*La salle des miroirs. Quoi de plus merveilleux et douloureux pour tuer le temps ? Enfin, surtout douloureux en fait... Car oui en à peine 10 minutes que j'étais entré dans cette fuckin' salle je m'étais déjà prit au moins une vingtaine de miroirs en pleins dans la tronche. Youhou. Et à part ça j'ai des lunettes sur le nez. NARMOL. Franchement les lunettes c'est vraiment du caca en boite de conserves pour petit pois hein. Hmph. Comme ça m'énerve. J'avais l'impression de tourner en rond dans cette salle en plus. Je commençais à regretter d'être rentrer ici franchement... A cette pensée je grognais fortement avant de couiner ensuite en me prenant une fois de plus un miroir dans la gueule. *
MAIS ÇA FAIT TROP MAL BORDEL !
*Oui moi Glen la Galette, le professeur qui avait toujours une tronche de poulpe neutre et blasé je venais de crier "MAIS ÇA FAIT TROP MAL BORDEL !" Herm. En espérant qu'il n'y avait pas d'élève dans le coin... On pourrait croire que je suis du genre à m'énerver et perdre mon sang froid pour rien... Mais je suis pas comme ça. C'est juste que là, c'est vraiment énervant de se manger un miroir toute les 5...non 2 minutes... Je grognais fortement me laissant tomber au sol d'un air pas content, me retrouvant donc assis par terre. Je croisais alors mes bras comme un enfant. Me demandant l'espace d'un instant si je n'avais pas trop fumé aujourd'hui... c'était peut être le cas. En tous cas moi maintenant j'avais super mal au crâne... D'un côté j'espérais que quelqu'un aller passer dans le coin. Comme ça je pourrais arriver au bout de cette salle en le suivant. Il me servirait un peu de bouclier humain. Je le laisserais passer devant comme ça il se mangerait tout les miroirs à ma place. Oui c'est une excellente idée Mr. Galette. EXCELLENTE IDEE. Huhu. Oui je n'avais plus qu'à attendre que quelqu'un passe... en espérant que quelqu'un passe... Y avait-il quelqu'un d'assez idiot pour venir dans cette salle à prismver ? Peut être Hiroki... après tout on est de la même famille... peut être un autre E sinon... J'espère en tous cas.*
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Sujet: Re: A mort les miroirs ! [PV Frans] Sam 8 Déc 2012 - 0:23
« I can't see myself »
Pourquoi Frans avait-il la superbe et incroyable chance de se fourrer dans la merde tous les jours ? Non mais, c'est vrai quoi, une fois ou deux ça passe, mais être quotidiennement là où il faut pas avec qui il faut pas, c'est lourd. La première fois, c'était à cette file de vente de crêpes où il avait eu le malheur de voir Leene, la seconde fois avec elle dans la file de Prismver, et la dernière fois avec l'autre gamine, dans la salle des A. Vraiment, Frans n'avait pas la plus calme des vies, même si parfois, il en découlait de bons évènements qu'il fallait soulever, comme sa venue ici ? Non. Définitivement, le jeune Magdaleentje n'arrivait pas à apprécier les personnes de ce pensionnat, tout comme il ne pouvait pas supporter les gens en général. Il était asocial, c'était un fait qu'il ne pouvait et ne voulait pas changer. Son confort personnel, une vie simple, manger, dormir et étudier, tout cela lui suffisait amplement. Se socialiser n'était à ses yeux pas important, et les divertissements appréciés du public étaient en général une véritable épreuve olympique à surmonter, puisque le garçon s'y ennuyait considérablement. Il s'ennuyait partout, de toute façon, sauf quand il était avec Leene - mais au fond, il essayait de se convaincre que sa bêtise ne lui laissait pas le temps de le faire.
Enfin bref, cette fois-là, encore à moitié endormi, ayant eu la bonne idée de se recoucher même après s'être préparé, le B s'était dirigé vers l'extérieur. Tout du moins, c'était ce qu'il croyait, puisqu'il s'était retrouvé dans la salle des miroirs qu'il n'avait au début pas reconnu - et rien d'étonnant, puisqu'il ne voyait que lui-même. Le plus étonnant serait plutôt de savoir comment il avait pu aller au 5ème étage alors qu'il voulait à la base se retrouver tout en bas, dehors. C'est le talent, que voulez-vous, et au début, encore ensommeillé, le garçon ne comprit pas pourquoi il était dédoublé en plusieurs lui. Déjà, on était pas dans Naruto, et puis, il n'y avait qu'un seul Frans. Son awesomance et son attitude badass font de lui une personne unique, si bien que ça l'énervait qu'il se voit en plusieurs. Alors, comme il est aussi bête que son pied au réveil, il s'approcha de l'un des fakes pour le fixer de près. Il voulut lui mettre un coup de poing, mais frappa en réalité le miroir qui explosa en milles morceaux.
