Jusqu'au 14 mars, chaque personnage possède : une rose, et une boîte de chocolats. Ces objets leur ont été distribués en classe / salle des profs par Ruthel.
Le principe : Chaque personnage peut offrir la rose au personnage de son choix : par ce geste, il demande un rendez-vous amoureux. La personne qui reçoit la rose peut l'accepter, ou décliner le rendez-vous en offrant en retour la boîte de chocolat, comme lot de consolation.
Comment ça se passe ? A la suite de ce message, vous écrivez un petit post RP qui décrit la façon dont votre personnage offre la fleur, fait sa déclaration. Vous êtes totalement libre pour ce rp: le lieu, le contexte, les personnes présentes ou non, etc. (J'éditerai alors ce message pour faire la liste des demandes.) Les demandes peuvent s'enchainer, on n'attend pas forcément que la réponse suive immédiatement; lorsque vous êtes concerné par une demande, vous répondez à la suite du topic en citant la demande qui vous a été faite. Vous répondez en rp, décrivant la réaction et la réponse de votre perso.
Et ensuite ? En cas de refus de rendez-vous il ne se passe rien. En cas de demande acceptée, voici la suite des opérations. Une troisième personne de votre choix choisi pour vous le lieu du rendez-vous, le contexte (pas forcément un diner... soyez inventif !). Alors, vous créez un nouveau topic dans ce forum pour faire votre rp de rendez-vous entre "amoureux".
Et les conséquences dans la chronologie de mon perso ? C'est libre. Soit vous décidez que ce RP est réel, il entre dans la suite d'évenements comme tout les autres topics, soit vous considérez que c'est un RP fun, qui n'existera pas réellement dans la chronologie de votre perso. Il faudra préciser dans votre titre de topic [Réel] ou [Fun].
Enfin, votre personnage ne peut offrir sa rose à celui ou celle qui es déja son/sa petit(e)-ami(e).
VALENTINS ♥
GAUTIER + ANSHU ~ TOIT PROPOSE PAR GAUTIERQUILIPASLESREGLES (RP FUN) HEATH + ULYSSE ~ EGOUTS PROPOSE PAR SARAH (RP REEL)
Quoi de mieux pour commencer une St Valentin qu'un pack de bières ? Pris d'une formidable envie de pisser après avoir tout englouti, je me rappelais à quel point mon idée était bidon. En même temps, St Valentin, la fête des amoureux... j'ai tellement l'habitude de me mettre une caisse en mode "je suis seul et célibataire éternel i want to die" que je l'ai fait sans tenir compte du fait que je ne l'étais plus. Bon ok c'est aussi parce que j'avais envie de boire et que je me faisais grave chier.
Une fleur et une boîte de chocolat : le cadeau du jour par notre maître à tous, Ruthel. Ce mec est tellement con que même Skygge lui mettrait une branlée en terme de lucidité amoureuse. Bon, et du coup, avec autant de finesse qu'un éléphant et de bon sens qu'une blonde amoureuse, j'embarque mes nouvelles affaires et file dans le pensionnat. Je suppose qu'il faut l'offrir à une nana, que cey jor un filtre d'amour ?
Tiens voilà une fille justement -pas mal en plus-. Je lui tends, lui foutant presque un Falcon Punch au passage.
- Cadeau. C'est une fleur magique qui fait que tu peux dire trois voeux.
Lourd mytho. En plus cette fille a aussi la fleur.
Quoi de mieux pour commencer une St Valentin qu'un pack de bières ? Pris d'une formidable envie de pisser après avoir tout englouti, je me rappelais à quel point mon idée était bidon. En même temps, St Valentin, la fête des amoureux... j'ai tellement l'habitude de me mettre une caisse en mode "je suis seul et célibataire éternel i want to die" que je l'ai fait sans tenir compte du fait que je ne l'étais plus. Bon ok c'est aussi parce que j'avais envie de boire et que je me faisais grave chier.
Une fleur et une boîte de chocolat : le cadeau du jour par notre maître à tous, Ruthel. Ce mec est tellement con que même Skygge lui mettrait une branlée en terme de lucidité amoureuse. Bon, et du coup, avec autant de finesse qu'un éléphant et de bon sens qu'une blonde amoureuse, j'embarque mes nouvelles affaires et file dans le pensionnat. Je suppose qu'il faut l'offrir à une nana, que cey jor un filtre d'amour ?
Tiens voilà une fille justement -pas mal en plus-. Je lui tends, lui foutant presque un Falcon Punch au passage.
