IT IS TIME FUCKTARDS FOR SOME LATIN 101! [E & D]

Invité**Invité**

Mandatory attendance policy. Pour nos spectateurs francophones très nombreux dans les gradins, cela correspondrait à « être obligé de devoir participer à un cours même si l’on n’en a pas envie. Pourquoi ? Car le système scolaire aime être chiant. » et malheureusement cette loi ne s’applique pas forcément qu’aux bons – et surtout aux mauvais – élèves de Prismver, elle s’applique également aux enseignants dérangés de l’établissement. C’est ce que l’on appelle « avoir un travail » les enfants. Profitez de l’époque où vous n’êtes qu’au collège/lycée. Ce ne seront pas vos meilleures années je le reconnais, mais au moins cela ne sera pas aussi difficile que de devoir travailler.

Donc. Que voulez-vous que je vous dise ? L’vieux dirlo en ayant assez de voir un ex-E, et qui plus est, professeur de l’illustre établissement en Latin, se toucher l’asticot car personne ne prend Latin comme seconde ou troisième langue – cela tombe sous le sens. Quel fou prendrait cette langue de plein gré en pensant que cela l’aiderait dans le futur ? Hm ? Soyez franc ! Enfin, pour contrer cela – et promouvoir la langue par la même occasion – le vieux fou permit – et insista énormément sur ce point – que l’Autrichien doive enseigner à ces pauvres fous la langue de César. Fallait bien qu’il mérite son salaire hein. Fichu dirlo de mes deux…

Donc. La scène prend donc place dans la salle des E. Miteuse n’est-ce pas ? Pourquoi ne pouvait-il pas simplement faire la leçon dans la classe des D, étant donné qu’ils devaient participer à ce cours ? Bouddha Joseph, aimes-tu faire souffrir les élèves en les faisant étudier dans des conditions misérables ? Sick bastard! Et il en est fier, que de les voir souffrir, ces petits garnements ! A leur âge, il vivait dans son coin, loin de tout contact social avec les élèves et les profs. Pourquoi plus personne n’est comme cela de nos jours ? L’isolement fait donc aussi peur que cela aux non-initiés ? Mais il y a du bien dans cela ! Bien que l’on se passerait de la petite phase de folie qui peut arriver au bout d’un an ou deux d’isolation sociale.

Il les regardait d’un air haineux, hautain. Les E – loin d’être les meilleurs élèves ça pour sûr. Il ne les détestait pas personnellement, il n’avait pas le même avis que la plupart des profs les considérant comme des causes perdues, après tout, Wolfensteïn fut lui-même un élève de la E. L’Autrichien détestait tout simplement l’être humain en général, sans distinction – ce qui, en un sens, le rendait ironiquement l’une des personnes les moins racistes que je connais. « Ne soyez pas racistes, haïssez tous le monde ! La vie sera nettement plus simple comme cela. ». L’inconvénient restait que personne n’allait l’apprécier – sauf les masochistes en puissance – mais cela n’est pas bien grave lorsque l’on est asocial pour commencer. Joseph brisa le silence en posant la question suivante.

« Donc. Bienvenue au Latin 101, fucktards. J’doute que vous ayez l’envie d’apprendre quoique ce soit et pour être franc, si l’dirlo ne m’obligeait pas à faire cela, j’s’rais certainement en train de manger un paquet d’chips en voyant l’Inspecteur Derrick. Même si l’salopard qui l’joue a été suspendu d’l’audimat pour son passé nazi. Huh, quelle guigne. M’fin. Pour commencer sur un sujet tout con – donc facile pour vous – sauriez-vous me dire un proverbe Latin, son sens et si possible, celui qui l’a dit ? Alea Jacta Est et Veni, Vidi Vici ne sont pas les seuls proverbes vous savez. »

Invité**Invité**

Il s'ennuie, dans la rue, il s'ennuie dans sa vie [...] on devient fou ici.

are you ready are you ready?

L'étage des E – du bordel, des murs à moitié effondrés, les cadavres des panneaux indiquant les salles de cours. L'opposé des violets ; et au lieu de fuir ces lieux, il y passe la majeure partie de son temps. L'on s'ennuie tellement moins chez les E qu'avec sa classe. Puis Cyr, il s'amuse à redécorer les couloirs ; qui s'en soucie, du balcon ou du mur de droite ? Il passe son temps comme il peu, l'irakien. Une bière à la main, il traîne des pieds, l'air vaguement paumé. Affublé d'une de ses habituelles tenues burlesque, personne n'aurait pu douter de son appartenance aux E.

