Sujet: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Jeu 26 Mar 2015 - 0:25
Encore un de ces jours où je n’avais pas envie de parler, de m’amuser à sourire. Encore un de ces jours où j’étais trop fatigué pour lutter contre mon introversion. Et puis le climat actuel, cette guerre des couleurs ne donnait pas spécialement envie de faire des efforts. Je traînais des pieds dans les couloirs de Prismver, tout en soupirant tous les 10 mètres. Les cours étant finis, je sors de la salle de cours du 4ème étage et je me dirige vers les bungalows. Des cris attirèrent mon attention quelques mètres devant moi. Je levais la tête, un gamin, il devait avoir aux alentours de 13 ans, à en croire sa cravate il était en B. Toujours en avançant vers eux je tentais de comprendre la situation. Il était devant la porte de la salle de cours des B.
Il était entouré par trois élèves plus âgés, des E… Ils vont entacher l’image que certains se buttent pour laver. Ils semblaient lui faire obstacles… Ils n’étaient quand même en train de le racketter ? Une montée d’adrénaline se fit ressentir mon cœur mon cœur qui bat de plus en plus vite, mon corps qui devient de plus en plus léger. Encore une de ces situations où je perds mon sang froid et je laisse place à l’impulsivité.
J’accélérai le rythme. Le gamin venait de se faire attraper par le col par l’un des trois E. Je serrai le poing. J’étais à 1 mètre d’eux. « Rendez-lui ce que vous lui avez pris, et laissez-le partir. ». Ils se tournèrent tous vers moi. Un A qui cogne sur des E… C’est si original… Oh et puis ça m’aidera à renforcer l’image de pro-A que j’envoie. Bien évidemment je suis contre cette guerre. Mais disons que j’ai mon petit rôle à jouer. L’un des trois E demanda à ses amis « C’est qui lui ? », l’un d’entre eux répondit « Un A, il fait parti de la WIP jl’ai déjà vu faire le ménage, tranquille c’est des lopettes, on n’a rien à craindre de lui. Haha ! ». Ils rirent en cœur, je me mis à sourire.
« Oui mais… » Je posai mon sac, et en un éclair je collai une droite à celui-ci qui venait de m’insulter indirectement il tomba au sol sur le coup. « J’ai quitté le WIP il y a peu. » le petit bleu profita de l’effet de surprise pour s’en aller en courant. Un des deux E restant ouvrit une bouteille d’eau et en éjecta l’eau sous la forme d’une lance de glace, je phasai pile au bon moment, son projectile de glace me traversa sans me blesser. Je répliquai avec un coup de pied retourné et j’attrapai par le col le dernier debout. L’adrénaline toujours présente, j’avais les nerfs je ne supporte pas, je ne tolère pas, je n’accepte pas que l’on s’en prenne à plus faible que soi. « Je vous revois emmerder des gosses et je vous butte. Sale merdeux... »
Ils veulent jouer aux caïds, c’est la loi du plus fort hein ? La loi du talion c’est ça ? Je venais de perdre le contrôle total. Aveuglé par la colère je lui collai un coup de poing au visage, un second, un troisième, je m’apprêtai à lui en mettre un quatrième en pleine face mais une voix derrière moi m’arrêta. Je jetai le E que je tenais au sol et je me retournai. D’une voix grave et désagréable j’interrogeai mon interlocuteur. « Quoi ? ». Les poings serrés, j’étais prêt à en découdre, prêt à phaser à n’importe quel instant. Ici, on ne sait jamais sur quel pouvoir on peut tomber. Par chance, je suis plus ou moins intouchable.
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Sujet: Re: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Jeu 26 Mar 2015 - 14:05
Aujourd'hui était un jour comme les autres. Le jeune allemand se regarder dans le miroir, presque nu pendant plusieurs minutes, à philosopher sur sa vie, il prenait ses médicaments, il envoyait son lézard à Nathaniel, avec de petits mots doux, et allait en cours, simplement.
Une vie un peu plus stable depuis qu'ils avaient officialisé leur relation, ces deux-là. Ewald avait fini ses cours, et alors qu'il marchait dans les couloirs, direction la sortie, il entendit quelques jeunes nouveaux élèves parler d'un élève en B, qui se faisait apparemment régulièrement bizuter par des élèves plus âgés. Ewald soupira donc, Prismver n'avait vraiment pas besoin de ça.
Il s’apprêtait à emprunter le chemin afin de sortir en ville acheter quelques médicaments et bonbons que du coin de l'oeil un détail au loin le perturba. C'était en mouvement, et bien trop précipité et rapproché. Silencieusement, et curieux, l'allemand s'approcha et il vit un jeune garçon passer devant lui en courant, à vive allure. Puis il entendit quelques fracas.
