait voulu lui offrir son sourire le plus moche avant de punir cette petite chose qui, vraisemblablement, ne le connaissait pas. Seulement, il avait oublié une chose, d'autant qu'il avait mangé tous ses chocolats.
Les règles de Prismver sont absolues.
Bon, dit-il en retenant un rire. Allons voir ce que tu me proposes.
Sans même se défaire de la demoiselle qui traînait sur son dos, se décida à l'amener vers l'endroit le plus galant du monde. Histoire de la torturer en paix.
La saint Valentin... Le jour reconnu de l'amour. Raven avait réfléchit, longtemps. Il ne connaissait pas très bien cette fille, dans le fond, elle était d'un naturel silencieux, au fond. Elle était là, comme une flamme au milieu de la piste, si chaude et si colorée, mais qui se dérobe si bien au regard des autres... Il ne savait que peut de chose sur elle, il n'avait ni connaissance de son passé, ni d'une quelconque famille, il ne connaissait ses fréquentations que par observation, il ne savait pas ce qu'elle aimait. Il savait juste que cette fille l'avait sonné au premier regard, qu'elle avait une voix aussi magnifique qu'elle l'était, qu'elle n'avait pas la réputation d'être chaste, mais aussi... Que ses lèvres étaient monstrueusement délicieuses et douces, sucrées, et que sa langue si chaude avait le pouvoir de le transpercer et le dérégler, au point de créer des frissons dans sa nuque et qu'elle était plus puissante que la gravité. Il était toujours le même, mais quelque chose avait changé. Il ne comptait plus le temps en minute, mais en battement de coeur, un par seconde, ou peut-être deux, quelques rythmes réguliers puis saccadés. Son visage, son odeur, son être... Les rouages de son coeur manquaient de l'huile qu'elle lui avait offert par cet unique baiser, ô combien intense. En lui tournait la même mélodie, celle d'une boite à musique douce et moqueuse, autant que l'est sa petite danseuse, parsemée des percussions de son coeur, celles sur laquelle il n'a aucune maitrise. Quelle douce souffrance, cette vulnérabilité... Et si cruelle...
Raven avait donc envoyé un simple message à Blaze, en lui demandant de le rejoindre dans le jardin, sans lui préciser pourquoi. Il n'allait pas le lui dire, mais ce lieu n'était pas choisi par hasard. Cette endroit, comme l'internat, était rempli de fleurs différentes et aussi jolies les unes que les autres, mais aujourd'hui, c'était la rose que tenait Raven entre ses doigts qui était spéciale, unique, comme Blaze l'était parmi les autres filles à ses yeux. Mais il n'allait pas dire ça, c'était trop niais... Mais il le pensait très fort. Il ne s'était pas habillé de façon différente de d'habitude, et il ne changerait pas d'attitude, il n'aime pas ce qui est solennel. Plus les horloges de son coeur lui indiquaient que le moment de sa venue approchait, plus il commençait à hésiter. Après tout, pourquoi ne pas lui dire "Oh regarde, c'est des fleurs, c'est trop bien les fleurs !! Viens on se jette dedans !!" ? Mais non, il fallait qu'il lui fasse savoir. La jeune femme en question fit donc son apparition dans les jardins, et il regretta de ne pas avoir fait l'esquisse d'un discours, parce qu'il ne savait pas quoi dire, vraiment. Pourquoi toujours vouloir improviser, Raven... ? Il dissimula alors cette unique rose qu'il avait, voulant d'abord prendre la parole. Il lui sourit une fois qu'elle fut plus proche de lui, essayant de retenir son regard d'aller dévorer ses lèvres à la place des siennes, et le plongea dans celui de Blaze. Même son regard était à tomber par terre... Il se racla un peu la gorge, nerveux, et lança un simple petit "salut", ravalant sa salive. Le souvenir encore brûlant de ce baiser l'envahissait, il se sentait déjà défaillir, son coeur commençait à battre à l'envers, comme si ses aiguilles voulaient remonter le temps et retourner dans ce placard pour l'embrasser à nouveau, même si pour elle ça n'avait sans doute été rien d'autre qu'un jeu. Il avait sentit quelque chose de puissant à ce moment là, si fort que la mécanique de son coeur avait failli lâcher, et le laisser inerte à jamais, son seul coucou rentrant et sortant pouvant faire office de tombe. Il ne savait pas ce qu'elle avait ressenti, et il se doutait bien qu'il ne serait pas le premier à lui offrir une rose. Il se sentait carrément looser en fait. Mais il devait lui donner cette rose. Il dévoila délicatement la rose qu'il avait amené à Blaze, en la faisant tourner nerveusement, comme cette danseuse de boite à musique, les mains discrètement tremblantes. Il la regardait cette fleur unique, à défaut de vraiment pouvoir regarder Blaze.