Au moins c'était fait. Tant qu'à vouloir le copier, il fallait le faire mieux que ça : il avait vu un maigre Frans de trois mètres, un autre de quelques kilomètres de large pour vingt centimètres de haut, un qui était tout gonflé, et un autre qui tentait de ressembler à une coquille d'escargot en s'enroulant sur lui-même. Frans n'était pas très réveillé, mais il se doutait que ce n'était pas possible. Peu à peu, son esprit s'habituait à ce nouvel état dans lequel il restait rarement, d'ailleurs, mais ce réveil fut perturbé par un cri superbe. Une injure, même, venant d'une voix d'homme, à laquelle le garçon se guida pour en retrouver l'auteur. Après quelques miroirs dans la gueule et avoir marché un peu, il tomba sur un mec, assis sur le sol, en train de faire le zouave. Tout du moins, c'était l'impression qu'il donnait, ce quatre-yeux, et ça énervait Frans. Il n'aimait pas ceux qui criaient, râlaient, en fait, ils n'aimaient pas entendre les autres. Il n'aime rien, 'faut dire. Mais quand il faut, il sait réfléchir.
« Si j't'aide à trouver la sortie, tu pourras la fermer ? »
Sujet: Re: A mort les miroirs ! [PV Frans] Lun 25 Fév 2013 - 19:21
Frans & Glen
*J'étais donc assis là, entouré de miroirs, les bras croisés contre mon torse. J'avais l'air assez énervé, ce qui se comprenait dans cette salle ou il était quasiment IMPOSSIBLE de ne pas se prendre un miroir toute les deux minutes en plein dans la gueule. Je faisais une moue boudeuse et je poussais des grognements en marmonnant tout un tas de trucs qui ne voulaient absolument rien dire, je finissais même par me rouler par terre tellement ça m'énervait, mais une voix me stoppa. Je relevais alors mon regard vers la personne qui venait de me dire, sur un ton peu aimable à mon goût soit dit en passant ; "Si j't'aide à trouver la sortie, tu pourras la fermer ?". Oh c'est Frans. Ça m'étonne pas tiens... Je me redresse d'un bond pour me retrouver accroupit par terre, reprenant mon air neutre et blasé habituel. Cet air que j'avais presque toujours sur mon visage et qui donnait envie de me mettre des baffes. J'AIME ÉNERVER LES GENS HUHUHU. Mais bon, la plupart du temps je ne le fais même pas exprès. C'est DUUUUUR la vie. Bref, je le regardais un instant de haut en bas, le dévisageant puis je prenais à mon tour la parole.*
"la fermer" ? C'est quoi ce ton insolent là ? Je rappelle que c'est quand même moi l'adulte ici. M'enfin après j'dis ça, j'dis rien.
*Je soupirais d'un air blasé avant de me relever d'un bond, me mettant à réfléchir l'espace d'un instant à ce que tu venais de me dire.... C'EST MA CHANCE. GRÂCE A TOI JE VAIS POUVOIR SORTIR DE CET ENDROIT SANS ENCOMBRE. OUIII C'EST PARFAIT. Par contre, je vais pas me laisser faire. Si je veux pas me la fermer et bah je me la ferme PAS. Je suis un bonhomme moi, un vrai ! NON MAIS SÉRIEUX T'AS CRU QUE LA GALETTE C’ÉTAIT UNE TAPETTE ?! BAH C'EST PAS PARCE QUE CA RIME QUE C'EST LE CAS. Aaaah les jeunes de nos jours. J'vais lui apprendre à me parler comme ça. Je croisais de nouveau mes bras en te fixant, reprenant d'une voix monotone.*
Étant donné le ton I N S O L E N T que tu viens d'employer j'ai une envie irrésistible de te C O L L E R vois tu. Mais... si tu m'aides à sortir d'ici, je pourrais éventuellement faire comme si je n'avais rien entendu et tu auras peut être même un point bonus sur ton prochain contrôle. Mais après, c'est comme tu veux. Je serais tout aussi ravi de te suivre sagement jusqu'à la sortie, en me foutant de toi à chaque fois que tu te prends un miroir dans la tronche mais je serais surtout ravi de te coller à l'arrivée. Mais comme je l'ai dis, c'est COMME TU VEUX.