« ...Putain.. », avait-il marmonné pour lui-même, il se dépêcha de courir et s'arrêta net en voyant un A donner ce qui semblait être un premier coup au visage d'un des E, un deuxième, un troisième.. Ewald ne pouvait pas laisser faire ce genre de chose !
« NON ! ARRÊTE ! »
Et étrangement, c'est ce que fit l'autre élève. Ah, il l'avait déjà remarqué plein de fois, de loin. Ewald regardait beaucoup les gens, et aucun visage ne lui était inconnu à Prismver. Mordant nerveusement sa lèvre, Ewald se rapprocha et lorsqu'il souhaita parler à celui à terre, celui-ci répliqua.
« Ha putain ! C'le mec là, il est malade j'le touche pas, sale pédé dégage. Viens on s'casse »
… Le B ouvrit sa bouche, tandis que ces deux E fuyaient, la queue entre les jambes. Toujours choqué, il regarda l'autre élève, ne sachant sincèrement pas quoi dire. Enfin, dans tout les cas, même si cet élève était un vrai goujat, cela ne lui donnait pas le droit de taper les autres comme ça !
« Vous croyez sincèrement qu'en tapant les gens, vous allez régler vos problèmes ? Je ne sais pas ce qui vous relie mais quand même. La violence n'engendre que la violence, il ne mérite pas que l'on s'occupe de son cas. Vous ne faites qu'aggraver les choses.. »
Et après, quand quelqu'un à une douleur on vient se plaindre à lui, et c'est lui qui morfle, donc si les gens pouvaient éviter de se taper sur la tronche à chaque fois. Ewald scruta la cravate de couleur violette de l'agresseur. Il savait que ce n'était qu'une classe, mais la plupart avaient une mentalité identique, du style « on est les meilleurs t'es une grosse merde on te tabasse quand on veut ».
Désolé pour la mini-rep. ;w;
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Sujet: Re: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Jeu 26 Mar 2015 - 20:52
Hmm… Lui… Je connaissais sa tête… Après tout je suis là depuis quoi 7, 6 ans ? Il a l’air inoffensif. Celui que je venais de jeter à terre gueula qu’il était homosexuel et malade… Je l’ignorai, enfin pour l’aspect pathologique de la chose, sa sexualité m’importe peu. Les deux E partirent, en tirant leur troisième ami que j’étais entrain d’amocher, profitant de l’interruption du grand brun. Je me relevai tout en réarrangeant mes cheveux avec ma main gauche, ma main droite étant ensanglantée…
Tout en écoutant notre sauveur j’époussetai mes vêtements, et je relevais la manche droite de mon uniforme, je ne voulais pas le salir. Je soupirais, je commençais à retrouver mon calme. Il me demanda si je croyais que la violence était la réponse à tous les maux du monde. « … Bien évidemment, les bleus sont parfaits, les bleus sont tout beaux, tout propres. Les bleus sont gentils. Les A ne sont que des connards arrogants. » … Bon ok, je n’ai peut-être pas totalement retrouvé mon sang-froid. « Enfin ce n’est pas mon opinion, je ne juge pas au premier regard pour ma part… » Bon ok, j’avoue que je fais preuve de mauvaise foi. Il pensait bien faire. Mais bon que voulez-vous, j’ai encore un peu les boules. Bien que ce n’était pas moi qui allait me faire cogner par trois brutes plus grandes et plus fortes que moi, ce genre de scène me foutent dans un état, je ne vous raconte pas… Putain…
Je soupirai et je me dirigeai vers le sac du gamin qui allait se faire frapper avant que je n’intervienne. Je le ramassai et je me retournai vers le grand bleu. « Le cerveau est fascinant. Il ne fait voir uniquement ce que l’on veut voir. Tu voulais voir un A tout ce qu’il y a de plus méchant, d’hautain et d’arrogant, et … me voilà. » conclue-je en lui faisant une révérence. Je lui lançai le sac du gamin de tout à l’heure. « Attrape. C’est à un gosse en B, il doit y avoir son nom dans l’un de ses cahiers, il allait subir un passage à tabac. Puisque tu sembles si concerné par le bien-être des gens je te laisse lui remettre ses affaires. »
Je m’étirai avant de m’avancer vers lui. « Bien évidemment tu es arrivé une ou deux minutes trop tard. Et je passe pour le grand méchant loup. » C’est stylé comme nom non ? Big…Bad…Wolf… ça claque. Ce sera mon pseudo pour mes prochaines LANParty… Je devrais peut-être rejoindre le club de jeux-vidéo… … Ouais je pense que ce n’est pas le moment ni le lieu pour y réfléchir… « Bon on fait quoi maintenant ? Tu me balances à la direction, où tu vas rendre le sac au mioche ? Je respecterai ton choix, et il n’y aura aucunes représailles… Bien que ce soit difficile à croire je déteste la violence. » Les mots sont bien plus fort. Et j’en avais déjà trop dit sur moi, enfin je trouve. Et puis je n’avais rien à lui prouver, et trop parler pourrait griller ma couverture…
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Sujet: Re: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Dim 29 Mar 2015 - 23:20
Ewald fronça les sourcils. Ce petit A était bien ironique. Ewald savait très bien que même si les différentes classes avaient un peu leurs caractères, chaque personne restait unique. Soupirant donc face aux bêtises du violet.