-Bon ben voilà je t'ai demandé de venir ici, d'abord merci d'être venue, eum... Oui donc pour ben... Te donner ça.
Il lui tendit un peu maladroitement sa fleur, son coeur s'emballant, et pria pour que la moiteur de ses mains ne se voit pas.
-Je suppose que je ne suis pas le premier à t'en donner une, mais... Voilà, tu es la seule fille à qui j'ai envie de donner cette rose. Ce n'est pas très original mais... Enfin sinon y a aussi ça...
Il sortit sa gameboy de sa poche, cette éternelle petite gameboy, contenant une version rouge de pokemon sur laquelle il jouait lorsqu'il n'avait rien de mieux à faire, souvenir de gosse, et l'alluma. Après quelques petits bidouillages, il montra l'écran à Blaze, sur lequel elle pouvait lire dans l'ordre le nom de ses pokemons.
"Hey Tu M'accordes Un Rendez Vous ?"
Il se sentait si bête, mais il voulait compléter cette sorte de déclaration par quelque chose de plus personnel, et cette gameboy était parfaitement adaptée à la situation. Il resta alors silencieux, attendant la réponse de Blaze, nerveux au possible. Au pire, il aura des chocolats à bouffer devant sa télé quand il jouera à Zelda Majora's Mask...
Fumer qui se perd dans le vent, nouvelle taf, franchement, plus tard, c'est cette clope qui te tuera. Gorgeant tes poumons de cette drogue néfaste, tu regardes l'heure à ta montre. La journée commençais seulement et il te restait déjà que trois chocolat dans ta boite.
Fille inaccessible, ouais, c'est ça, tu refuses que l'on s'approche trop de toi, tu te refuses d'être trop proche que quelqu'un, tu ne veux pas souffrir, tu veux juste prendre ton pied et vivre en solitaire. Si triste à ton âge de détester l'amour autant que ton ex, tellement triste que tu brises le coeur de certains.
Trois malheureux chocolat...a ce rythme, tu vas devoir aller demander une autre boite afin de renvoyer boulet ces étudiants subjugué par ta beauté. Pourquoi tu refuses de te casser enfin ? Simplement parce que tu veux t'amuser. Tu es jeunes, tu profites de la vie, tu vis pour toi et franchement avoir un copain serait te privé de toute cette liberté que tu as.
Tu es bien trop libertine pour t'enchaîner dans une relation sérieuse et durable. T'es une briseuse de coeur, une bitch comme dirait certain, mais t'es fière de ce que tu es, t'assume totalement. On a qu'une vie et passé ta vie à être une coincé c'est pas ton truc, tu as besoin de nouvelle expérience, tu veux goûter à des sensations nouvelles.
Soif de découverte, soif de liberté...ouais c'est triste de se dire que t'es surtout une pauvre fille qu'essaye de se protéger, car elle ne veut plus souffrir. Ah l'amour...c'est jolie, mais ça fait très, très mal. Clope fini, elle tombe au sol et fini par être écrasé de ton pied.
Au moment même ou t'allais rentrer, tu vois un LMS approcher. Tu le regardes et tu fronces un peu les sourcils avant de t'abaisser pour récupérer le bout de papier qui t'étais destiné. Te relevant commençant à ouvrir le bout de papier, tu jettes vite fait un regard au lezard qui commence déjà à partir.
Rentrant dans ton cabanon tout en posant les yeux de nouveau sur le bout de papier, tu commences à lire lors que tu t'arrêtes net. L'émetteur de ce mot n'était autre que Raven, un mec avec qui tu as eu l'occasion de discuter quelques fois, collaboré avec lui à la fête de noël.
Mais le souvenir le plus frappant avec lui c'est ce baiser échanger lors d'une soirée alors que vous étiez enfermé dans un placard. Déjà que ce mec t'attire beaucoup physique et qu'il attire aussi ta curiosité, tu es d'autant plus troubler de l'effet que tu as ressentit lorsque t'es lèvres ont touché celle du jeune homme.