Mais Cyr, il n'en a rien à foutre – 'pas son turban ou ses créoles qui influeront sur son intelligence. Puis, aujourd'hui, il a décidé de s'incruster dans un cours destiné aux E ; juste histoire de voir. Surtout de tuer le temps. Tous en cours, les gens. Lui, il a un trou. Les soirées, en soirées, pas en pleine journée. Lui reste plus rien à faire – lui reste juste à errer comme une âme en peine à tous les étages de Prismver.

Le plus naturellement du monde, il se faufile parmi une classe -enfin, un troupeau- de E, les suivant dans une salle de classe. Sa bière à la main, toujours. Pas comme si quelqu'un pouvait le lui reprocher, de toute façon. Se place en fond de salle, s'affalant nonchalamment sur sa table. Pas d'affaires. Pour tout ce qu'ils allaient apprendre dans ce cours, de toute façon. Même pas digne d'être appelé cours. Juste une foire dans laquelle s'exposait une bête enragée sur l'estrade – ici, le nouveau professeur de. Latin, tiens. Coupant court à son monologue des plus ennuyants, il lance d'un ton joyeux - « Carpe diem. Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain. » envoie un clin d'oeil aguicheur à son professeur, tout finissant sa bière – pour le plaisir d'être délicieusement insolent. C'est qu'il faut bien se distraire un minimum. Allez le peuple, amusez-moi. L'a pas l'air commode, l'enseignant. Se désintéressant un instant de lui, l'irakien s'amuse à aurifier sa table, puis sa chaise, chantonnant un air de Madonna. Frozen. Il en a des choses, dans sa playlist. La salle est insalubre. Il l'éclaire un peu.

made by pandora.

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Lunettes sur le bout du nez, paquet de Gitane en poche, c'est avec un simple cahier en main et les pieds raclant le sol que tu te rends jusqu'à cette... classe ? T'es pas dans ton étage, t'es comme perdue, tu sais plus si tu dois mettre un pied devant l'autre, ou l'autre pied devant le premier ! Tu t'arrêterais bien pisser sur un mur, là, histoire de marquer ton territoire, mais, qui le remarquerait ? Ce serait un effort inutile. A l'étage supérieur, tu as laissé le petit mot de la mort « votre amoureuse vous quitte pour le pire » : t'avais pas tort. A vrai dire, tu ne passes pas ta vie dans cet étage, si ce n'est pour chercher tes compotes qui ont plus tendance à traîner dehors. Alors ici, là, ben tu te sens quand même bien. Faut avouer qu'il est cool cet étage. Tu prends une clope dans ton paquet, tu accostes un passager pour avoir du feu (ah ! quel malheur de ne jamais avoir de matos sur soi !) et tu passes le seuil de la salle que tu es censée rejoindre. Pour du latin. Oui, maintenant, tu sais puisque tu arriver pile à ce moment où ce type louche debout face à une classe de débauché prononce « Bienvenue au Latin 101, fucktards. » C'est donc pour ça que personne ne prend cette option ! Tu trottes jusqu'au fond de la salle et tu étales ta graisse juste à côté de Cyr, avec une tête un peu, énormément de « kwaaaaa ? kestufous là toi ?! ». D'ailleurs, juste après cet acte, tu t'exclames
▬ Kwaaaa ? Kestufous là, twa ?
avec beauté.

Invité**Invité**

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boooooooreeeed

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Vous savez ces temps-ci, je me sens molle. Comme un mec impuissant.

Larvesque.

Ca fait des jours que je m’emmerde samère, et que j’ai pour seule occupation de me retaper tous les disneys à la suite entre les cours. C’est cool les disneys, c’est bien, c’est joli, mais putain qu’est ce que ça peut te rendre grosse. J’peux vous dire que les paquets de chips qui accompagnent chaque chanson d’un film, tu les sens passer. M’enfin, j’dis ça, mais je sais que je grossirai pas. Je vais rester désespérément maigre, en bonne fille dégueulassement anorexique que je suis.

Je m’emmerde.

C’est donc dans l’espoir que quelque chose se passe que je sors de ma chambre pour aller me promener dans les couloirs, les couloirs des E, parce qu’ils sont bêtes et que leurs portes-monnaies sont facilement accessibles. (et non pas pour rencontrer une certaine personne de E dont je ne veux pas entendre parler.) Oui oui, moi je viens pour les porte-monnaie, parce que c’est cool ça les porte-monnaie. Ne me regardez pas comme ça voyons, je ne suis dotée d’aucune mauvaises intentions. Juste d’un drôle de passe-temps ♥

J’arpente les galeries dévastées par le primitivisme sanguinaire des E avec consternation, regardant autour de moi à la recherche d’une âme perdue comme la mienne. (dis comme ça, avouez que je paraît très intelligente. Très A. Très snob. Très conne aussi.) Je soupire. Et bien. Il n’y a personne. Je continue mon chemin, mes baskets bousillées grinçant sur le lino dont la couleur a changé depuis ma dernière visite. Et je ne veux pas savoir pourquoi.