- Cadeau. C'est une fleur magique qui fait que tu peux dire trois voeux.
Lourd mytho. En plus cette fille a aussi la fleur.
HRP : POUR ANSHU
La Saint Valentin, ça pue. C'est niais, c'est rose, et l'amour avec les bisous amoureux et les mots d'amour, c'était pas pour lui. Les chocolats il ira les refiler à un imbécile en foutant des fourmis dedans, et la fleur il l'enduira d'eau de javel avant de forcer son lézard à la bouffer. Confesser ses sentiments, c'est juste ridicule. Si tu veux baiser avec quelqu'un, tu vas pas lui offrir une boîte de capotes.
Horreur la plus totale quand il voit le mioche paysan lui tendre la rose qu'il détestait tant. Soit il est devenu subitement gay et a succombé au charme du Prince, soit il l'a tout simplement confondu avec une nana et... Un sourire crispé orne doucement ses lèvres alors qu'il grogne dans sa barbe, faisant tout de même l'effort de se montrer aimable avec l'homme le plus naïf du pensionnat.
Il saisit la fleur en manquant de briser la tige avant de fixer sa couleur rougeatre de longues secondes, réfléchissant sous quelle forme il allait lui faire ingurgiter. Et son bras, vicieux, s'enroule autour du cou du brun qu'il amène contre lui sous un semblant d'étreinte, ramenant son autre main prise sur son poing pour que la commissure de son bras enserre cet imbécile. Il l'étrangle sans aucune gêne avant de l'amener plus loin.
Quel romantique. Tu vas voir où je vais te la foutre ta fleur magique, moi.
Silencieuse, Maëly fixait sa fleur et sa boite de chocolat avec un air pensif. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire avec tout ça en fait... Elle ddevait déclarer sa flamme avec la fleur .. et refuser avec le chocolat.. Refuser ça n'allait pas être dur.. Car de toute manière personne voudrait d'elle.. Mais c'était la fleur qui compliquait un peu la chose. Elle était beaucoup hésitante sur ce qu'elle devait faire et encore de la manière qu'elle allait devoir le faire. Elle regardait la fleur en silence, assise sur son lit. Elle retourna sur le ventre sur son lit... Pensive, elle bougeait ses jambes de haut en bas.. Avant d'émettre un soupire.. À qui la donner.. Il y avait plein de filles qu'elle regardait de loin gênée, certaine de n'avoir aucune chance avec la plupart d'entre elles. Au final, il ne lui restait qu'un vrai choix. Il y avait bien une fille qui faisait plus vibrer son coeur que les autres.... Mais ça la gênait beaucoup...
Après un long moment de réflexion, elle finit par se lever sur son lit. En vitesse, elle s'habilla vite fait avec son uniforme car elle n'avait pas envie de perdre de temps. Ainsi prête, elle sortie pour se diriger vers la cabane de la fille qu'elle convoitait. Mais arrivée devant, elle figea un moment et hésita à fuir après avoir cogner à la porter. Un instant passe, puis elle remarque la jolie fille qui lui ouvre... Elle devient rouge et finit par tendre sa rose gênée vers Roxy , baissant les yeux.
'' Roxy... Je... je souhaiterais que tu sois ma valentine.. Car.. je pense à toi tous les jours et que j'aimerais être... avec toi.
Elle était complètement rouge, tournant son visage pour tenter de camoufler sa gêne avant de reporter son regard vers Roxy en tentant de sourire.
'' Alors ? Tu voudrais bien être ma valentine que je pourrais chérir ?
Le BORDEL. Les tables et chaises dans les escaliers, ayant rendu la montée jusqu’ici quasi impossible (il avait fallu déblayer le passage pendant une demi-heure). Et en haut, de l’eau dans tout le couloir. Des tags sur tout les murs, noir, rouge, gris. A l’intérieur des classes, du matériel détruit, des fils électriques coupés, d’autres tags, les radiateurs et portes manquants... Même le sol semblait fissuré.
Saccagé. Invivable. On aurait dit un lieu appartenant aux ruines, non loin de l’école; il ne manquait que la végétation grimpante pour faire plus vrai que nature.
Le chaos le plus total à l'étage des A.
Et elle était là. Dans l’encadrure de la porte, dévastée, ses poings serrés, son regard enflammé, sa gorge nouée. Parce-que sa salle n’était plus qu’une pièce désaffectée, Pire que la salle des E, bien pire. Réduit à néant.
Et sous ses yeux, fièrement, sur le mur, s'étalaient les lettres E N T R O P Y.
