Toi...moi...la musique...oups ton pied..hem. [PV Damon]

#Hiroki & Damon —Cabanon

«Soir de bal»

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N'importe. Le rouge c'est classe, le rose c'est "why so gay". Faites comme vous le voulez, un rouge à lèvre est un rouge à lèvre.

*Rouge, rose... Rose, rouge... du pareil au même. rien à foutre. C'est la même chose pour moi, alors comme ça au moins t'as qu'à choisir. Au moins tu pourras pas dire que j'ai mauvais goût pour le rouge à lèvre ou bien que la couleur de mon rouge à lèvre ne te plait pas. Héhé. Puis ça m'arrange bien, flemme de décider moi. Surtout pour du maquillage quoi. Je souriais alors légèrement amusé en te voyant faire une moue boudeuse, prenant un air grognon en réfléchissant l'espace d'un instant, pour choisir la couleur de mon rouge à lèvre. Je penchais ensuite un instant ma tête sur le côté en te voyant me regarder avec un de tes faux sourires dont toi seul avais le secret. Tu m'annonçais ensuite que le rouge à lèvre que je porterais ce soir sera "Rose barbie". Hm. Soit, ça ne me gêne pas vraiment. Ça fait "Why so gay" ça a du style. Et puis je doute que mon rouge à lèvre tienne toute la soirée de toute façon... A cette pensée je souris d'ailleurs légèrement puis je te regarde te rapprocher de moi avec le rouge à lèvre. Je sens ensuite ta main venir se glisser sur ma nuque, je ressens alors un léger frisson tandis que tu commences à déposer le fameux rouge à lèvre sur le bout de mes lèvres. Moi je te fixe, comme un idiot rougissant quelque peu surtout en te voyant toi aussi rougir et en voyant ce regard tendre que tu avais en regardant mes lèvres. Pourquoi ? Pourquoi étais tu si mignon ? Si beau ? Si toussa quoi hein ? C'est pas juste. Pfuh. Je détournais mon regard, mes joues s'empourprant un peu plus. Je me laissais faire attendant sagement que tu finisses d'appliquer le maquillage sur mes lèvres. J'haussais par la suite mes sourcils en te sentant déposer un baiser sur ma joue tout en disant "Parfaite." Je lâchais un léger grognement. Parfaite au féminin.... LA VIE EST DUR. *pleure* Je relevais ensuite mon regard vers le miroir lorsque tu me retournais vers celui ci. Je le fixais alors un instant. J'étais pas trop moche pour une fille... Je finis cependant par détourner mon regard, le relevant vers toi lorsque tu me demandais si je voulais rajouter du mascara. Hm. Non seulement je n'y tiens pas vraiment mais en plus je doute qu'on ait vraiment le temps pour ça.*

Le bal va bientôt commencer non ? Je doute qu'on ait le temps, et puis... c'est très bien comme ça non ?

*Je te regardais en faisant une petite moue limite suppliante genre "c'est bon j'ai assez souffert pour aujourd'hui s'il te plait arrêtons là avec le maquillage". C'est vrai je suis pas une poupée qu'on maquille à sa guise, J'AI UN COEUR MOI. JE SOUFFRE. JE SUIS UN HOMME BORDEL. (même si ça ne se voit pas) Puis j'ai pas envie de ressembler à un pot de peinture non plus. Je me retournais ensuite vers toi et souriais doucement, quelque peu impatient. J'avais hâte d'être à ce bal. En fait, c'était la première fois que j'allais à un bal, en plus j'avais la chance (l'honneur) d'y aller avec toi. Bon même si tout ne c'était pas passé comme prévu jusqu'ici... j'étais tout de même content. Ça me permettais de passer du temps avec toi, et puis on avait pas besoins de se cacher pour une fois et ça me faisait plaisir... je sais pas pourquoi d'ailleurs parce que dans le fond avoir à me cacher ne me déranger pas tant que ça tant que je pouvais quand même passer du temps avec toi. Enfin bref, je suis quelqu'un de bizarre, c'est pas nouveau. Je te regardais donc avec un doux sourire aux lèvres jetant un bref coup d'oeil à l'horloge de la pièce.*

Il ne reste que quelques minutes. On devrait peut être y aller ?