J’entends du bruit.
Enfin du bruit, c’est vite dit.

Plutôt une sorte de cri animal, un croisement entre un canard et une truie … Gasper quoi. J’veux dire, j’en étais sûre, ça pouvait être qu’elle qui parle avec cet accent danois tout moisi. Je passe ma tête par la porte, remarque un professeur, remarque Gasper, et remarque à côté de qui elle est assise. Oh putain. Cyr.

Qu’est . Ce. Qu’il. Fout. Là.

Lui là, un sale intello dans ce bâtiment qui pue la pisse ? TROLOLO. C’est fun. Puis il serait pas en train de draguer par hasard ? Non pas déjà quand même. Et pas avec Gasper ? EH MAIS …. C’est qu’il a de la bière le glandu. OH PUTAIN FAUT QUE J’Y AILLE. Mais attends là, on est en quoi ? Je lis le planning accroché au dos de la porte. Latin. Latin hein …. Bah, ça peut être cool ça, si on parle de romains torses poils se bécotant entre eux.

Je passe la porte en saluant vite fait le professeur, me dirige vers mes deux potos assis côte à côte, prend place devant eux, m’affalant avec élégance (comme toujours) sur la chaise.

« Alors bande de blaireaux, on s’croit au bar ? »

Je souris, passe un coup de main rapide dans mes cheveux, avant de me retourner à moitié vers le professeur et de balancer la seule expression latine que je connaisse.

« VADE RETRO SATANAS. »

~~Bambimbambim dans ta gueule !~~
Je reste ainsi là, les jambes croisées, assise de biais, un de mes coudes sur ma table et l’autre sur celle des autres glandus d'amour que j'aime.
Détendue, j’attrape la canette de bière de Cyr et la porte à mes lèvres. Miam ♥ Je sens que ce cours va être cool.

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[i]Courir. Vite. Plus vite! Je suis en retard... Tout ça à cause de quelques démarches administratives, épuisantes et ennuyantes à mourir. Je n'ai pas eu le temps de me coiffer ce matin, et mes longues boucles noires tombent devant mon visage. Je dois avoir une véritable crinière sur le crâne à présent... Ma sacoche rebondit contre ma hanche à chaque foulée, tandis que l'adrénaline m'accompagne en une course furieuse ayant pour circuit le réseau fin de mes veines bleutées.

Je sens le sang me monter au visage, ma peau est sans doute rougeâtre. Qu'importe mon apparence! De toute façon, j'ai l'air d'une grosse truie engoncée ainsi dans ce uniforme bien trop près du corps à mon goût. Et la jupe bon sang la jupe! A-t-on idée de porter de vêtements aussi courts? Je me sens vraiment mal à l'aise... Je ne fais même pas attention au décor qui est pourtant... Particulier. Apocalyptique est le premier mot qui me vient à l'esprit. C'est vraiment là où j'ai échoué? Dès que j'ai ma mère au téléphone, je la supplie de me ramener à la maison. Parce que là, c'est sûr, je vais finir par y laisser ma peau... Je suis normale moi! Je n'ai aucun pouvoir... Et j'aimerais éviter de revenir auprès des miens entre quelques planches de sapin. Non de pin plutot. C'est plus joli. J'évite un débris non identifié, et me précipite vers la salle n°101.

Après un long dérapage non contrôlé, j'arrive devant la porte. Fermée bien sur. Je frappe, sentant mes joues s'embraser, et entre. Mon coeur bat à se rompre et je parviens cependant à bredouiller un pauvre "désolée"... Je me laisse tomber sur une chaise vide, la plus proche. Je n'ose lever les yeux vers les autres, et me cache sous mon opulente chevelure. Le professeur semble énervé d'être là, les élèves aussi. Mais dans quelle école suis-je tombée? Pour un peu, je sentirais les larmes me monter aux yeux. Cependant, quand j'entend le prof parler de latin je tends l'oreille, mobilisant quelques souvenirs de collège. Il demande un proverbe en latin. Et je murmure alors doucement

"Vae Victis. Malheur aux vaincus... de Vercingétorix si je ne m'abuse"

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Deuxième étage. Salle de cours. Latin.

IT IS TIME FUCKTARDS FOR SOME LATIN 101! [E & D] Faites11

Assis vers le milieu, mais quand même plus vers le fond de la classe, Austin était là sans être là. Il avait dû arriver dans les tous premiers. Comme à son habitude, le garçon avait son casque vissé sur les oreilles en attendant le début du cours. Le regard flou, perdu dans ses pensées pour ne pas changer jusqu'à ce que le fameux teacher ne commence son discours d'introduction au latin « Bienvenue au Latin 101, fucktards ». Sympa, pensa-t-il.

