Good heavens would you
look at the time
look at the time
ft. Lysandre
C'est complètement la loose.
Je ne parle pas de ton vocabulaire, 8D.
J'aurais pu, mais non.
Tu vas te passer de mon humour auto-dérisoire aujourd'hui, et du tiens d'ailleurs. Il faut dire que le temps n'appelle pas à de grandes rigolades. On parlera de ce foutu mois de juillet comme le plus pénible depuis plus de 130 ans, niveau température. Ton petit doigt le dit, et tu sais que tu n'as pas tort car sa réflexion s'apparente à tes idées de génie. Soupires-tu, Ling ? Oh oui. En cette merveilleuse journée te retrouvais-tu au milieu d'élèves s'attardant au nettoyage de la piscine par bénévolat. Toi, tu n'es pas là parce que ça te plaît et c'est exactement ce pourquoi tu es là.
On t'a attrapé tenter de taguer sur un mur du pensionnat. Quel mécréant, que de violence en ton intérieur qui pousse cette arme d'artiste à s'exprimer, comme une étincelle dans ta vie si fade et- Ouais, personne n'y croit, toi le dernier. Tu sens qu'on te surveille, tu le vois, un surveillant là à l'ombre qui te dit de déguerpir et revenir à ton boulot. Tu t'exécutes pour pas faire le difficile. Puis, plus rapidement tu y arrives, et plus rapidement tu iras te coller à la climatisation la plus forte et proche que tu connaisses de l'établissement.
Grogner seulement, tu tiens un tuyau à rallonge relié à des éviers, ceux utilisés généralement pour que les élèves se réhydratent en cas de problèmes. Tu vois une petite queue de gens attendre leur tour pour s'asperger du liquide - dans une ultime tâche de revenir à la vie tant la chaleur vient leur aspirer toute trace d'engouement qu'ils aient. La bouteille d'eau qu'il a remplie pour la (il ne sait plus compter quelques secondes et phase), um, septième fois est vide. Le moindre effort de bouger de sa place te cuirait sur place, donc tu restes là assis sur le bord de la piscine à regarder d'autres frotter (avoir la force de) astiquer l'intérieur de la piscine, dénué de ce qu'on y trouve d'habitude et, ce qu'Owain aurait aimé y voir - de l'eau fraîche ou plonger.
Tu te serais étalé comme une larve, si ta tentative de faire le mollusque n'aurait pas aspiré de toi plus d'efforts que tu ne voudrais.
Parmi ceux qui sont forcés, comme toi de faire tout ce nettoyage, tu reconnais Lysandre. Lysandre avec sa peau pâle (qu'il brûle pas au soleil te choque, puis tu te dis, tant mieux) et ses cernes, Lysandre et son sens d'introverti, Lysandre qui... n'a pas l'air d'apprécier d'être là (mais s'applique à son travail).
-"ça m'étonne de te voir en extérieur en un temps pareil, Lys."
Owain finit par dire, de la hauteur, tenant le tuyau rugissant d'eau dans la main, là à tremper le fond de la piscine à côté du C. Le blond hausse les épaules, le plus jeune est plus ou moins protégé des rayons là où il est, après tout, la plupart des rayons allant le taper lui en altitude.
Je ne parle pas de ton vocabulaire, 8D.
J'aurais pu, mais non.
Tu vas te passer de mon humour auto-dérisoire aujourd'hui, et du tiens d'ailleurs. Il faut dire que le temps n'appelle pas à de grandes rigolades. On parlera de ce foutu mois de juillet comme le plus pénible depuis plus de 130 ans, niveau température. Ton petit doigt le dit, et tu sais que tu n'as pas tort car sa réflexion s'apparente à tes idées de génie. Soupires-tu, Ling ? Oh oui. En cette merveilleuse journée te retrouvais-tu au milieu d'élèves s'attardant au nettoyage de la piscine par bénévolat. Toi, tu n'es pas là parce que ça te plaît et c'est exactement ce pourquoi tu es là.
On t'a attrapé tenter de taguer sur un mur du pensionnat. Quel mécréant, que de violence en ton intérieur qui pousse cette arme d'artiste à s'exprimer, comme une étincelle dans ta vie si fade et- Ouais, personne n'y croit, toi le dernier. Tu sens qu'on te surveille, tu le vois, un surveillant là à l'ombre qui te dit de déguerpir et revenir à ton boulot. Tu t'exécutes pour pas faire le difficile. Puis, plus rapidement tu y arrives, et plus rapidement tu iras te coller à la climatisation la plus forte et proche que tu connaisses de l'établissement.
Grogner seulement, tu tiens un tuyau à rallonge relié à des éviers, ceux utilisés généralement pour que les élèves se réhydratent en cas de problèmes. Tu vois une petite queue de gens attendre leur tour pour s'asperger du liquide - dans une ultime tâche de revenir à la vie tant la chaleur vient leur aspirer toute trace d'engouement qu'ils aient. La bouteille d'eau qu'il a remplie pour la (il ne sait plus compter quelques secondes et phase), um, septième fois est vide. Le moindre effort de bouger de sa place te cuirait sur place, donc tu restes là assis sur le bord de la piscine à regarder d'autres frotter (avoir la force de) astiquer l'intérieur de la piscine, dénué de ce qu'on y trouve d'habitude et, ce qu'Owain aurait aimé y voir - de l'eau fraîche ou plonger.
Tu te serais étalé comme une larve, si ta tentative de faire le mollusque n'aurait pas aspiré de toi plus d'efforts que tu ne voudrais.
Parmi ceux qui sont forcés, comme toi de faire tout ce nettoyage, tu reconnais Lysandre. Lysandre avec sa peau pâle (qu'il brûle pas au soleil te choque, puis tu te dis, tant mieux) et ses cernes, Lysandre et son sens d'introverti, Lysandre qui... n'a pas l'air d'apprécier d'être là (mais s'applique à son travail).
-"ça m'étonne de te voir en extérieur en un temps pareil, Lys."
Owain finit par dire, de la hauteur, tenant le tuyau rugissant d'eau dans la main, là à tremper le fond de la piscine à côté du C. Le blond hausse les épaules, le plus jeune est plus ou moins protégé des rayons là où il est, après tout, la plupart des rayons allant le taper lui en altitude.