C'était étrange, très étrange, c'était comme un feu d'artifice, un mélange de saveur et d'émotion en un seul baiser. Tu n'avais pas ressentie ce genre de papillon dans le ventre depuis Jor' et cela commençais à te faire flipper. Alors qu'il te demander de le rejoindre dans le jardin, tu commences à te question sur la nature de ce mot.
C'est la St Valentin, tout est possible et franchement tu n'as pas très envie de devoir lui donner un rateau du siècle, mais d'un autre côté, tu sais très bien que tu es attiré par lui. Que faire ? Tu ne sais pas. Tu te questionnes de plus en plus, t'hésites, un long moment.
Finalement tu viens à te demander ce que tu ressentais vraiment pour le jeune homme. Tout était tellement mélangé dans ta tête, c'était un bazars monstrueux. Il est inconcevable que tu sois amoureuses, non, non, impossible, tu refuses, c'est trop dangereux, t'es bien assez détruite comme ça.
Pour toi, les hommes sont tous pareils, il aime baiser et point. L'amour n'hésite pas, c'est qu'une connerie, inventé par on ne sait qui et ce on ne sait qui mériterait bien ton poing dans la gueule. Après un moment de réflexion à te convaincre que ce n'était pas la peine d'imaginer une seule fois qu'aimé de nouveau te ferais du bien, tu te décides d'aller rejoindre Raven.
C'est un pas lent, sur de toi que tu te diriges au jardin, t'es pas du genre à fuir, t'es du genre bagarreuse et c'est pas quelque attirance, ce feu d'artifice qui vont te faire peur, tu vas affronter le regard de Raven et mettre les choses aux clair avec lui. Cependant, tout ne se passe pas comme on veut.
Une fois devant Raven, tu lui lances vite fait un sourire en coin pour répondre à son salut et quand tu vois la rose, tu ne peux t'empêcher d'être un peu surprise. T'écoutes attentivement le jeune homme, regardant de temps en temps la rose. Alors qu'il commence à s'expliquer, il sort une console et te la montre.
Après cette petite lecture, tu sens ton coeur battre. Un rendez-vous, tu ne comprends pas vraiment sur le coup, mais tu te doutes bien qu'au final, ton charme avait touché ce pauvre jeune homme. Hésitante, tu détournes le regard, essayant de garder le contrôle sur t'es réaction. Ne te laisse pas attendrir Blaze, tu vas encore souffrir.
Tu te répétais de dire non, tu voulais lui dire et t'étais prête à lui dire, cependant, le coeur à ses raisons que cette raison ne comprend pas.
-Ecoute...je suis très flattée dont la façon tu me demandes un rendez-vous...c'est plutôt original on va dire...donc je pense...que je peux bien t'accorder ce rendez-vous.
Tu prends la fleur dans tes mains et tu souris à Raven lui fessant un clin d'oeil avant de commencer à partir de ton côté. Bien sûr que ce rendez-vous risque d'être un tournant dans l'histoire.
14 février. La Saint-valentin. ugh. Mon dieu que ça sert à rien ce machin. On va quand même en cours. Heureusement, cette année c'était tombé un samedi. Et puis ça nous fait une occasion de se bourrer laggle généralement. lol. Mon réveil sonna. SPICE GURLS U KNOW. If you wanna be mah loveeer yOU HAVE GOT TO GIIIIVEEEEEEEE. Je gueule comme d'habitude. Plein de chansons défilent; du spice girls, des chansons en portugais, du Lana Del Rey, bien sûr, et plein d'autres trucs qu'une personne normalement constituée au niveau du cerveau ne met pas le matin à huit heures le matin. Bizarrement, j'étais de ces personnes qui étaient de bonne humeur et appréciaient cette journée malgré le célibat. J'étais libre. De me bourrer la gueule avec ma Vic-chou jusqu'à en vomir, de fumer tout le shit que je veux, bz sans honte et manger la moitié de la cuisine. BAH QUOI, cey vrai en plus. Et puis généralement il y a bien une personne ou deux qui viennent me proposer d'être leur valentine alors hin. Et ça changera probablement pas today. Aucune putain d'idée qui par-contre. Donc je me réveille, je chante gueule comme une tarée -pour changer- et je vérifie s'il y a quelqu'un : personne dans la cabane. Super. Je pars avec la musique et danse un peu puis me jette sur mon lit. Gros smile à la face. Je sais pas pourquoi. Puis j'entend quelqu'un frapper. Je me jette sur la porte, évidemment et ...