C’est au même moment qu’il entendit du bruit derrière lui. Jetant un regard circulaire sur la pièce, Austin aperçut d’autres élèves et à voir la réaction de certains, il y avait un intrus dans la salle. Une personne d’une autre classe (autres que D et E) ? Mais qu’est-ce que les gens avaient à assister aux cours auxquels ils n’étaient pas invités ? Vraiment ennuyant. Est-ce que lui, un E, venait déranger les, tiens prenons les A par exemple, pendant leurs cours ? Non, eh bien que tout le monde fasse de même.

« sauriez-vous me dire un proverbe Latin, son sens et si possible, celui qui l’a dit ? » Fusa immédiatement une, puis deux réponses. Aussi vite, s’étonna Austin. Les gens étaient motivés aujourd’hui… auraient-ils mangé du bœuf ? Peu importe. Son intention n’était nullement de participer au cours, mais plus de faire acte de présence, voire si le prof est bon d’apprendre des choses… mais peut-être ne fallait-il pas avoir de trop hautes exigences vis-à-vis du corps professorat de l’établissement. Quand on pense que c’est le dirlo qui les a recrutés, il y a vraiment de quoi douter de leurs capacités ! Pourquoi y assister alors, surtout lorsque l’on sait que ce cours est considéré comme une option ? Par simple curiosité. Mais principalement pour passer le temps. Car oui, le temps passe lentement ici.

S’enfonçant dans son siège, Austin leva les yeux au plafond. Se gratta un moment la gorge. Qui avait bien pu être chargé de la décoration de la pièce, surtout lorsque l’on sait que celle-ci restera « ad vitam aeternam » ? Ces couleurs criardes étaient censés nous donner envie d’étudier à c’qui parait… plutôt à nous donner des envies suicidaires ouais, tout comme ce cours pensa-t-il. Non mais sérieux, qui apprend de nos jours une langue M.O.R.T.E !? Toi, s’écria-t-il. A cette pensée, le garçon ne put réprimer un sourire. Franchement le voilà dans de beaux draps. Plus qu’à espérer que le prof et son cours en valent la peine.

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Encore un peu plus, et il allait finir par se faire jeter de ce pensionnat, à chaque fois il faut qu'il arrive en retard, et pourtant, il y a va tranquillement, il siffle presque un petit air qui rejoint celui des oiseaux, presque comme une harmonie parfaite, l'homme et la nature, réunis en un seul être.
Pourtant, ce n'est pas le pouvoir de ce jeune homme, il est beaucoup plus...saoulant. Il sait s'en servir, mais sa flemme de tout l'a poussée dans cette fameuse classe, qu'est la classe E, encore un peu plus, et peut être qu'il allait finir en tant que simple larbin...
Et le voici enfin arrivé, devant cette fameuse salle, il a donc du latin pour le moment, lui qui ne sait même pas parler un traitre mot d'Espagnol, ou bien de Français, voilà qu'il doit tout faire pour masquer son accent américain pour essayer de devenir un vrai connaisseur dans cette langue à présent morte.
Entrant dans cette classe, il dit juste un simple :

- Bonjour.

Puis, il alla s'asseoir au fond de la salle, regardant, épiant même, chacun de ses camarades, avant d'ajouter simplement, alors que le professeur ne lui avait même pas demandé :

- Carpe Diem.

A vrai dire, il ne connait même pas le sens de cette phrase, c'est peut être philosophique, peut être que ça ne l'est pas. En tout cas, il ne compte pas faire grand chose pendant ce cours, peut être rattraper son sommeil. Dommage qu'il ne puisse pas s'allonger, ça l'aurait au moins réconforté à l'idée de ne vraiment rien faire d'autre que de dormir. Il s'étire donc vaguement, baille sans mettre ses deux mains devant sa bouche, et continue d'épier de son regard de reptile ses camarades.
Ils sont dans le même cas que lui, des cancres, mais peut être qu'eux sont plus travailleurs que lui, lui qui a eu l'honneur de redoubler deux fois, il se retrouve donc une fois de plus en quatrième année, il en a vu des personnes dans cette classe, il se considère légèrement comme un vétéran, il connait presque certains cours par coeur, encore faudrait-il qu'il se donne les moyens pour réussir les examens...
Son regard se penche donc sur une fille, elle avait l'air pressée, peut être qu'elle aussi, était en retard comme lui...

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Je ferme les yeux, cachant l'océan se cachant dans mes iris. Je tente de reprendre ma respiration, même si l'adrénaline rebelle ne m'aide pas. Elle ne comprend pas qu'il faut qu'elle quitte la scène et reste, me rendant fébrile comme une jeune mariée. Poupoum. Poupoum. Poupoum. Mon coeur bat et s'emballe en un concert de percussions brûlant. Pour un peu, je me croirais en Afrique...