*Histoire de pas être en retard. Même si l'être ne me dérangeait pas. La ponctualité n'a jamais été mon fort après tout... sauf quand je suis impatient quoi.*

#Hiroki & Damon —Cabanon

«Soir de bal»

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*Je te regardais donc avec des "chibi eyes", tout mignon, tout beau. D'un air presque suppliant. Un peu comme un enfant qui vient de trouver le jouet de ses rêves et qui le veut A B S O L U M E N T. Là je voulais A B S O L U M E N T arrêter de me faire maquiller... T'imagines pas comme ma virilité en prend un coup toi ! En même temps... je te souhaite de ne JAMAIS être dans ce genre de situation. ÊTRE UNE FILLE C'EST JUSTE ; L'HORREUR AVEC UN GRAND H. UN GRAND H COMME HOMME. JE VEUX REDEVENIR UN HOOOOOMME. *chiale* Je continuais de te fixer donc et je t'entendais alors laisser un "tss" s'échapper de tes lèvres, tu lèves ensuite les yeux au ciel 30 secondes. Je te fixe, un peu comme si ma vie en dépendait. Si tu me disais qu'on allait quand même prendre le temps de me mettre du mascara... tant pis j'obéirais, si ça te fait tant plaisir que ça... Mais si il y a une chance pour que j'évites ça lfjkdfgjlkgf. Je retenais un instant mon souffle lorsque tu secouais vaguement la tête avant de me dire que j'avais raison. OH MON MOI. Jore tu viens de dire que J'AI raison ? LA CLASSE. Damon W. Ackles, vient de dire que MOI j'ai raison. Je serais Dieu que ça ne m'étonnerait même pas tsé. J'affichais donc un large sourire sur mes lèvres, un sourire joyeux, oui oui j'étais vraiment content là. Mon sourire s'adoucit ensuite en entendant un grognement s'échapper de ta bouche, je regardais par la suite l'horloge de la pièce constatant alors qu'il commençait à être tard.*

Il ne reste que quelques minutes. On devrait peut être y aller ?

*Je te regardais avec toujours ce fin et doux sourire aux lèvres. Je voyais que tu te forçais un peu à sourire... j'imagine que toi les bals c'est pas trop ton truc, ou du moins c'est peut être juste plus de ton âge... après tout t'as 10 ans de plus que moi c'est compréhensif, mais j'ai tellement envie d'aller à ce bal avec toi. Je te sentais ensuite attraper mon poignet pour m'entrainer vers la sortie mais je grognais fortement en me débattant un peu.*

EH ! J'ai pas mis de chaussures !

*tu lâches alors mon poignet et je me diriges là ou j'ai éparpillé tout ce que j'avais piqué à Shiki. Heureusement j'avais pensé à prendre une ou deux paires de chaussures. Je les fixais toutes les deux. Une paire de ballerines et une paire d'escarpins... j'arriverais jamais à marcher avec les escarpins... mais je serais plus grand avec.... Oh et puis merde je tente le tout pour le tout, j'enfile les escarpins et me lève. Je fais quelques pas, ça va, je maîtrise à peu près la situation ça devrait aller. Je viens vers toi et souris en voyant que je suis plus grande maintenant. Je suis content, je me sentais tellement petit. Enfin si j'étais resté un homme ça aurait été BEAUCOUP MIEUX. BREF. Je me mettais donc en marche à tes côtés, direction le bal. J'avais un léger sourire aux lèvres. J'étais vraiment content, c'était rare que je sois de bonne humeur comme ça. On arrivait après quelques minutes devant la porte de la salle du bal, je te voyais alors te cacher la moitié du visage avec ta main en voyant un couple passer. Qu'est qui se passe ? Tu stresses ? Tu te sens pas bien ? Puis voilà que tu me dis "Tu veux vraiment y aller à ce bal ?" Je te fixe alors en tirant une sale gueule, mais quand je dis une sale gueule c'est une sale gueule. Un peu genre "NON MAIS TU CROIS QUE JE ME SUIS PRÉPARE FAIT MAQUILLER ET TOUT CAS PARCE QUE J'AI PAS ENVIE D'ALLER A CE BAL. TOI TE FOUTRE DE GUEULE A MOI ? TAMEEEEEER."*

Bah oui.

*Je retrouves ensuite mon sourire en te voyant ravaler ta salive en me disant que tu blaguais. J'PREFERE CA. Je serrais ensuite doucement ta main lorsque tu venais prendre la mienne, te laissant entremêler tes doigts avec les miens puis j'entrais avec toi dans la fameuse salle du bal. Je regardais alors tout autour de moi, y avait plein de monde, c'était grand, y avait un buffet etout etout. Ca avait l'air vachement chouette en fait. Puis je relevais mon regard vers toi lorsque tu me disais "OH , c'est Lana au buffet ? On va la voir ?". Je fixais alors ton visage, tu avais l'air tout excité et tout. C'était cette Lana qui te mettais dans cet état ? Je grognais doucement puis t'entrainais avec moi à l'opposer de là ou était Lana.*

Ou pas. Hmph.