*Et oui y en a dans ma cervelle ! Non mais sérieusement t'as cru quoi là hein ? hein ? hein ? *meurt* Je suis fier de moi tout de même là. POUR UNE FOIS.... de l'abus de pouvoir ? Mais non voyons, ce n'est pas de l'abus de pouvoir et encore moins du chantage. Ceci est tout à fait juste et correct. Tu as été impoli envers moi, tu mérites une correction mais je te donnes une chance de te racheter et si tu saisis cette chance tu seras même récompensé. C'est JUSTE. JE SUIS JUSTE. JE SUIS UN JUSTICIER. MÊME QUE JE SUIS SUPER GALETTE. TINTINTIN TINTIN. Bref. Gardons notre calme Glen. Non tu n'es pas schizophrène mon petit Glen. P A S D U T O U T. Je regarde un peu autour de moi, tout ces miroirs, toutes ces formes différentes de nous, attendant sagement ta réponse.*
Sujet: [color=darkslateblue]« »[/color] Dim 3 Mar 2013 - 20:36
« I can't see myself »
Frans n'aimait pas les adultes, mais alors là, pas du tout. Sous prétexte d'une petite parcelle de pouvoir - relative à leur âge, ce qui tenait du ridicule selon lui -, ils possédaient de l'autortié sur eux. Parce qu'ils étaient majeurs et faisaient parti du personnel, ils avaient des droits que les élèves n'avaient pas. Choses réservées aux majeurs exceptées, pour le jeune hollandais, tous se devaient d'être égaux ici. Glen ne faisait certainement pas exception à la règle. "C'est moi l'adulte ici"... Frans n'avait jamais entendu un argument aussi ridicule de sa vie. Il s'était disputé avec pas mal de professeurs à cause de sa façon d'être, et pourtant, il en avait fait, des efforts : en général, ceux qui sortaient une phrase de ce style étaient les plus incapables de se démerder dans ce genre de cas. Le Magdaleentje savait que les enseignants avec le plus d'autorité n'avaient nul besoin de ce genre de phrases, cela dit, il ne pouvait se permettre de porter un jugement hâtif sur Glen. Même s'il pouvait porter des préjugés sur son apparence ou son caractère, les deux hommes n'étaient pas dans une classe de cours et tout comme lui, ce type possédait un pouvoir. Maintenant qu'ils étaient prisonniers dans un endroit pareil, il n'hésiterait certainement pas à en faire usage. Le garçon pesta contre lui-même et répondit d'une voix sèche :
« Pas la moindre putain de chose à foutre. Adulte ou pas, ça change quoi de toute façon ? »
Frans le regarda dans le blanc des yeux, son regard impassible - quoique débordant d'agacement - ne se détournant pas un instant de celui du professeur. Ce n'était pas vraiment des yeux menaçants, mais des yeux presque interloqués : il défiait ce type de lui donner une réponse plausible. Mais le jeune homme savait qu'il n'en avait pas, ou tout du moins, pas de suite. Certainement qu'il ne s'attendait pas à une réaction si mauvaise de la part d'un élève, bien qu'il devait connaître Frans - en même temps, ce dernier savait faire parler de lui. Il n'était pas du genre à fermer sa gueule si quelque chose lui déplaisait, et à vrai dire, c'était le cas actuellement. Il prit cependant sur lui et soupira, tentant de se détendre, tendu qu'il était - comme souvent, en réalité. Être tolérant. Se calmer. Compter jusqu'à 69 dans sa tête. Aucun de ces foutus stratagèmes n'avait jamais marché, le garçon se demandait pourquoi il y pensait maintenant. Dans un sens, ce n'était pas totalement inutile, ça le distrayait de la pensée de ce gars pour un petit moment et faisait légèrement retomber sa colère. Le self-contrôle faisait parti de ses qualités ! Non, en réalité, pas du tout. Il était incapable de s'empêcher de péter les plombs, et il ne manquait pas de dire clairement ce qu'il pensait - comme d'habitude, en fait.