La jeune fille se retourne, les pieds dans l’eau; cette pièce ne sera plus d’aucune utilité avant un moment. Et, lorsqu’elle se retourne, il est là.
Essoufflé, les joues rosies par la chaleur de sa course, il est devant elle, penché en avant, les mains sur ses genoux, haletant. Il lève alors yeux vers elle, se redresse. Foudroyant. Oeillade au carnage les entourant, son regard s’arrête sur le tag qu’il a lui-même tracé, cette nuit-même. Une petite moue coupable, il roule sa langue à l’intérieur de sa joue, reportant son regard sur elle. Il inspire avec force, et lui tend brusquement la rose qu’il tient en main. Regards.
« ... Ca m’arrangerai que tu me refoule, Kopulos, juste histoire de pas soutenir cette connerie interplanétaire. »
codage par Palypsyla sur apple-spring Couleur Heath : #C42F2B
Une belle petite robe vintage qui accentue ton corps féminin, cheveux lâché avec seulement une pince retenant ta mèche sur le côté, tu es un peu gênée. La st Valentin, jour de déclaration d'amour. Ce jour si spécial, c'est étrange car techniquement c'est les hommes qui font le premier pas et cette fois c'est toi qui va faire le premier pas. Rose en main, tu as cherché l'élus de ton coeur jusqu'à le trouver par hasard dans le couloir.
Grand, blond, charmant, charmeur de ces dames. Bien sûr que c'est de la folie de lui demander ce que tu vas faire, des milliers de filles voudraient l'inviter, cependant, contrairement aux autres, tu penses partager un lien bien spécial avec lui. Je parle bien sûr du grand Cale Summers, le garçon le plus beau, le plus populaire et le plus gentil de tout prismver.
Sourire aux lèvres, tu t'avances vers lui pour qu'il se stop dans sa marche et d'un coup tu lui tends ta rose avant de lui dire les joue un peu rouge.
-Tient...c'est pour toi...accepterais-tu de...devenir mon Valentin pour aujourd'hui ?
Où bien pour toujours ? Après tout, Cale et toi c'est l'évidence non ? Tu le regardes dans les yeux, attendant une réponse de ton pingouin, la rose toujours tendue vers lui.
Le BORDEL. Les tables et chaises dans les escaliers, ayant rendu la montée jusqu’ici quasi impossible (il avait fallu déblayer le passage pendant une demi-heure). Et en haut, de l’eau dans tout le couloir. Des tags sur tout les murs, noir, rouge, gris. A l’intérieur des classes, du matériel détruit, des fils électriques coupés, d’autres tags, les radiateurs et portes manquants... Même le sol semblait fissuré.
Saccagé. Invivable. On aurait dit un lieu appartenant aux ruines, non loin de l’école; il ne manquait que la végétation grimpante pour faire plus vrai que nature.
Le chaos le plus total à l'étage des A.
Et elle était là. Dans l’encadrure de la porte, dévastée, ses poings serrés, son regard enflammé, sa gorge nouée. Parce-que sa salle n’était plus qu’une pièce désaffectée, Pire que la salle des E, bien pire. Réduit à néant.
Et sous ses yeux, fièrement, sur le mur, s'étalaient les lettres E N T R O P Y.
La jeune fille se retourne, les pieds dans l’eau; cette pièce ne sera plus d’aucune utilité avant un moment. Et, lorsqu’elle se retourne, il est là.
Essoufflé, les joues rosies par la chaleur de sa course, il est devant elle, penché en avant, les mains sur ses genoux, haletant. Il lève alors yeux vers elle, se redresse. Foudroyant. Oeillade au carnage les entourant, son regard s’arrête sur le tag qu’il a lui-même tracé, cette nuit-même. Une petite moue coupable, il roule sa langue à l’intérieur de sa joue, reportant son regard sur elle. Il inspire avec force, et lui tend brusquement la rose qu’il tient en main. Regards.
« ... Ca m’arrangerai que tu me refoule, Kopulos, juste histoire de pas soutenir cette connerie interplanétaire. »
codage par Palypsyla sur apple-spring Couleur Heath : #C42F2B
C'est comme si le monde s'écoulait sous ses pieds Comme si la terre avait arrêté de tourner. Ses yeux se perdent dans le désordre ambiant, devant tant de chaos. Et Ulysse serre les dents. La culpabilité lui noue les tripes. Elle est responsable de tout ça autant qu'Entropy parce qu'elle a laissé faire, parce qu'elle a rien dit. Pour sauver sa peau, pour sauver la sienne. Celle d'Heath. Et le résultat était là... Sa salle de classe détruite.