Le prof se tait, tandis que des réponses fusent ou viennent à lui paresseusement. La porte s'ouvre et un autre élève entre. Je ne lève pas la tête mais intérieurement je suis soulagée. je ne suis pas la seule à être en retard! Il s'assied à coté de moi, baillant sans vergogne. On dirait un éléphant de mer... Je me retiens de rire, pensant avec justesse que la comparaison ne lui plairait pas. Pourtant, je sens son regard froid sur moi. J'ai l'impression désagréable d'être observée par un cobra aux aguets... Non. Pas un cobra. Plutôt un alligator mimant le sommeil entre deux eaux pour mieux happer sa proie. Je me retourne, un peu brutalement. Mes cheveux forment une courbe ébène composée de mille et unes boucles et retombent dans mon dos tandis que je le regarde droit dans les yeux. Mes joues rougissent tandis que je le détaille. Puis je souris en le reconnaissant

"Salut..."

Invité**Invité**

Le roi lézard est généralement aux aguets, mais ce coup-ci, voilà qu'il vient de se faire réveiller par une pauvre aventurière curieuse.

- Salut, je crois t'avoir déjà vu quelque part... Le café de Georges le vieil Anglais non ?

Sa mémoire lui fait décidément défaut, ce n'est pas l'alcool qui le rend amnésique, c'est simplement lui, comme si ses souvenirs se mélangeaient chaque jour indéfiniment dans sa tête comme une tempête de sable en plein désert du Sahara.

- J'ai vu, j'ai vécu, j'ai vaincu. Enfin, je me suis rétamé deux fois par les professeurs...

Ajouta-t-il, ricanant légèrement, il n'avait même pas pris son sac, il était venu détendu, il en avait l'habitude de toute façon, et maintenant le voici encore dans ce cours de latin qui ne cesse de l'importuner, lui, le pauvre américain qui s'est retrouvé ici à cause de ses parents qui espéraient qu'il se ressaisisse pour continuer ses études. Mais que faire dans la vie ? Il n'en avait aucune idée pour le moment. Il passe juste une main sur son torse nue, il aime bien sentir sa peau, elle est douce, et pourtant il n'en prend pas soin, il ne la laisse même pas bronzer quand le soleil ose montrer son allure torride et que certains élèves se dorent avec lui pour avoir une peau bronzée. Il n'est pas comme ça lui, il préfère rester à l'ombre, il préfère les endroits où il fait frais, les reptiles préfèrent fuir un gamin qui essaie de les attraper, c'est généralement en galopant vers des fissures qu'ils arrivent à échapper à ce petit être qui ne sait pas ce que c'est de survivre. Puis il regarda le professeur, il avait l'air d'être légèrement fou, mais c'était bien, les fous dirigent le monde, n'est-ce-pas ?

- Alors comme ça, toi aussi t'as juste envie de te casser de ce cours ennuyeux ?

Dit-il à Morgane, bien qu'il ne sache pas si elle avait envie de partir parce qu'elle trouvait ce cours ennuyant, peut être qu'elle était juste une élève de la classe A qui venait par curiosité, même si c'était faux, il l'avait vu passer les même examens que lui, et se planter comme lui...

Invité**Invité**

«Flower pot»

«Ceeey mooooi~»

Le pot de fleur au fond de la classe.
C'est joli, ça décore, ça prend un peu de place mais pas trop, ça fait pas de bruit...
Ça résume bien le rôle de Cherry en classe de latin. Pourquoi avait-elle prit cette matière... ? Pour avoir son quotas d'heure de cours, point. Sûrement pas par intérêt. Sans déconner, à part pour éviter à la langue de tomber dans l'oubli, à quoi ça sert de prendre des cours de latin ? Génial, tu sais que "chien" vient de "Canis", t'es comblé...
Tu rajoutes "Latin" sur ton CV, ça va rien changer. T'imagines ton futur boss ?
"Alors, vous ne savez pas parler anglais, vous n'avez pas votre Bac, à peine votre brevet sans mention, et en plus de ça un casier judiciaire... AH ATTENDEZ !! Vous savez écrire en latin ?? BORDEL DE MERDE JE VOUS ENGAGE VOUS COMMENCEZ DEMAIN !!!"

Non.

Ça ne marche pas comme ça. Alors pourquoi du latin ? Franchement Cherry, qu'est-ce que tu fais ici ? Pourquoi est-ce que t'as pas pris quelque chose de plus ludique comme MPS, histoire de disséquer des souris, ou bien PFEG pour avoir l'air intelligente quand tu causes 'économie' avec un garçon qui te plaît ?