-MA WIFEEEEY FDKFDJKDFJKDFJKDJFK VIC MA CHÉRIEE DFKG HIIIIGJFJ -squeals-, do it like a fangirl. -SURPRISE ! Je viens t'offrir ce bouquet en guise de notre amourrrr. Le refus est bien évidemment non toléré.
Puis elle me tend le bouquet. OH PUTAIN CEY BO. Je savais que ma Victoriiaa allait pas me laissey tomber. Tout plein de couleurs, des jolies fleurs, on pouvait pas s'attendre à moins de la Queen Bee. MA queen bee. à moi et seulement à moi. Bon okay j'arrête je suis chiante. Je prend le bouquet et l'hume. Oh putain comment ça sent bon. Et comment cey trop parfait. Oh tiens, elle est déjà habillée en plus, moi qui n'étais réveillée que depuis au maximum vingt minutes. Elle était jolie. Comme d'habitude.
-Comme si j'allais refuser ma queenie. Huhu. OH PUTAIN DE MEYRD SSBSLDLSDL CEY TELLEMENT BEAAAAAAAAAU OMG JE T'AIME. Puis en m'approchant un peu, je remarque une odeur différente. Je met ma main dans le bouquet et tasse quelques fleurs qui masquaient l'odeur. Et. -Oh mon dieu. T'as pas. OHH. PUTAIN c'est de la bonne. putain oui c'est de la bonne, ça se voit à l'odeur. En même temps, de la part de Victoria.. -Oh mais t'es déjà habillée. J'aime ta robe. JE DOIS M'HABILLER AUSSI HIHIHUGHHGJHGU. Putain, la JOURNÉE S'ANNONCE BIEN.
-Oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieu.
Je la prenais par la main pour la tirer à l'intérieur. J'accourus vers mon sac puis sortis mon porte-feuille. Ça faisait un bout que je n'étais pas sortie et donc, le fric, ça s'accumule. Et pas pour rien. SKFKDFLF CETTE JOURNÉE VA ÊTRE GÉNIALE. Je me retournais vers la tignasse rose.
-OH MON DIIIIEU JE SAIS C'QU'ON VA FAIRE. D'abord. On va aller déjeuner au resto. J'en ai vu un nouveau, ils vendent des crêpes, on pourrait les servir à dieu il pleurerait de joie. OKAY. ENSUUUIIITE, on va fumer de ces bébés je pris les fleurs de cannabis pour lui montrer. -TOUT EST PLUS MARRANT QUAND T'ES GELÉE. Bah quoi. Cey vrai.
-APRÈS, je sais pas c'qu'on fait, on pourra juste parler aux gens, stalker et gossip. Mais on finit la journée en se bourrant lagueul. lol. J'AI SPOTT' UNE BONNE BOÎTE, pas un truc de pauvres. C'est free for all. Je crois. Au pire on se débrouillera pour entrer, y'a du peuple on nous remarquera pas. Mais d'abord, je dois m'habiller et me maquiller gniiii. Tu vas m'aider hein, ma Vic-chou ?
Je lui tends mon fer plat en souriant comme une débile, puis je m'assois devant mon miroir et ouvre mon maquillage. Enfin. Celui de Zahia, lol. Elle me tuera pas si j'en prends un peu hein. Ou peut-être. Je sais pas. AU PIRE ELLE S'EN RENDRA PAS COMPTE HAHAHAHA okay ma gueule; c'est pas ma faute c'est elle qui a les meilleures couleurs roses étou hein. Fallait pas. Donc je commence à me maquiller tandis que Victoria m'aide pour les cheveux (...) Je m'habille; je prends une jupe moulante bien sûr. lol. en 'faux jean' (en gros le jean flexible avec la bonne couleur. Comme les Jeggings.), un espèce de haut sans manches blanc, un peu comme le haut d'une robe de marié avec des compensés bleues, presque noires. Étrangement, je portais pas ce genre de vêtements si souvent. Les jupes moulantes et les hauts so rosy-girly, pas tant que ça pour moi. Enfin si, parfois. Enfin en fait, on s'en bat les couilles.