Toutefois, le gars ne resta pas inactif. Paraissant presque outré par l'affirmation du garçon, il avait croisé les bras et commençait à déballer tout un discours. Attends, attends, il avait bien dit "Mais" ? Oh encore pire, il venait d'ajouter un "si", il l'avait fait ? Il posait des conditions, sérieusement ? Il le réprimandait ? Frans s'était trompé, ce type se croyait dans une salle de cours. Il résista à l'envie d'écraser sa figure contre le miroir le plus proche histoire de vérifier qu'il n'hallucinait pas. Mer...credi. Non, il n'en pouvait plus. Il ne pouvait plus se contenir. Mais putain de bordel de sainte raclure, ce type était vraiment con ! C'est Frans qui avait posé la condition, et lui, il le menaçait ? Attends, il compliquait les choses pour rien : il avait juste à fermer sa gueule et le suivre. Mais non, pour cause de fierté, il avait refusé d'en rester là. Ensuite, histoire de le tenter, il annonça qu'il était prêt à ajouter des points bonus à Frans sur son prochain contrôle, ce qui était loin d'être à négliger. Or, le garçon n'en avait que faire. Oubliez ce truc de la fierté, pensa-t-il, il n'en a pas. Glen n'était certainement pas un méchant type - juste pédophile à ses heures perdues à vrai dire -, mais le jeune Magdaleentje avait un talent pour se faire les personnes gentilles comme ennemi. Quoique, tout bien réfléchi, il avait juste le talent de se faire des ennemis, point barre.
« Et le professeur jeta son dévolu sur la solution la plus ridicule qui soit, croyant berner de sa corruption un élève chaste qui à défaut d'une soit-disant autorité abusive, possédait un meilleur sens de l'orientation que son aîné... va te faire foutre. »
C'était clair et net. Frans leva même son majeur en sa direction.
Sujet: Re: A mort les miroirs ! [PV Frans] Dim 7 Avr 2013 - 9:23
Frans & Glen
« Pas la moindre putain de chose à foutre. Adulte ou pas, ça change quoi de toute façon ? »
*Oh, mais c'est qu'il a un bon petit caractère bien à lui le p'tit gars. J'ADOOOOOOORE. MAGNIFIQUE. ENFIN QUELQU'UN D'INTERESSANT. CA FAISAIT LONGTEEEEMPS. GNIII. Je vais tellement m'amuser avec ce petit Frans. Huhu. Je te fixais donc, de mon air blasé et impassible, c'était comme si rien ne m'atteignait (d'ailleurs ça devait être sacrément agaçant pour mes interlocuteurs). Adulte ou pas.... ce que ça change... cette question est pour le moins des plus débiles en tout cas, mais... j'aime les questions débile ! Je posais alors mon index entre les deux verres de mes lunettes, afin de les redresser sur le haut de mon nez.*
Ce que ça change hein ? Absolument rien. Mais en général la réplique de "c'est moi l'adulte ici" marche assez bien avec les élèves peu intelligent. Alors forcément fallait bien que j'essaie pour voir ta réaction.
*Enfin malgré tout, je devais bien m'avouer que ta réponse m'avait surpris. J'aime être surpris par mes élèves. C'est tellement plus amusant d'un côté quand un élève répond comme toi. Même si c'est vraiment insolent, et que ça ne se fait pas de répondre comme ça aux autres... C'est pas parce qu'on est prof qu'on aime respecter les règles ou ce genre de chose NON MAIS. Herm. Je gardais cependant mon calme. J'allais essayer un autre truc, fallait que je vois ta réaction à ça... Si ça se trouve après c'est toi qui allais fermer ta gueule, HUHU. Je suis méchant, mais tellement méchaaant.*
Étant donné le ton I N S O L E N T que tu viens d'employer j'ai une envie irrésistible de te C O L L E R vois tu. Mais... si tu m'aides à sortir d'ici, je pourrais éventuellement faire comme si je n'avais rien entendu et tu auras peut être même un point bonus sur ton prochain contrôle. Mais après, c'est comme tu veux. Je serais tout aussi ravi de te suivre sagement jusqu'à la sortie, en me foutant de toi à chaque fois que tu te prends un miroir dans la tronche mais je serais surtout ravi de te coller à l'arrivée. Mais comme je l'ai dis, c'est COMME TU VEUX.