« Donc. Bienvenue au Latin 101, fucktards. J’doute que vous ayez l’envie d’apprendre quoique ce soit et pour être franc, si l’dirlo ne m’obligeait pas à faire cela, j’s’rais certainement en train de manger un paquet d’chips en voyant l’Inspecteur Derrick. Même si l’salopard qui l’joue a été suspendu d’l’audimat pour son passé nazi. Huh, quelle guigne. M’fin. Pour commencer sur un sujet tout con – donc facile pour vous – sauriez-vous me dire un proverbe Latin, son sens et si possible, celui qui l’a dit ? Alea Jacta Est et Veni, Vidi Vici ne sont pas les seuls proverbes vous savez. »

Mr. Wolfensteïn.

Ah, elle n'en rate pas une... Pourquoi est-ce que j'ai posé la question ? Elle vient pour le prof, bien sûr. La figure emblématique, celui qui inspire (normalement) l'autorité chez les élèves. L'adulte.
En fait tout ça, elle s'en fout... Elle sait juste que Mr.Wolfensteïn est un prof charismatique parmi tant d'autres. Prismver ne recrute que ça visiblement. Ils ne savent plus quoi faire pour attirer l'attention des élèves... Une aubaine pour la rouquine, elle avait sûrement l'intention d'aller emmerder le prof' après les cours, comme d'hab'.

Enfin bon, pour le moment, elle cherche plutôt un moyen de passer le temps. Elle regarde les autres élèves déjà présents dans la salle. Des inconnus. C'est qui eux ? Elle croise vraiment ce genre de personne tous les jours ?? Aucune face ne lui revenait, à part celle du garçon qui se ramenait en cours avec une canette de bière.
Y a bien des meufs qui viennent avec leur bouteille d'eau minérale, chacun son trip !
Cyr, son camarade de foutage de merde~ ! Lui, ici ?? Il avait fait tellement de connerie qu'on l'avait descendu chez les E ou quoi ?
Pour le moment, Cherry décida de ne pas se faire remarquer. Assise à la table derrière lui, elle se contentait d'esquisser un sourire, satisfaite.
Ça allait être marrant~

(c) RadioEuphoria

Invité**Invité**

Le garçon me regarde, froid et détaché. Je me sens toute petite devant lui... Vulnérable. Je tente de chasser cette impression désagréable. Il a sûrement des pouvoirs, mais puisqu'il est ici, il a aussi échoué. Nous sommes donc au même niveau non?

- Salut, je crois t'avoir déjà vu quelque part... Le café de Georges le vieil Anglais non ?

Sa voix est rauque, mais dotée d'une étrange sensualité. Une voix de pseudo-playboy sans profondeur, qui tente d'amadouer comme ils peuvent ceux qui sont en face d'eux. Je secoue la tête négativement. Je ne sais même pas où se trouve ce café. Je viens d'arriver... Et de toute façon, je suis mal à l'aise dans les lieux publics, autant qu'un poisson dans une nasse.

- J'ai vu, j'ai vécu, j'ai vaincu. Enfin, je me suis rétamé deux fois par les professeurs...

Il ricane, en une mauvaise imitation du Joker. Malgré son air détendu, il semble amer... Une pointe de compassion fait son apparition. Mais le voilà qui se caresse le torse d'un air absent. Il semble m'avoir oubliée. Mes sourcils se froncent. Ce n'est pas une attitude à avoir en public! Je me touche la poitrine en cours moi? Non. Alors pourquoi le fait-il? Je remarque néanmoins que sa peau pâle reste plus dorée que la mienne, et j'en ressens une pointe de fierté. La blancheur de ma peau est mon seul atout après tout... Le garçon se tire du magma glauque de ses pensées et m'adresse à nouveau la parole, d'une voix totalement neutre.

- Alors comme ça, toi aussi t'as juste envie de te casser de ce cours ennuyeux ?

Ennuyeux? Mais le cours n'a même pas commencé! Et c'est si courant ici de sécher les cours? Peu importe, moi je ne sécherais pas. Déja que je n'ai rien à faire là, je ne vais pas en plus causer des problèmes...

-Non, le latin peut être intéressant... Inutile certes mais intéressant. Tout dépendra du prof... Et toi?

Invité**Invité**

Je me demande surtout, si les gens à cette époque buvaient de l'alcool...

Puis, il retira lentement la main de son torse, il se baissa, comme pour sortir ses affaires de cours, puis se remit droit, c'est vrai, il n'avait rien prit pour cette journée... Tant mieux, ça lui fera un poids de moins à supporter pour la journée... Presque la totalité des E sont comme ça de toute façon, il faut vraiment vouloir rejoindre ces satanés A pour prendre ses affaires de classe avec tous les livres aussi vieux que le directeur du pensionnat

Un prof qui doit enseigner du latin mais qui parle à moitié Anglais, j'appelle pas ça un professeur personnellement, c'est juste un de ces fous à qui on a donné l'opportunité de venir donner des cours à notre classe et à celle des D. A quoi ça sert qu'un professeur de latin vienne nous faire cours alors qu'il y a aussi les autres classes qui doivent être nettement plus allécher par l'odeur qu'éjecte cette langue morte.