C'était la Saint-Valentin après tout, alors le thème rosy à fleurs à coeurs girly, c'était au menu et pas qu'un peu. Donc le temps que je me sois habillée et préparée, je regardais l'heure. Environ neuf heures et demi. Presque moins-quart en fait. C'était beaucoup mais on s'en fout, on s'est tapées des barres et on s'est amusées. Maintenant, mon estomac criait à la famine. Et on sortait, heureusement. Je fermai la porte de notre cabane et je serrai Victoria dans mes bras. #sohomolul Non mais je l'ai pas enlacée du calme. Et puis ley meufs ça se câline plus que les mecs, disons. Je lui aurais limite frotté mon poing contre sa tête si elle n'avait pas passé au moins deux heures sur sa coiffure. lol. VIRILE JE SUIS.
-Pitaaaain tu sais qu'aujourd'hui va être une journée superbe, hin ?
Juste nouus. Parce que même célibataires, on manquera pas une occas' de s'éclater. C'est même mieux comme ça.
✖ MISS PRISMVER AND QUEEN BEE HIGH AS FUCK ✖ PERFECT... AS USUAL ✖ VALENTINE'S DAY BLAH BLAH DRINK ✖ OUTFIT : SKIRT, SHIRT, SHOES
Il y avait des fêtes pour lesquelles il n'y avait pas besoin d'invitations. Généralement, Zafiro trouvait toujours le moyen de s'incruster dans les petites célébrations privées ou de s'immiscer tel le parasite dans les quelques bringues privées qui électrisaient Prismver. Il était des meilleures fêtes, et avait décidé qu'aucune d'entre elles ne pouvait commencer sans lui. Et si la Saint-Valentin voulait être une fête digne de ce nom... ce principe s'appliquait aussi. CQFD.
Zafiro bouscula tout le monde dans une joyeuse course, marchant de ses pieds nus sur ceux des autres et se précipitant dans les bras de ses innombrables potos - il n'en connaissait pas la moitié ? Et alors, depuis quand fallait-il connaître les gens pour les porter dans son coeur ? Celui de Zafiro était plus immense encore qu'un pays, qu'une lune, que mille étoiles. Et il étincelait en ce jour ô si romantique, pulsant dans le fond de ses poumons, gonflant sa poitrine de joie et de cris surpuissants.
Après avoir serré contre lui et embrassé du bout des lèvres chacune de ses accointances - aka tout le monde ici bas -, le tsigane fusait dans les couloirs comme un bolide, houspillé par la foule. Il coupa à travers la marée juvénile tel le couteau humain qu'il était, se répandant en rire et en danses inventées sur le vif. Il se déhanchait comme un diablotin devant les yeux outrés de certains. C'était sa danse de l'amour à lui, sa parade nuptiale pour ce grand jour.
Et maintenant, il fallait une adorable hirondelle pour combler le bel oiseau de paradis qu'il était - enfin, petit moineau gitan, ça lui allait aussi. Il ne boudait aucun de tous ces noms d'oiseaux.
Très bien, il fallait entrer en mode prédateur. La première figure féminine qu'il apercevrait, il la prendrait par la main, l'extirperait de toute cette effervescence, et déposerait dans sa frêle main la rose écarlate qu'il avait dans sa besace. Et puis si l'élue de son petit cœur lui écrasait des chocolats en pleine figure, il ferait avec. Il ne craignait sûrement pas l'indigestion.
— TOI. TOI, GWENDOLYNE.
Comment connaissait-il son prénom ? Laissons planer le mystérieux mystère. Sans lui, ce genre de choses, c'est bien moins drôle.
Il fit un bond de chat et se saisit de sa main, entre les siennes, chaudes et vigoureuses. Son sourire étincelait comme les joyaux dans ses yeux. Elle qui percevait les humeurs, elle pouvait sûrement savoir simplement en humant l'air que Zafiro débordait d'allégresse.
— M'accorderais-tu ta main, tes bras, tes jambes, ton buste, et tout le reste en cet heureux jour ?!
Aujourd'hui, tout le monde aime quelqu'un, mais toi c'est tous les jours que tu aimes tout le monde. Tu ne vois pas vraiment la particularité de ce jour, mais tu sais qu'il faut être présentable. Une petite robe bleu pâle irait parfaitement, ou une jupe à froufrou. Merde, on a oublié que c'est Nino. Cette inconnue de la mode. Tenue de pompomgirl, parce que t'en as envie et que tu ne réfléchis jamais plus de cinq secondes. Du chocolat, des flowers. Ca craint, avec un hamburger ou un nonos cette journée aurait été parfaite. Parfaitement parfa-hum. Après un milliard d'explication tu vas terminer par comprendre l'utilité de cette fête. Tu donnes une flower à une personne que tu aimes et les chocolats... Tu te souviens plus leur utilité à ceux là. Tu improviseras le moment venu. Bon où est Nemesis.
bonjour nino. c'est pour toi nino. Coucou mon copain.