*Aucun abus de pouvoir, aucun chantage, vous n'avez RIEN VU. Et là ? Tu allais faire quoi ? Allais tu enfin te décider à obéir à moi, ton ainé ou bien allais tu encore répondre quelque chose d'horriblement insolent ? En tout cas, je ne mis pas longtemps à avoir la réponse que j'attendais temps. « Et le professeur jeta son dévolu sur la solution la plus ridicule qui soit, croyant berner de sa corruption un élève chaste qui à défaut d'une soit-disant autorité abusive, possédait un meilleur sens de l'orientation que son aîné... va te faire foutre. » FABULEUUUX. FABULEUUUUX. TU ES MERVEILLEUX PETIT FRANS. GNIII. En plus j'ai le droit de voir le joli majeur de Frans levé, rien que pour moi. Une chose est sûr.... J'AIME CE FRANS QDLJLKGJ. Je restais cependant toujours aussi calme, pour le moment vaut mieux que je garde mon sang froid.*
Au moins toi, tu n'as pas froid aux yeux. Ça change. Tu aurais fait un bon E je crois. C'est chouette les E. J'aime ta répartie en tout cas Fransinouneeeet !
*Oui. J'ai dit "Fransinouneeeet". ET ALORS ? C'EST MIGNON FRANSINOUNET ET CA LUI VA BIEN MERDE. Il a tellement la classe avec son salle caractère. Faut que j'en apprenne plus sur lui. Faut que je lui fasse un dessin. Je veux manger une Galette avec lui un de ces jours aussi. Ce garçon est F A S C I N A N T. Aucun doute là dessus. Je sais reconnaître les gens fascinant quand j'en vois. Et là, j'en vois un, juste devant moi, avec un magnifique majeur bien levé en ma direction. Enfin fascinant... il y a une question qui déterminera l'issue de mon jugement. UNE SEULE ET UNIQUE QUESTION. UNE QUESTION VITAL. QUI CHANGERA PEUT ÊTRE TOUT. QUI FERA PEUT ÊTRE DE LUI L'ÊTRE LE PLUS DÉTESTABLE DE LA PLANÈTE.*
...Tu aimes les Galettes ?
*Oui. Il faut que je le sache. C'est la question la plus importante que je lui poserais de toute sa vie. RÉFLÉCHIS BIEN PETIT FRANSINOUNEEEET.*
Ce type, c'était vraiment un adulte ? Frans avait essayé pourtant... non en fait il n'avait pas essayé du tout, il l'avait vu une demi-seconde et ça lui avait suffit à comprendre qu'il n'aimait pas ce type. Non, il n'avait pas de pseudo-don de divination qui lui permettait de lire en l'esprit des personnes avec une superspicacité à la Perspicace Boy, il était juste logique. Logique à sa façon, tout du moins. La tête de ce mec ne lui plaisait pas, et donc, ce type ne lui plaisait pas : après tout, personne ne s'était jamais plaint de la superficialité quand ça tenait des sentiments négatifs, si ? Se baser sur le physique ou les impressions pour juger les autres et les aimer, c'était mal vu, alors le faire pour les détester, ça devait bien l'être, non ? Ok, non... de toute façon, Frans n'aimait pas qu'on l'aime. Oui, vous avez parfaitement bien compris cette phrase. Misanthrope confirmé, il détestait de ses professeurs à ceux qui semblaient être ses plus proches amis : tout le monde, à deux exceptions près. Sa mère et Leene, mais elles étaient clairement hors-compétition.
Mais en plus d'être stupide, au point de ne pas avoir écouté les paroles presque incompréhensibles d'avertissement de Frans et tenté une nouvelle fois de le corrompre avec des notes qu'il préférait de loin gagner par ses propres moyens ; car même les connards ont une fierté - ce mec avait l'air d'un véritable pédophile. Son visage avec un air indéniable de pervers, sa voix bizarre, le surnom improvisé qu'il avait osé donner à Frans, tenait-il réellement à la vie ? Sans parler du fait qu'il le complimentait sans raisons, d'un coup, après s'être fait remballer sérieusement. Ce mec était anormal, mais de toute façon, le hollandais n'avait pas rencontré ne serait-ce qu'un semblant de personne ordinaire en ces lieux. Il aurait dû aller à Poudlard ou rester dans une école normale... tout, mais éviter ce genre de type. Sans compter que c'était un professeur ! Il était beau, le personnel de l'établissement...