Il croisa ensuite les bras, semblant attendre que le temps passe le plus vite possible pour enfin sortir de ce foutu cours. Même si partir de ce pensionnat était aussi une option... Enfin, il vaut mieux qu'il finisse encore cette année et les deux autres à venir, ses parents ne seraient pas fiers. Puis après viendra le monde des études, même si James ne pense pas pouvoir y accéder, il n'a même pas envie d'essayer, en réalité le monde du travail lui fait peur, pourquoi ? Personne ne le sait, même pas un psychologue ou psychiatre. Peut être parce que il est devenu fou au fil du temps, peut être parce que le pouvoir qu'il utilise le ronge petit à petit à l'intérieur, impossible de le savoir...

Invité**Invité**

Il semble absorbé par ses réflexions au sujet de l'alcool romain, et finit par arrêter de se caresser la peau. heureusement, ça devenait gênant... Autour de moi, les E somnolent ou parlent, sans respect pour le prof. Je trouve ça triste mais puisque lui même semble s’intéresser à nous autant qu'à de pauvres résidus de déchets organiques, je perds vite ma compassion à son égard. Le garçon près de moi reprend la parole, m'adressant visiblement le résultat d'une longue réflexion.

Un prof qui doit enseigner du latin mais qui parle à moitié Anglais, j'appelle pas ça un professeur personnellement, c'est juste un de ces fous à qui on a donné l'opportunité de venir donner des cours à notre classe et à celle des D. A quoi ça sert qu'un professeur de latin vienne nous faire cours alors qu'il y a aussi les autres classes qui doivent être nettement plus allécher par l'odeur qu'éjecte cette langue morte.

Tant d'orgueil en une seule personne, tant de lassitude aussi... Il semble déja blasé, lassé. Enfin, d'après ce que j'ai cru comprendre il a redoublé deux fois, ceci peut expliquer cela. Il semble à la fois si arrogant, imbu de lui même, et si seul! Il se dégage une certaine tristesse de tout son être. Quand il est arrivé personne ne l'a salué, peut être n'a-t-il pas vraiment d'amis ici? Au moins, nous sommes deux sur ce point... Je regrette que ma mère m'est envoyée ici. Ce n'est pas ma place. Cependant, je me rassérène en me disant que quand ils se rendront compte que je suis une incapable, ils me renvoieront chez moi... Un sourire éclaircit mon visage à cette pensée. Puis je réponds, continuant de le regarder dans les yeux même s'il fuit mon regard.

-S'ils nous proposent ce cours, c'est qu'ils nous considèrent assez intelligents pour y arriver. Le latin est généralement considérée comme une langue d'intellectuels... Même si en voyant ce prof, on pourrait en douter je te l'accorde. Il n'est pas parfait, mais s'il a choisi ce métier c'est pour enseigner cette langue. E je pense que trouver des profs acceptant de travailler ici est rare.

Invité**Invité**

Le regard de James finit par croiser celui de Morgane, pour une fois qu'il regarde quelqu'un... Elle n'a pas l'air d'être dans la même classe que lui, une A qui s'est infiltrée parce que elle est en manque de savoir ? Peut être possible après tout, seulement, quelqu'un aurait déjà su qu'elle ne venait pas des E. Impossible pour James de savoir, il ne connait même pas le nom de ses voisins de chambrée...

-S'ils nous proposent ce cours, c'est qu'ils nous considèrent assez intelligents pour y arriver. Le latin est généralement considérée comme une langue d'intellectuels... Même si en voyant ce prof, on pourrait en douter je te l'accorde. Il n'est pas parfait, mais s'il a choisi ce métier c'est pour enseigner cette langue. E je pense que trouver des profs acceptant de travailler ici est rare.

Rare ? Non, pas du tout même, juste que c'est une besogne de plus pour eux, ils doivent bien toucher un salaire à la fin du mois non ?

- Si il est ici, c'est pour son propre intérêt, regarde donc les autres autour de nous, qu'est-ce-qu'ils en ont à faire de ce qu'il raconte au sujet du latin ? Rien, quedalle, nada.

Avait-il répondu à la jeune fille, avec un accent espagnol plus qu'exécrable quand il avait prononcé "nada", un des seuls mots qu'il connaissait dans cette langue qui était aussi un langage dérivé du latin.

- Attends toi à voir bien plus, ce n'est pas le pire moment de la journée, vers dix-sept heures généralement, c'est là où tout le monde est le plus excité.