*Non je ne suis pas jaloux. JE NE SUIS PAS JALOUX. Pourquoi je serais jaloux voyons ? Puis elle est bien plus jolie que moi en fille Lana... et puis c'est une vraie fille.... JE SUIS PAS JALOUUUUUX.*

#Hiroki & Damon —Grand Hall

«Soir de bal»

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*Je t'entrainais donc à l'opposer de Lana et du buffet par la même occasion en grognant. J'avais un peu faim et un peu soif mais TANT PIS. JE NE ME LAISSERAIS PAS REMPLACER PAR UNE ROUSSE A DEUX PRISMS. Non mais. JE SUIS PAS JALOUX HEIN. Je suis prévoyant. Oui voilà, P R E VO Y A N T. Il n'y a a u c u n e jalousie là-dedans, non, aucune. Je m'arrêtais une fois qu'on était assez loin du buffet, mais surtout de cette LANA. Je relevais alors mon regard vers toi, mon regard assassin, tandis que tu me demandais si je voulais rien à boire. Je croisais alors mes bras en grognant regardant ailleurs en hochant simplement négativement ma tête. Je fixais alors le buffet de loin, posant ensuite mon regard sur Lana. Les femmes veulent ma peau. VILS CRÉATURES. Tsss. En plus j'en suis une ce soir. Tout le monde est contre moi. LE MONDE EST CONTRE MOI. Je soupirais ensuite, te regardant du coin de l'oeil avant de hausser un sourcil en te fixant avec incompréhension.*

Le mur a de meilleurs sujets de discussion que moi, monsieur ?

*Je te fixais donc, c'était assez vexant de voir que j'étais de moins bonne compagnie qu'un mur. Tu me regardais ensuite, d'un air louche soit dit en passant, me disant alors "Bon, bon. Nous dansons ?". Danser ? ....mais je sais pas.... trop tard tu m'as déjà prit par la taille et tu m'entraines dans la danse... et je ne tardes pas à te marcher sur le pied... Je rougis alors bêtement de gêne, en plus j'avais mit les escarpins, ça doit faire vachement mal ces trucs là... Je relève mon regard vers toi d'un air désolé, j'aurais peut être dû te prévenir que je ne savais pas danser... Enfin dans le cas présent, ça n'est pas comme si j'avais eu le temps de te le dire. Tu fais cependant comme si tu n'avais pas eu mal, en bon gentleman ais-je envie de dire puis tu m'entraines dans une valse, plongeant alors ton regard dans le miens. Je rougis doucement. On tourne, tourne, tourne, tourne, tourne, tourne et tourne encore. L'espace d'un instant je me sens bien là, à tourner avec toi, mon regard dans le tiens, comme si le reste du monde n'existait plus. Je dis l'espace d'un instant oui... mais vraiment un TOUT PETIT instant. Parce que lorsqu'on se retrouves à côté du buffet. Je réalise soudainement que ; JE ME SUIS FAIT AVOIR COMME UN DÉBILE. Je fronce alors les sourcils puis tu me dis "tu es sûr que tu ne veux pas un verre ?". Je ne te réponds pas, en fait, je n'ai pas le temps de te répondre. Tu te détaches de moi et tu prends ma main m'entrainant un peu de force vers le buffet en fait. Je tire une sale gueule, mais UNE VRAIE SALE GUEULE LA. Non mais ce que tu viens de faire c'est dégueulasse. T'es méchant. Ça m'énerve. Le fait que tu sois méchant ne m'énerve pas vraiment en soit, c'est le fait que je me sois fait avoir comme un débutant. Comme un pauvre crétin amoureux. C'est tellement énervant. Je grogne fortement lorsque tu me tends un verre de punch. C'est quoi ça ? Y a de l'alcool dedans ? Non parce que je tiens pas l'alcool moi... au pire tant pis, si je finis bourré et que je le viole il l'aura bien mérité. Je prends donc le verre en te regardant de travers, mais vraiment de travers. Tu me dis alors de pas tirer cette tronche. Une envie de meurtre monte soudainement en moi, tandis que je lâche un fooort grognement de mécontentement en buvant nerveusement quelques gorgées de mon verre. Je manque ensuite de m'étouffer lorsque je te vois saluer Lana de la tête avec un sourire FLAMBOYANT. SALETÉ DE ROUSSE. TOUT CA C'EST A CAUSE D'ELLE. Je la regarde de travers elle aussi, lui lançant des éclairs, mon regard est presque haineux. C'est alors que je sens ton bras m'attraper pour m'entrainer romantiquement contre toi tandis que tu me dis, en employant bien entendu le ton qui va avec ; "tu sais qu'il n'y a que toi que je désire, n'est-ce pas ?". Je te regarde alors du coin de l'oeil, les sourcils quelque peu froncés, puis je détourne mon regard en buvant mon verre entier d'un seul coup avant de prendre la parole.*