Et elle n'a plus envie de voir ça, elle n'a qu'une envie c'est de s'enfuir. Parce qu'elle se déteste. Fort tellement fort. Mais voilà elle se retourne et il est là. Devant elle, avec son visage inexpressif et son air au dessus. Ulysse le scrute avec haine. Le souffle court devant tant d'irrespect. Comment peut-il se tenir devant elle une rose à la main. Comment ose -t'il ?
... Ca m’arrangerai que tu me refoule, Kopulos, juste histoire de pas soutenir cette connerie interplanétaire.
Et c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Ulysse s'approche rapidement. Sa main se tend et s'éclate sur la joue du jeune homme. Le bruit résonne à travers la pièce dévasté. Et Ulysse le méprise de tout son corps. Elle tend la main vers la rose et lui arrache des mains. Et elle crache dans un long soupir haineux. Je ne suis malheureusement pas disposée à faire comme ça t'arrange Ackland.
Saint Valentin. Jour maudit où les phoques les plus ignobles sortent de leur trou parés de leur sourire mielleux pour venir dégouliner de mièvrerie et baver sur les genoux des gens honnêtes.
Je hais la Saint Valentin. Oh que je hais la Saint Valentin. Surtout à Prismver. Chaque année, le 14 février est la date surprise entourée en rouge dans mon agenda. C’est une entrée en guerre. Une préparation à la bataille. Alors qu’est ce que ce sera cette année ? Cookies à philtre d’amour ? Caramels de gender-bending ? J’ouvre avec angoisse le petit paquet déposé – on ne sait comment – sur ma table de chevet. Rose et chocolats. Chocolats ?
J’en suis déjà à la moitié de la boîte lorsque je découvre le petit message écrit en rose – encre parfum fraise des bois – écrit par notre bien-aimé directeur. Ok - délicieux ce goût noisette – ok -quoi ? Les chocolats c’était mes chances de rejeter les gens ? Meeeeeeeeeeeeerde.
Si j’ai bien appris une chose à propos des évènements lancés par Ruthel Prismver, c’est qu’il ne sert à rien de les éviter, ils finissent toujours par vous retomber sur le coin de la gueule, là où ça fait bien mal. Autrement dit, vaux mieux s’en débarrasser au plus vite. Et la fleur coincée dans la poche intérieure de mon blouson, je m’élance d’un pas tranquille hors de ma chambre, bien décidée à refiler cette patate chaude à la première personne connue en vue. Mis à part exception.
Une dizaine de pas au bout du couloir, et j’aperçois une chevelure argentée bien trop familière. Sourire. J’accélère le pas pour venir saluer – ou littéralement agresser – mon cher et bien aimé confident.
Orwenn. Décidément, toujours là quand j’ai besoin d’un sauveur. Vol plané, ralenti.
« OUVRE LA BOUCHE. »
Accrochée à son bras, je viens lui placer la rose entre les dents, tout sourire.
« Débarrasse-moi de ça je t’en supplie. » - regard suppliant exagérément dramatique. Je recule un instant pour contempler mon oeuvre. Oui oui, c'est bon ça. La rose à l'espagnole lui donne un air étrangement sexy. Voilà une bonne chose de faite. Maintenant, journée tranquille. Manquerait plus qu'il me donne un peu de chocolat. J'aime le chocolat.
Saint Valentin. Jour maudit où les phoques les plus ignobles sortent de leur trou parés de leur sourire mielleux pour venir dégouliner de mièvrerie et baver sur les genoux des gens honnêtes.
Je hais la Saint Valentin. Oh que je hais la Saint Valentin. Surtout à Prismver. Chaque année, le 14 février est la date surprise entourée en rouge dans mon agenda. C’est une entrée en guerre. Une préparation à la bataille. Alors qu’est ce que ce sera cette année ? Cookies à philtre d’amour ? Caramels de gender-bending ? J’ouvre avec angoisse le petit paquet déposé – on ne sait comment – sur ma table de chevet. Rose et chocolats. Chocolats ?
J’en suis déjà à la moitié de la boîte lorsque je découvre le petit message écrit en rose – encre parfum fraise des bois – écrit par notre bien-aimé directeur. Ok - délicieux ce goût noisette – ok -quoi ? Les chocolats c’était mes chances de rejeter les gens ? Meeeeeeeeeeeeerde.