Puis, il s'étira, et se gratta l'arrière du crane en regardant l'horloge posée au dessus du tableau, il avait faim, et il était bientôt l'heure de se diriger vers le réfectoire, enfin, si il jugeait, lui le roi lézard, que ça durait trop longtemps, il quitterait alors nonchalamment ce cours pour rejoindre le réfectoire.

Invité**Invité**

[HRP: Notez que les élèves et le corps enseignant parlent en Anglais pour se comprendre dooooooooonc, il est normal que le professeur parle en anglais James.]

Il les regardait d'un air fatigué, désespéré. En particulier la Danoise qui, à peine arrivée dans la salle de classe, s'empressait de discuter avec un... type du Moyen-Orient ? En tout cas, le jeune homme avait une tête de Perse pour sûr, et accessoirement son air bien propre, bien sophistiqué dirons-nous... Quel était le mot déjà, pour ces personnes prenant soin de leur corps à un point tel que c'est nerveux ? Ah oui, des métrosexuels. Le bon côté d’être employé dans un établissement comptant des élèves de plusieurs nationalités, est qu’il était sûr à 100% que l’on voit au moins un stéréotype de la pop culture de nos jours.

Aaaaaaah. Au moins le gars ne semblait pas particulièrement bête par rapport aux autres élèves des classes E & D, qui jusqu’à présent, n’en avait certainement rien à foutre du cours, exception faite de la folle chrétienne avec son Vade Retro Satanas. Bordel, Joseph n’était pas particulièrement chanceux si une extrémiste appartenant à une secte comptait parmi les élèves participant à son cours. Ou alors elle n’était que folle et aimait gueuler ses réponses aux professeurs. Oui oui, cela paraît tenir comme théorie.

Eeeeeeeet voilà qu’entre en scène Roméo et Juliette ! Le couple de deux tourtereaux chiant que l’on peut voir dans les films, dans les livres et dans les fans-fictions de personnes ayant une imagination penchant vers le romantisme. Beuh. La Juliette semble être un peu moins pire que le Roméo par contre. Bon elle est en E, d’accord, elle semble particulièrement timide aussi, mais elle a pu sortir une citation en Latin ! Bon, la personne citée n’est pas la bonne, mais tout de même. Quant à Roméo… Il semble particulier comme Roméo. Il ne fait que bitcher à propos du cours. Sympathique et il sort du cliché.

Il nous reste qui, voyons voyons… Ah. Un type quelconque qui ne paraît pas si bête que cela. D’ailleurs, pourquoi est-il chez les E lui ? Eh, qu’importe. Et il reste – oh bon sang, une exhibitionniste et rousse qui plus est. ‘Fin avec des cheveux rouge tout court, mais j’ai un mauvais sentiment la concernant. Joseph ? Prépare-toi à sortir très rapidement dès que le cours est fini.

Enfin. Il est temps de répondre Joseph, non ?

« Je n’espérais pas autant de réponses. Enfin, pour répondre à l’élève de la classe B dont la raison de sa présence m’est totalement inconnue – oui, Carpe Diem signifie bien cela. Cette locution fut extraite d’un des poètes Romains, Horace pou r être plus précis. En contraste, la locution « Memento Mori » signifie « Remember that you are mortal, remember that you will die. ». Elle fut employée par un esclave durant la cérémonie du triomphe pour rappeler au général victorieux qu’aujourd’hui il était bien évidemment victorieux, mais qu’au lendemain, cela ne serait peut-être pas le cas. Et s’il vous plaît monsieur le métrosexuel Perse, évitez d’utiliser le don de Midas dans cette classe et d’essayer de me charmer. Mon phallus n’est point intéressé par les hommes. »

Dit-il, zigzaguant entre les tables pour prendre en main la canette, la bouteille ou je ne sais quoi que, de bière qui était en main de la « Vade Retro Satanas ». Le mot « prendre » étant bien léger, vu qu’il arracha à la jeune fille la canette avant de la balancer en direction de la fenêtre qui – très fragile, comme tout l’équipement de la classe E- se brisa sous l’impact.

« Voyons… Donc, fräulein. Vade Retro Satana est bien sûr une locution latine très courante, utilisée pour repousser Satan et ses tentations, comme vous pouvez le deviner. Si mes souvenirs sont bons, ce fut Matthieu, un apôtre qui dit cela, mais je ne lis pas la Bible donc je ne saurais dire. Et – oui et non. Vae Victis, jeune fille, signifie bien « Malheur aux vaincus », mais elle ne fut employée par Vercingétorix. Elle fut employée par le chef Gaulois Brennos, qui dirigea le fameux sac de Rome en -390 avant Jésus de Nazareth. »

Il revient lentement à son bureau, l'air nonchalant.

« En parlant de Rome, sauriez-vous me parler de son histoire, dans les grandes lines, de sa création jusqu’à -500 av J. N ? »

Joseph attendait, curieux des réponses.

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