Tu regardes la fleur qu'il te tend. Tu renifles, tu humes, tu en manges une pétale. ça sent bon mais c'est dégueu. Tu termines par la prendre, rigoles un peu toute seule et tentes de lui rendre un bisou en échange. Qui se transforme rapidement en smack. Tu décides lui offrir quelque chose en échange, la rose ou le chocolat ? tu prends ta boite de chocolat et lui offre en souriant.
voilà pour toi ! j'y suis allergique.
sinon tu l'aurais déjà dévorée tout entière. tu lui offres aussi ta rose. nemesis aura autre chose.
Aujourd'hui, c'est pas un jour comme les autres. Aujourd'hui j'ai decidé de me lever tôt. Parce qu'aujourd'hui. C'est la saint-valentin. Il est donc 13h25 lorsque je me réveille. Je prends à peine cinq minutes pour me réveiller correctement avant de me lever et de kidnapper la salle de bains pour m'habiller, me laver & me préparer. En théorie, la saint-valentin, c'pas trop mon truc. Le trip de la fête des amoureux je trouvais ça assez... voilà. POURQUOI ATTENDRE LA SAINT VALENTIN POUR PROUVER SON AMOUR HEIN. Les mecs devraient prouver leur amour aux femmes tous les jours moi j'dis. on est des princesses okaaaaay. Mais c'tous des gros macho. J'suis sûr que c'est un homme qui a lancé le concept de la saint-valentin, en s'disant "comme ça j'lui dis que je l'aime ce jour là et l'reste de l'année j'suis tranquille"....bon. ou pas. ok. En plus de ça, le directeur avait fait distribuer une rose et une boite de chocolat à tout le monde. J'comprenais pas trop l'intérêt, la rose pour déclarer son amour et la boite de choco' pour refuser celui de quelqu'un d'autre.... genre, il imagine l'enfer que c'est que de se retenir de bouffer cette putain de boîte de chocolat ? SRX. Enfin de toute façon, j'allais surement finir par la manger, je doute que quelqu'un compte m'offrir une rose, DONC JE DOUTE QUE LA BOITE ME SERVE. Quant à la rose après avoir longuement réfléchis, le génie que je suis avait enfin trouvé à qui l'offrir. De toute façon c'était une évidence. Personne d'autre voudrait de cette rose de toute façon et j'allais pas la laisser fâner dans un coin quand même. DONC VOILA. c'est pour aller offrir cette jolie petite rose que je me préparais. Un jean, un pull, ma veste en jean, mes converse, un chignon, un peu de maquillage, un peu de parfum et après une demi heure à squatter la salle de bains je suis ENFIN prête.
Je sors donc de ma cabane sans oublier la rose ainsi qu'un petit paquet. une surprise. gniéhé. j'avais eu une idée de génie. J'AVAIS HÂTE DE LUI REMETTRE TOUT CA. Je me dépêchait donc de rejoindre sa cabane, le sourire jusqu'aux oreilles. hâte de voir sa tête en me voyant débarquer avec ça. hâte de voir sa réponse etoutetout.
J'arrivais enfin. Je m'arrête alors devant la pote de la cabane, la fixant un instant. La rose dans une main, mon petit paquet dans l'autre. Après quelques secondes je me décide à frapper à la porte. Normalement elle devrait être là. J'ai demandé à mon lézard de l'espionner donc en théorie... Comme quoi c'est utile un lézard héhé. Bref, après environ une petite minute la porte s'ouvre enfin, je ne perds alors pas un instant pour commencer mon petit speech.
Je te souhaite une merveilleuuuuse saint-valentin chouuuuw Je lui tends la rose, puis une fois qu'elle l'a prise j'enchaine... Je voulais profiter de cet instant, pour te demander quelque chose, d'extrêment important... je me baisse, posant un genoux à terre avant de redresser mon dos et de relever mon regard vers elle, un sourire jusqu'aux oreilles. mon petit paquet dans une main, je me racle légèrement la gorge puis je pose mon autre main sur la petite boite et tout en l'ouvrant... Mademouaselle Maryne Emma Reed, veux tu m'épouseeeer ?