Si j’ai bien appris une chose à propos des évènements lancés par Ruthel Prismver, c’est qu’il ne sert à rien de les éviter, ils finissent toujours par vous retomber sur le coin de la gueule, là où ça fait bien mal. Autrement dit, vaux mieux s’en débarrasser au plus vite. Et la fleur coincée dans la poche intérieure de mon blouson, je m’élance d’un pas tranquille hors de ma chambre, bien décidée à refiler cette patate chaude à la première personne connue en vue. Mis à part exception.
Une dizaine de pas au bout du couloir, et j’aperçois une chevelure argentée bien trop familière. Sourire. J’accélère le pas pour venir saluer – ou littéralement agresser – mon cher et bien aimé confident.
Orwenn. Décidément, toujours là quand j’ai besoin d’un sauveur. Vol plané, ralenti.
« OUVRE LA BOUCHE. »
Accrochée à son bras, je viens lui placer la rose entre les dents, tout sourire.
« Débarrasse-moi de ça je t’en supplie. » - regard suppliant exagérément dramatique. Je recule un instant pour contempler mon oeuvre. Oui oui, c'est bon ça. La rose à l'espagnole lui donne un air étrangement sexy. Voilà une bonne chose de faite. Maintenant, journée tranquille. Manquerait plus qu'il me donne un peu de chocolat. J'aime le chocolat.
Tranquillement posé dans ton lit, t'avais décidé de pas en bouger. T'allais rien louper d'extraordinaire. Si ce n'est la Saint Valentin. Une fête dont tu ne comprends strictement pas l'utilité. Pourquoi faudrait-il faire d'une journée totalement random le jour de la fête des amoureux ? En gros le reste de l'année, t'as pas le temps d'offrir un truc à la personne que tu aimes ? Moui. Sans doute. Les gens préfèrent sûrement sa casser la margoulette à dépenser leur argent en ce jour.
Bref, tu voulais pas te lever.
Et pourtant... t'as bien été obligé. Contraint par une soudaine envie de bouffer du chocolat -coïncidence ? que nenni- tu daignes bouger ta carcasse, remarquant une boîte et une fleur sur ta table de chevet. Regards autour de toi. Quand diable quelqu'un s'est introduit dans ta chambre pour déposer ça ? Tu relèves les draps pour regarder ton corps. Visiblement, personne n'en avait abuser. C'est l'essentiel.
Un papier joignait le tout. Papier que tu as royalement ignoré, tout autant que la fleur d'ailleurs qui est restée sur le bois de ta table de chevet. Tu ouvres la boîte, y découvrant des chocolats. La Saint Valentin c'est pas si emmerdant finalement. Tu en prends un, puis un autre, et ainsi de suite.
Sans trop comprendre comment ni pourquoi, te voilà habillé et errant dans le domaine prismverien. Boîte de chocolat sous le bras, tu en boulottes un de temps en temps, au fur et à mesure de ta marche, sirotant une brique de jus de fruit. Tu remarques des couples ici et là.
Puis, soudain, on te saute dessus. Serait-ce pour te forcer à t'aplatir au sol à cause d'une attaque extraterrestre ? Non. Simplement Sarah. Tu as tout juste le temps de sortir la paille de ta bouche qu'elle te flanque une fleur entre les dents. Sacrebleu, veut-elle te transformer en hippie ? Non, son parfum est l'habituel, et non pas un mélange savant de patchouli et d'herbe. Elle te regarde, tu la regardes.
▬ T'attends que je danse le flamenco ou le tango ? Désolé darling, je sais pas danser.
Tu retires la fleur de ta bouche, allant la passer dans la poche de ta veste. Tu regardes ta boîte de chocolat puis elle.
▬ Je t'aurais bien donné un chocolat, mais il paraît que tout le monde en a eu. Alors je garde les miens pour moi.
L’amour est emportement L’amour est enthousiasme L’amour est risque.
la st valentin...quelle idée débile. quelle sotte idée. cette fête ne servait assurément à rien, à part recevoir des chocolats ou un vent. et freud lui préférait les chocolats à une humiliation. Et malgré le peu d'intérêt qu'il portais à cette fête, cela n'empêchait pas le fait qu'il voulait être un minimum présentable. Il jeta le jogging qu'il avais porté depuis la veille à travers le cabanon pour sortir d'autres vêtements, plus appropriés à une soirée de ce genre. Il se regarda. Mon dieu, que c'était ridicule de s'habiller correctement pour un jour ordinaire. il se trouvait ridicule. ridicule. et puis merde non ? il fallait profiter de la vie et. apprendre dans le cas de freud. mais qui prendre comme victime ? il savait au moins qu'il aurait ces chocolats, personne ne proposerait à lui une fleur. où la personne avait eu un pari. non, c'était soulageant d'avoir un petit cadeau et en plus de cela refuser une fleur. mais qui prendre comme victime alors ? il la chercha, elle. elle qui était sensible, adorable et était aussi fidèle qu'un bon toutou. il la trouva.