« Le travail est tout ce qui compte. Regarde, je t'emmerde, et pourtant, je suis en B. Parce que je bosse. Même si j'en ai pas l'air, ouais. »
Pas l'air du tout, en fait. Ne serait-ce que son air colérique, sa peau foncée, son regard mauvais, il avait l'air d'un vrai branleur. Si on pouvait concéder un bon point à ce mec, ce serait qu'il avait vraiment un self contrôle hors du commun : Glen s'était fait rabaisser au possible par un B, et pourtant, il restait imperturbable. Soit il était encore plus chelou que le hollandais ne le pensait, soit il était réellement stupide - ou bien n'avait-il tout simplement pas compris ce que le jeune homme lui avait dit, ce qui ne serait pas étonnant en outre mesure. Peu importait Frans. Il voulait juste sortir de là. Il s'engagea entre deux miroirs, se doutant que le professeur allait le suivre, lorsque le le professeur l'interpella de nouveau. Une question aussi stupide que lui : aimait-il les galettes ? MAIS BIEN SÛR. Qui n'aimait pas ça ? Si on lui demandait la même chose pour les légumes, ok, mais là, ce mec lui donnait vraiment envie de facepalmer sur le mur le plus proche. Ce qu'il se retint de faire, lâchant un profond, très profond soupir.
Sujet: Re: A mort les miroirs ! [PV Frans] Lun 27 Mai 2013 - 11:29
Frans & Glen
« Le travail est tout ce qui compte. Regarde, je t'emmerde, et pourtant, je suis en B. Parce que je bosse. Même si j'en ai pas l'air, ouais. »
*J'hausse un sourcil en croisant mes bras à tes mots. Tu as beau être un garçon fascinant et genre trop classe itout itout sqkgqdjfgk. Ta façon de penser laisse quelque peu à désirer. Je crois que je n'ai jamais entendu pire connerie que ta première phrase. Et dire quelle sort de la bouche d'un si jeune garçon... MAIS OU VA LE MOOOOONDE ? DROIT DANS UN MUR DE GALETTE PÉRIMÉES MOI JE DIS ! Je soupire alors doucement, d'un air encore plus blasé que d'habitude, remontant mes lunettes sur mon nez.*
Le travail est tout ce qui compte ? Vraiment... Raisonnement de bas étage. Le travail n'est absolument pas tout ce qui compte. Ce qui compte c'est l'amusement, en profiter un max. Qu'est ce que tu vas te dire à la fin de ta vie si pendant toute ta vie tu te dis "le travail est tout ce qui compte" Tu diras quoi à tes enfants ? J'ai bien travailler, maintenant je prend des vacances. M'enfin... c'est bien quand même de travailler. En plus j'aime bien les B. Ils sont trop chouuuuuuuuuu. Gniiii.
*Je poussais un léger cri de fangirl (sisi). T'avais la classe même quand ton raisonnement ne me plaisait pas. MON FRANSINOUNET IL EST TROP FOOOOORT. OUAIIIIIS. BWAHAHAHA. Bref, gardes ton calme Glenounet. Il reste une question. Une dernière question. La plus importante. Pour savoir si Fransinounet mérite vraiment tous ces compliments. Je le fixe alors, tandis qu'il commence à s'engager entre deux miroir. C'est donc en me mettant à le suivre que je lui pose cette fameuse question, surement la plus importante de toute sa vie. Il a intérêt à bien réfléchir avant d'y répondre. C'est vraiment D'UNE IMPORTANCE EXTRÊME. VITALE JE DIRAIS MÊME. C'est donc en prenant une grande inspiration que je lui pose cette fameuse question qui va peut être faire de lui l'être le plus détestable de cette planète, fameuse question qui n'est autre que "...Tu aimes les Galettes ?". Je retiens mon souffle un instant, lorsque tu me réponds...*
« O.U.I. J'aime les galettes. »
*Une réponse tout aussi merveilleuse que toi. TU ES UN GARÇON MERVEILLEUX. GNIIII. UN GARS EN B QUI A TROP LA CLASSE ET QUI EN PLUS AIME LES GALETTES. Perfection sors de ce corps ! Raaaah, je te suis et je me retiens de te sauter dessus pour te faire un gros câlin. Bah oui au risque de me prendre un miroir dans la tronche en te confondant avec ton reflet, sait-on jamais... En tout cas ce qui est sûr, c'est qu'intérieurement je kyatte complètement sur toi, même si mon visage reste toujours aussi neutre et impassible comme à son habitude...*
Dis, dis, dis. Tu voudra bien manger une Galette avec moi un jour ? Tu aimerais que je te fasse un dessin ? Que je t'offre des Galettes faites maison ? Tu aimes les câlins ?
*Demandais-je en continuant de te suivre sagement, croisant mes bras derrière mon dos comme un enfant.*