Il rattrapa le sac, celui du petit gamin apparemment. Rha, maintenant Ewald se sentait un peu coupable. Enfin, il avait vite comprit qu'une bagarre se passait, et il voulait juste éviter de faire encore plus de bordels, de victimes et évidemment après aurait demandé une explication.. Il posa le sac à terre, s'approcha lui aussi du A donc et prit sa main droite, celle avec laquelle il avait tapé. Il la regarda, et constata sans étonnement qu'il y avait un peu de sang, mais il ne sentait pas une quelconque douleur. Le malade lâcha donc la main de l'autre, dont il ne connaissait toujours pas le nom. « Je ne vais pas te « balancer » comme tu dis. Tu m'as mal compris. »
Il reprit le sac du gamin, qu'il porta d'une seule épaule, et soupira. « Que ce soit toi, si tu me permets de te tutoyer, ou les autres, moi non plus en général je n'aime pas la violence. Je voudrai juste mettre au clair que même si ici à Prismver 'nous' avons tous des préjugés sur les classes, je ne juge pas du premier abord, comme tu l'as insinué.. Je connais des A très différents de ce que l'on a de l'image des A justement.. Enfin.. Je suis heureux que tu ne sois pas blessé.. »
Il murmura par la suite, pour lui surtout. « Ca me fait moins de travail.. »
Maintenant, il se sentait obliger d'aller voir ces 'pauvres' E et de les aider à encaisser la douleur. Il se retourna donc, fis quelques pas et se retourna, ayant oublié de ire quelque chose. « … Au faite.. Merci d'avoir aidé le petit. »
Il fit un léger hochement de tête en signe d'au revoir, et retourna récupérer son sac. Il marcha donc, marcha, marcha... et finit par s'apercevoir que son sac avait disparu. Quelqu'un le lui aurait volé.. ?
« Euh..Excusez-moi.. C'était votre sac, par terre ? », Ewald se retourna, et vit le petit qu'il avait vu courir, c'était donc lui. Le pauvre avait déjà une sorte e bosse naissante au dessus de son œil. « Ces trois E.. Ils ont prit le sac quand ils ont su que c'était à vous et ils sont partis avec.. Je suis désolé.. »
Le B sourit doucement, tentant de rassuré le pauvre gosse, qui était sur le point de pleurer. Il s'avança, lui posa son sac à ses pieds et prit son poignet. « Ne t'inquiète pas, laisse moi faire, ça va être un peu douloureux.. »
Il se concentra, ferma les yeux et grimaça en sentant la douleur dans son poignet, puis la douleur aiguë qui se fit ressentir sur son visage. Quand ce fut finit, il lâcha le gosse et passa une main dans ses cheveux. « Si tu as des problèmes, vient me voir, d'accord ? »
Le petit reprit son sac, hocha la tête et parti donc rejoindre son cours. Ewald, lui, resta planté là. Bon, il devait retrouver son sac..
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Sujet: Re: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Dim 5 Avr 2015 - 1:14
J’étais intrigué par le gus que j’avais en face de moi, je le regardais attentivement, j’examinais ses moindres faits et gestes. Il s’approcha de moi, et brisa mon périmètre d’intimité, ce qui me surprit sur le moment. Il prit ma main un court instant, il semblait m’examiner. Mais dans quel but ? Pensait-il que c’était mon sang ? Je phasai et m’échappai de son emprise avant de reculer d’un pas. Je l’écoutai parler à moitié. Il se justifiait vis-à-vis de mes propos, puis il me remercia d’avoir aidé le gamin.
Ce dernier réapparu, et il nous appris que le sac du grand B a été piqué par les trois 3 de tout à l’heure… Hmm… Ils doivent être à « l’étage des nuls »… Je le regardais prendre la main du mioche… Il a fait la même chose qu’avec moi… ça doit avoir un lien avec son don… Il semblait… souffrir ? … Absorberait-il la douleur ? Bref… « Ne bouge pas. » Je phasai alors qu’il tenait encore la main du mioche. Je descendais d’étage en étage à travers le sol.