bonjour nino. c'est pour toi nino.
et il lui tendit la fleur. bravo freud, tu es un zéro en romantisme. le pire dans tout cela c'est qu'il était fort probable que la jeune fille accepte. il l'avait observer et...merde, il aurait pas du faire ça. ça lui apprendra.
Une belle petite robe vintage qui accentue ton corps féminin, cheveux lâché avec seulement une pince retenant ta mèche sur le côté, tu es un peu gênée. La st Valentin, jour de déclaration d'amour. Ce jour si spécial, c'est étrange car techniquement c'est les hommes qui font le premier pas et cette fois c'est toi qui va faire le premier pas. Rose en main, tu as cherché l'élus de ton coeur jusqu'à le trouver par hasard dans le couloir.
Grand, blond, charmant, charmeur de ces dames. Bien sûr que c'est de la folie de lui demander ce que tu vas faire, des milliers de filles voudraient l'inviter, cependant, contrairement aux autres, tu penses partager un lien bien spécial avec lui. Je parle bien sûr du grand Cale Summers, le garçon le plus beau, le plus populaire et le plus gentil de tout prismver.
Sourire aux lèvres, tu t'avances vers lui pour qu'il se stop dans sa marche et d'un coup tu lui tends ta rose avant de lui dire les joue un peu rouge.
-Tient...c'est pour toi...accepterais-tu de...devenir mon Valentin pour aujourd'hui ?
Où bien pour toujours ? Après tout, Cale et toi c'est l'évidence non ? Tu le regardes dans les yeux, attendant une réponse de ton pingouin, la rose toujours tendue vers lui.
La St-Valentin. Je déteste vraiment ce jour. Pas parce que je suis célib, mais surtout parce qu'une tonne de filles me donne des roses, me demandent d'être leur Valentin. Je déteste rejeter les gens, j'y arrive pas, j'sais pas pourquoi, ça m'brise le coeur. Je prends une grande inspiration. J'aurai dû rester chez moi, je le sais. Mais comme l'année dernière, ça sera à la première fille qui me le demande à qui je me donnerai, faute de mieux. Il est tôt. Je crois. Il y a personne, je marche d'une manière décontractée toujours en jogging, je baille, même, quel jour de chiotte. Je sens quelque chose m'arrêter en pleine marche et merde ça commence je plisse les yeux et prends sur moi pour ne pas foudroyer de toutes ma méchanceté cette fille qui vient de me retirer de ma bulle. Je la regarde. Aucun mot ne veut sortir de ma bouche. Elle sourit, elle est belle, elle est femme, elle baisse légèrement les cils. J'en souris à m'en décrocher la mâchoire. Est-ce qu'elle a mise cette robe pour moi ? Je prends la rose de ses doigts blancs et manucurés, pour la sentir, pour l'humer. Je ferme un cours instant les yeux, les réouvre et fait tourner la rose sur elle même.
▬ Rien ne me ferais plus plaisir que d'être ton Valentin, Lhym.
La saint Valentin... Le jour reconnu de l'amour. Raven avait réfléchit, longtemps. Il ne connaissait pas très bien cette fille, dans le fond, elle était d'un naturel silencieux, au fond. Elle était là, comme une flamme au milieu de la piste, si chaude et si colorée, mais qui se dérobe si bien au regard des autres... Il ne savait que peut de chose sur elle, il n'avait ni connaissance de son passé, ni d'une quelconque famille, il ne connaissait ses fréquentations que par observation, il ne savait pas ce qu'elle aimait. Il savait juste que cette fille l'avait sonné au premier regard, qu'elle avait une voix aussi magnifique qu'elle l'était, qu'elle n'avait pas la réputation d'être chaste, mais aussi... Que ses lèvres étaient monstrueusement délicieuses et douces, sucrées, et que sa langue si chaude avait le pouvoir de le transpercer et le dérégler, au point de créer des frissons dans sa nuque et qu'elle était plus puissante que la gravité. Il était toujours le même, mais quelque chose avait changé. Il ne comptait plus le temps en minute, mais en battement de coeur, un par seconde, ou peut-être deux, quelques rythmes réguliers puis saccadés. Son visage, son odeur, son être... Les rouages de son coeur manquaient de l'huile qu'elle lui avait offert par cet unique baiser, ô combien intense. En lui tournait la même mélodie, celle d'une boite à musique douce et moqueuse, autant que l'est sa petite danseuse, parsemée des percussions de son coeur, celles sur laquelle il n'a aucune maitrise. Quelle douce souffrance, cette vulnérabilité... Et si cruelle...