Une fois ouverte, la petite boîte laisse apparaitre une bague en papier aluminium. BAGUE QUE J'AI SOIGNEUSEMENT FABRIQUE PLS. elle est trop jolie. c'est du grand art. ET PERSONNE AURA LA MÊME HEHEHEHEHEHEEE.
Aujourd'hui, c'est pas un jour comme les autres. Aujourd'hui j'ai decidé de me lever tôt. Parce qu'aujourd'hui. C'est la saint-valentin. Il est donc 13h25 lorsque je me réveille. Je prends à peine cinq minutes pour me réveiller correctement avant de me lever et de kidnapper la salle de bains pour m'habiller, me laver & me préparer. En théorie, la saint-valentin, c'pas trop mon truc. Le trip de la fête des amoureux je trouvais ça assez... voilà. POURQUOI ATTENDRE LA SAINT VALENTIN POUR PROUVER SON AMOUR HEIN. Les mecs devraient prouver leur amour aux femmes tous les jours moi j'dis. on est des princesses okaaaaay. Mais c'tous des gros macho. J'suis sûr que c'est un homme qui a lancé le concept de la saint-valentin, en s'disant "comme ça j'lui dis que je l'aime ce jour là et l'reste de l'année j'suis tranquille"....bon. ou pas. ok. En plus de ça, le directeur avait fait distribuer une rose et une boite de chocolat à tout le monde. J'comprenais pas trop l'intérêt, la rose pour déclarer son amour et la boite de choco' pour refuser celui de quelqu'un d'autre.... genre, il imagine l'enfer que c'est que de se retenir de bouffer cette putain de boîte de chocolat ? SRX. Enfin de toute façon, j'allais surement finir par la manger, je doute que quelqu'un compte m'offrir une rose, DONC JE DOUTE QUE LA BOITE ME SERVE. Quant à la rose après avoir longuement réfléchis, le génie que je suis avait enfin trouvé à qui l'offrir. De toute façon c'était une évidence. Personne d'autre voudrait de cette rose de toute façon et j'allais pas la laisser fâner dans un coin quand même. DONC VOILA. c'est pour aller offrir cette jolie petite rose que je me préparais. Un jean, un pull, ma veste en jean, mes converse, un chignon, un peu de maquillage, un peu de parfum et après une demi heure à squatter la salle de bains je suis ENFIN prête.
Je sors donc de ma cabane sans oublier la rose ainsi qu'un petit paquet. une surprise. gniéhé. j'avais eu une idée de génie. J'AVAIS HÂTE DE LUI REMETTRE TOUT CA. Je me dépêchait donc de rejoindre sa cabane, le sourire jusqu'aux oreilles. hâte de voir sa tête en me voyant débarquer avec ça. hâte de voir sa réponse etoutetout.
J'arrivais enfin. Je m'arrête alors devant la pote de la cabane, la fixant un instant. La rose dans une main, mon petit paquet dans l'autre. Après quelques secondes je me décide à frapper à la porte. Normalement elle devrait être là. J'ai demandé à mon lézard de l'espionner donc en théorie... Comme quoi c'est utile un lézard héhé. Bref, après environ une petite minute la porte s'ouvre enfin, je ne perds alors pas un instant pour commencer mon petit speech.
Je te souhaite une merveilleuuuuse saint-valentin chouuuuw Je lui tends la rose, puis une fois qu'elle l'a prise j'enchaine... Je voulais profiter de cet instant, pour te demander quelque chose, d'extrêment important... je me baisse, posant un genoux à terre avant de redresser mon dos et de relever mon regard vers elle, un sourire jusqu'aux oreilles. mon petit paquet dans une main, je me racle légèrement la gorge puis je pose mon autre main sur la petite boite et tout en l'ouvrant... Mademouaselle Maryne Emma Reed, veux tu m'épouseeeer ?
Une fois ouverte, la petite boîte laisse apparaitre une bague en papier aluminium. BAGUE QUE J'AI SOIGNEUSEMENT FABRIQUE PLS. elle est trop jolie. c'est du grand art. ET PERSONNE AURA LA MÊME HEHEHEHEHEHEEE.