J’arrivai au deuxième étage, et j’entrai dans la salle de cours des E. J’étais fixé par tout le monde. Ils étaient une dizaine, dont les trois petits cochons. Je m’approchais vers eux. Je fermais les yeux un court instant, je me repassais la scène, les sacs qu’ils avaient en mains… Je n’arrive plus à m’en souvenir. Et puis merde je n’allais pas me prendre la tête plus longtemps. « Le sac là ? C’est bien celui-là que vous avez pris au B ? » Qui ne dit mot consent. Je le prends. Et je repars en restant sur mes gardes. Mon arrivée avait lancé un silence de mort. Une fois dans la cage d’escalier, je remontai en courant les marches en espérant que le grand bleu n’était pas parti. J’arrivais enfin au quatrième étage, me dirigeant vers l’endroit où j’avais laissé mon camarade avant de phaser à travers le sol. A peine essoufflé je lui tendis son sac. « Tiens je crois que c’est le tiens. Tu n’auras pas à les voir, où à absorber leur douleur… Si j’ai bien compris tes intentions envers le gosse… Et la raison pour laquelle tu m’as pris la main tout à l’heure… C’était ça hein ? J’ai vu la tronche que tu as tirée quand tu as touché la main du petit. C’était de la douleur. »
Je soupirai. « La douleur peut être salvatrice. L’œuvre de Dieu pour certain, enfin au Moyen-Age, et encore aujourd’hui certains voient ça comme un moyen de purger leurs pêchers. Ce serait égoïste que de priver les gens de ça. N’essaye pas de sauver le monde de cette manière, tu risques très certainement d’y laisser des plumes. ». Je ne pris pas la peine d’attendre qu’il me réponde. Je phasai à travers le sol jusqu’au rez-de-chaussée. Direction le bungalow, parler avec des inconnus me fatigue plus qu’autre chose… Surtout qu’il m’a touché… J’ai toujours eu du mal avec le contact… Mon introversion se faisait ressentir, j’avais vraiment besoin d’aller m’isoler dans ma chambre et de me reposer.
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Sujet: Re: Quiproquo ft. Ewald Ludwig Mer 15 Avr 2015 - 2:19
« Ne bouge pas »
Ewald regarda le A partir, avant de regarder le petit. Celui-ci s'excusait d'avoir créer des problèmes, il avait comprit le quiproquo entre le B et le A qui l'avait sauvé, et donc, en tant qu’aîné il rassura le plus petit, souriant. Juste à aider les autres, Ewald se sentait accompli. Bien qu'ils n'avaient que quelques années d'écart, le malade ne pouvait s'empêcher de s'imaginer un fils, ou bien une fille. Bon, s'il restait avec son petit-ami, ce serait difficile, mais ils pourraient toujours adopter.. Si Ewald vivait assez longtemps, et que sa maladie ne se décidait pas à faire sa salope.
Perdue dans l'euphorie, il sursauta. « Tiens je crois que c’est le tiens. Tu n’auras pas à les voir, où à absorber leur douleur… Si j’ai bien compris tes intentions envers le gosse… Et la raison pour laquelle tu m’as pris la main tout à l’heure… C’était ça hein ? J’ai vu la tronche que tu as tirée quand tu as touché la main du petit. C’était de la douleur. »
Le brun regardait le sac. Il, c'était bien le sien. Il le prit donc, silencieux. L'autre, là, était plutôt observateur. Enfin, il fallait être un idiot pour se douter de rien. Ce que dit par la suite l'autre élève le laissa perplexe. « La douleur peut être salvatrice. L’œuvre de Dieu pour certain, enfin au Moyen-Age, et encore aujourd’hui certains voient ça comme un moyen de purger leurs pêchers. Ce serait égoïste que de priver les gens de ça. N’essaye pas de sauver le monde de cette manière, tu risques très certainement d’y laisser des plumes. ».
Plutôt fragile quand on venait à décortiquer le sujet « un jour il t'arrivera un truc grave », il mordit sa lèvre, les yeux humides. Il voyait la silhouette flou partir, silencieuse. Il n'avait rien demandé quand 'cela' s'est passé.. 'accidentellement' va t-on dire. Son premier contact avec le « jugement de Dieu » l'avait déjà puni, condamné à vivre de médicaments, de test et de médecin. Certes, le SIDA n'empêchait pas de vivre jusque vieux, mais si la maladie le pouvait, dès demain il pouvait se retrouver sur un lit d’hôpital à attendre de crever. Ewald, lui, il enculait Dieu.
« … Je ne sais toujours pas son nom. »
Il eut un rictus, soupira, ouvrit son sac et fronça ses sourcils. Ses livres étaient intacts, ses cahiers, tout était en place. Sauf une chose. La seule chose qu'il ne fallait pas prendre.
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Sujet: Quiproquo ft. Ewald Ludwig 
Jeu 26 Mar 2015 - 0:25