Raven avait donc envoyé un simple message à Blaze, en lui demandant de le rejoindre dans le jardin, sans lui préciser pourquoi. Il n'allait pas le lui dire, mais ce lieu n'était pas choisi par hasard. Cette endroit, comme l'internat, était rempli de fleurs différentes et aussi jolies les unes que les autres, mais aujourd'hui, c'était la rose que tenait Raven entre ses doigts qui était spéciale, unique, comme Blaze l'était parmi les autres filles à ses yeux. Mais il n'allait pas dire ça, c'était trop niais... Mais il le pensait très fort. Il ne s'était pas habillé de façon différente de d'habitude, et il ne changerait pas d'attitude, il n'aime pas ce qui est solennel. Plus les horloges de son coeur lui indiquaient que le moment de sa venue approchait, plus il commençait à hésiter. Après tout, pourquoi ne pas lui dire "Oh regarde, c'est des fleurs, c'est trop bien les fleurs !! Viens on se jette dedans !!" ? Mais non, il fallait qu'il lui fasse savoir. La jeune femme en question fit donc son apparition dans les jardins, et il regretta de ne pas avoir fait l'esquisse d'un discours, parce qu'il ne savait pas quoi dire, vraiment. Pourquoi toujours vouloir improviser, Raven... ? Il dissimula alors cette unique rose qu'il avait, voulant d'abord prendre la parole. Il lui sourit une fois qu'elle fut plus proche de lui, essayant de retenir son regard d'aller dévorer ses lèvres à la place des siennes, et le plongea dans celui de Blaze. Même son regard était à tomber par terre... Il se racla un peu la gorge, nerveux, et lança un simple petit "salut", ravalant sa salive. Le souvenir encore brûlant de ce baiser l'envahissait, il se sentait déjà défaillir, son coeur commençait à battre à l'envers, comme si ses aiguilles voulaient remonter le temps et retourner dans ce placard pour l'embrasser à nouveau, même si pour elle ça n'avait sans doute été rien d'autre qu'un jeu. Il avait sentit quelque chose de puissant à ce moment là, si fort que la mécanique de son coeur avait failli lâcher, et le laisser inerte à jamais, son seul coucou rentrant et sortant pouvant faire office de tombe. Il ne savait pas ce qu'elle avait ressenti, et il se doutait bien qu'il ne serait pas le premier à lui offrir une rose. Il se sentait carrément looser en fait. Mais il devait lui donner cette rose. Il dévoila délicatement la rose qu'il avait amené à Blaze, en la faisant tourner nerveusement, comme cette danseuse de boite à musique, les mains discrètement tremblantes. Il la regardait cette fleur unique, à défaut de vraiment pouvoir regarder Blaze.
-Bon ben voilà je t'ai demandé de venir ici, d'abord merci d'être venue, eum... Oui donc pour ben... Te donner ça.
Il lui tendit un peu maladroitement sa fleur, son coeur s'emballant, et pria pour que la moiteur de ses mains ne se voit pas.
-Je suppose que je ne suis pas le premier à t'en donner une, mais... Voilà, tu es la seule fille à qui j'ai envie de donner cette rose. Ce n'est pas très original mais... Enfin sinon y a aussi ça...
Il sortit sa gameboy de sa poche, cette éternelle petite gameboy, contenant une version rouge de pokemon sur laquelle il jouait lorsqu'il n'avait rien de mieux à faire, souvenir de gosse, et l'alluma. Après quelques petits bidouillages, il montra l'écran à Blaze, sur lequel elle pouvait lire dans l'ordre le nom de ses pokemons.
"Hey Tu M'accordes Un Rendez Vous ?"
Il se sentait si bête, mais il voulait compléter cette sorte de déclaration par quelque chose de plus personnel, et cette gameboy était parfaitement adaptée à la situation. Il resta alors silencieux, attendant la réponse de Blaze, nerveux au possible. Au pire, il aura des chocolats à bouffer devant sa télé quand il jouera à Zelda Majora's Mask...
