Le « Remains »
(Quotes et lieu 100% inventé par Charlie T. Bennett, ancienne membre)
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Nouveau propriétaire: Abel D. Crane, professeur à Prismver (personnage supprimé)
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Employés : Erin et Lucy (PNJ), deux adultes assurant le service quand les élèves ne sont pas là
Tous les serveurs sont habillés comme ils le souhaitent mais portent le même tablier couleur lie de vin. La manager porte un petit badge avec son nom.
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Le café est composé de:▬ Une salle principale, cosy, british, avec des tables de deux, quatre, ou de grands bancs et banquettes.
▬ Un espace plus lounge avec des canapés et fauteuils dépareillés pour les bouquineurs + œuvres d'artistes locaux
▬ Une grande table avec 4 ordinateurs fixes qui se font face + une imprimante, le tout en accès libre pour ceux qui consomment.
▬ Au fond du café : une scène pour des petits concerts
▬ L'arrière boutique: réservée au personnel, un couloir donnant sur un petit vestiaire avec casiers, ainsi que sur le bureau du gérant, toujours fermé à clé évidemment.
•• On y mange: baggles, tartes, club sandwich et viennoiseries british
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« C’est juste parfait. Et l’endroit est fréquenté par une clientèle assez différente en fonction des heures de la journée et entre la semaine et le week-end. »
« Il y a les fidèles : des travailleurs qui viennent prendre un café serré sur le comptoir qui fait face à l’une des baies vitrées, dès que le soleil les nargue trop, ils filent. »
« Son flegme et sa patience sont plutôt étonnants. Des traits de caractère que l’on retrouve chez Ruppert. Mais à la sauce typiquement british, old school et de bonne famille. C’est l’un des premiers à passer le pas de la porte, tiré à quatre épingles. Lui aussi vient prendre son petit déjeuner, mais c’est un grand mot. Il commence par un café noisette, puis deux ou trois tasses de café bien noir dont il ne se sépare que pour tourner les pages du Guardian. »
« Les deux blagueurs du jeudi d’après ce que j’ai compris. Ils ont la pêche et essayent de faire rire tout le personnel au moins une fois par semaine. »
«C’est ça le matin. Des habitués à peu près calmes en table et pour le reste, c’est juste du va-et-vient. Erin et Lucy, mes acolytes de derrière le comptoir, font le show en préparant bagel et club sandwich. Les aliments deviennent danseurs pour divertir les clients qui patientent. Bonne humeur dans laquelle elles essayent de m’attirer en me donnant des coups d’épaule et en me chantonnant dans les oreilles. Un léger rire s’échappe finalement, même si au départ elles ne récoltaient pas vraiment plus qu’un gloussement amusé. J’encaisse après un énième dessin sur le dernier café servi -cet exercice va me stresser encore longtemps.»