La Saint-Valentin ! Fête commerciale par excellence, qu’il t’amuse de fêter mais pour laquelle tu ne dépenses pas un rond. Enfin, pas plus que d’habitude quoi. Autant, montrer son amour aux gens, dans l’idée, c’est pas mal –même si tu n’as personnellement pas besoin d’un jour précis dans l’année pour dire aux gens que tu aimes que tu les aimes. Ou aux gens que tu hais que tu les hais mais c’est une autre histoire – autant l’idée que quelqu’un se frotte les mains à l’idée que tu claques ton fric dans une babiole en forme de cœur te fais franchement chier. Mais cette année, la rose et la boite de chocolat sont généreusement offerte par Prismver, alors aucun soucis, hm ? Dans ce cas, qu’est-ce que tu fous encore chez toi ? Parce que, oui, tu es encore dans ta cabane le 14 février dans l’après-midi. La raison était toute simple : tu n’avais pas vraiment d’idée de personne à qui offrir ta rose et tu comptais manger les chocolat, donc tu restais ici en espérant que personne n’ai l’idée saugrenue de t’offrir une invitation que tu serais forcée de décliner. Non, ce n’est pas égoïste, on parle de chocolat là ! En attendant, tu t’es quand-même fait toute belle, premièrement pour pas avoir l’air d’un zombie si jamais quelqu’un vient quand même toquer à ta porte et deuxièmement parce que t’as l’intention de demander à Hiroki de braver le flot de couples amoureux-niais des couloirs pour passer te voir. Alors tu portes une robe que t’as achetée sur son conseil (comme les trois quarts de ta garde-robe), t’as laissé tes cheveux lâché et tu t’es même – fait rare hors soirée – légèrement maquillée. Mais quand on toque, tu sursautes et esquisse une moue. Qui ça peut bien être ? T’hésites, puis tu finis par ouvrir pour tomber sur une tête connue, pourvue de cheveux et d’yeux bleus. Et tu souris quand elle te tend la rose, la prenant sans rechigner, parce qu’un rendez-vous de Saint-Valentin avec Hiroki, ça serait forcément fun. « Je voulais profiter de cet instant, pour te demander quelque chose, d'extrêment important... » Tu hausses un sourcil, l’invitant silencieusement à continuer, puis écarquille les yeux quand elle met un genou à terre. Tu la laisse finir son discours avant d’éclater d’un grand rire joyeux, de prendre la bague en aluminium et de la passer à ton annuaire gauche avant d’aider ta meilleure amie à se relever et de lui planter un ENORME baiser sur la joue droite. « Comment pourrais-je refuser ? J’accepte ! Le rendez-vous et la demande en mariage bien sûr ! » Gros clin d’œil exagéré, parce que c’est ta spécialité. La journée allait être drôlement plus fun que prévue !
Alice n'avait jamais apprécié la saint-valentin. Pour l'italienne, cela n'était qu'une fête à but commercial. Les couples n'ont pas besoin d'une stupide fête pour se montrer leur amour. Cependant, lorsque la damoiselle reçu la rose, ainsi que la boîte de chocolat, son avis changea radicalement. Il y'a bien un garçon qu'elle appréciait grandement, et avec qui elle se sentait à l'aise. Pourquoi ne pas lui demander un rendez-vous ? La jeune fille n'avait rien à perdre, bien qu'elle ne savait pas vraiment comment s'y prendre. En effet, à part avec son crétin de fiancé -pour qui l'adolescente ne ressentait que de l'aversion, Alice ne s'était jamais vraiment retrouvée seule avec un homme. Avançant lentement dans les longs couloirs de l'établissement, la brune cherchait du regard son valentin. Où pouvait-il bien se cacher ? Voyant que ce dernier se trouvait probablement pas dans une salle de classe, la donzelle décida de se rendre dans sa chambre. Peut-être aurait-elle plus de chance ? Plus celle-ci se rapprochait des dortoirs, plus l'étudiante sentait que son cœur battait la chamade. Mais, il était hors de question d'abandonner aussi vite. Il lui fallait vaincre sa timidité ! Frappant faiblement à la porte, Alice attendit le signal de son valentin pour pénétrer dans la chambre. Ce dernier était confortablement assis sur son lit, une console dans les mains. Tout en s'approchant doucement de lui, le demoiselle murmura faiblement son nom, d'attirer son attention :
- Mykos...
Tout en jouant nerveusement avec l'une de ses mèches de cheveux, Alice détourna le regard, le visage cramoisi :
- Ah... Accepte cette rose !
Déterminée, la brune lui tendit sa rose, tremblante, dans l'espoir qu'il accepte son rendez-vous.