Regard endormi, cheveux en bataille, les yeux levés vers le calendrier. Quatorze février. Saint-Valentin. LOL. Tu retournes te coucher, l'esprit trop embrumé pour réaliser mais dès lors que le sommeil te guette, ton cerveau s'éveille pour t'emporter de nouveau vers le carré cartonné. SAINT VALENTIN ET MÊME PAS DE VALENTIN. T'as envie de pleurer parce que tu étais seule en ce jour des amoureux. En fait, t'en avais rien à carrer MAIS aujourd'hui tu étais décidée à te prêter au jeu que Ruthel avait annoncé le jour précédent. Une rose et une boîte de chocolats trônaient sur ta table de chevet. Tes lèvres s'étirèrent en un sourire puis tu te rendis dans la salle de bain afin de t'apprêter.
Rose dans les cheveux, boîte de chocolats sous le bras, tu sautillais entre les allées du pensionnat à la recherche de ton prince pour la journée. Tes yeux parfois s'attardaient sur des élèves qui s’échangeaient les présents. Tantôt c'était un retour réciproque, tantôt un de tes camarades se retrouvait frustré, le chocolat ou une glace reposant dans leurs mains. Tu te moquais dans les situations délicates parce qu'il faut avouer que c'était bien drôle de voir les gens se prendre des râteaux phénoménales mais c'était moins drôle de s'en prendre soi-même. BREF. Tu continues ton chemin jusqu'à trouver une tête qui ne t'était pas inconnu. Tu accélères le pas jusqu'à ce que tu arrives derrière lui pour finir par arriver accrocher à son dos en mode koala. Tu descends de ton perchoir et tends la rose devant ses yeux parce que tu t'en fous, même si tu te prends un vent, au moins t'auras eu l'audace de demander. Tu encres tes yeux dans les siens, et tout sourire, tu lui fais part de la question fatidique.
Les derniers temps n'avaient eu que peu de saveurs agréables pour moi. Mais Ruthel, ah ce brave, qui ne s'est jamais opposé a Ranker... Ce brave me remettait du baume au cœur. Revenir le jour de la saint Valentin et découvrir son nouveau jeu m'amusaient. En tout cas, plus que les fameux cookies. Dès que je pus, je partis déposer la rose chez Kathleen Kingsley avec ce petit mot :
"Rejoins-moi dans les jardins pour me donner ta réponse. Dès que tu me verra, tu saura que c'est ma rose."
C'était peut-être une bêtise. Peut-être qu'elle verrait quelqu'un d'autre en route. Peut-être qu'elle avait déjà quelqu'un. Cependant, j'avais regretter un temps de ne pas m'être lancer avant. Je me rendis ensuite sur le 'lieu de rendez-vous'. Non, que je pensais rester là bas, mais ce lieu de rencontre me paraissait très approprié. C'était, et c'est toujours d'ailleurs, le lieu de notre première rencontre, de notre premier contact.
Je m'assis sur ce sol d'herbe froide, résigné à attendre l'arrivé de la E. Ça aller certainement encore gueuler. Elle chercherait certainement encore a menacer. Elle aurait probablement raison. Mais elle comme moi, nous savions que nous nous apprécions. La question était de savoir si nous en resterions à cette simple distance...
Spoiler:
hrp: je laisse le soin a Kathleen de poster le lieu proposer par malory
La Saint-Valentin. Quelle journée pourrie. Sérieusement. Mais bon, ce matin, tu as reçu une boîte de chocolat et une rose. Que tu étais censé offrir. Bon, on ne va pas se le cacher hein, tu t'es direct enfilé tous les chocolats. En même temps, il fallait bien ça, pour te rappeler que tu allais passer la journée toute seule. Mais non, pas seule. Il y a un mec, en A, qui a l'air d'avoir un caractère pas mal. Ce serait marrant de lui offrir la rose, voire sa réaction. Juste pour le fun, tu t'étais faite toute belle : maquillage, chignon et vernis rouge. Ainsi qu'une petite robe rose. Voilà, prête à recevoir le râteau de ta vie. Tu avais ensuite déambulé dans les couloirs à la recherche de ce mec. Un blond. Avec une tête qu'on oublie pas facilement. Et en A, en plus. Niquel. Puis tu le vois ensuite. Tu te précipites vers lui et lui sautes sur le dos. Bisou sur la joue et tu lui tends la rose.
— Hey, toi. Tu veux bien être mon valentin pour la journée ?
Tu souris et ris intérieurement. Sa réaction risque d'être assez marrante à voir. Préparons les armes.