Vous m'aurez une fois, mais pas deux.

*Non mais, c'est pas parce que tu es super sexy, super beau, super toussa avec ton air de grand brun ténébreux que je vais me laisser faire. C'est pas parce que mon coeur bat à cent à l'heure et que je sens mes joues rougir que ce que tu viens de me dire m'a fait plaisir. T'AS PAS INTÉRÊT A TE FAIRE DES IDÉES OU CETTE FOIS JE NE POURRAIS PLUS RETENIR MA MAIN DE TE FRAPPER. Raaah je me sens faible, je dois pas rougir, je dois pas me sentir comme ça, non non non. Je dois résister.*

Tsss.

#Hiroki & Damon —Grand Hall

«Soir de bal»

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*Je faisais une légère moue, venant de te rappeler qu'étant donné que j'étais un enfant, je ne pouvais pas vraiment cesser de faire l'enfant. Déjà que le penser me déprime alors le dire... Je me sentais tellement... je sais pas, j'avais l'impression d'être inférieur, mais en même temps pas vraiment. Je ne saurais pas dire ou expliquer pourquoi et comment je suis frustrer. Cet immense sentiment de frustration qui me dit que tout ça au final est peut être voué à l'échec... et ce qui fait encore plus mal c'est de se dire que c'est peut être mieux que ça soit voué à l'échec... Si tu devais passer ta vie avec moi, ça serait la gâcher... Quand j'aurais 20 ans, t'en auras déjà 30... j'aurais pas fini mes études, et toi...toi tu auras 30 ans quoi... c'est l'âge ou en général, si c'est pas déjà fait, on commence à fonder une famille... D'ailleurs en plus d'être jeune, je suis un homme, avec moi tu pourras jamais avoir d'enfants... y a pleins de choses que tu pourras pas faire. Rien que niveau conversation, faut pas se faire d'illusions... un homme de 30 et un homme de 20 ans n'ont pas les mêmes centres d'intérêt etc... Je regarde dans le vide, d'un air tristounet à la limite de l'inquiétude puis tes mots me font sortir de mes pensées.*

Je sais que t'es qu'un gosse pas besoin de me le rappeler.

*Je relevais l'espace d'un instant mon regard vers le tiens. Soudainement la pensée que tu puisses ressentir cette même frustration que moi effleura mon esprit. D'un côté j'étais plutôt content de me dire que peut être je n'étais pas le seul à ressentir ce sentiment affreux... mais je ne pouvais pas cacher que ce fameux sentiment de frustration me faisait tout de même souffrir... et je ne veux pas que tu souffres. M'enfin bon... avec le temps, peut être qu'au final, ce sentiment se dissipera, que cet écart d'âge ne se verra même plus et qu'au final qu'on ait le même âge ou non ne changera rien... Je sortais ensuite de mes pensées en sentant ta main glisser sur ma peau alors que tu me disais que tu avais toujours ce que tu voulais, j'essayais de résister un peu à ton charme, mais c'était vachement dur... mon regard se posa ensuite sur la piste de danse, que je fixais un instant, j'entendais d'ailleurs un "danse, danse, danse" sortir de ta bouche, puis tu me disais ensuite que 18 heures c'est tôt pour une fête quand même. Je répondais que c'était en effet tôt. Je finis alors mon verre d'un air pensif puis je le pose sur le buffet avant de venir doucement attraper ton bras, plantant mon regard dans le tiens en rougissant.*

Dites vous....vous voulez bien m'apprendre à danser, professeur ?

*Je te faisais des chibi eyes, tout beaux, tout mignons puis tu grognais légèrement avant de m'attraper pour m'entrainer sur la piste de danse en me disant "Mais tu sais déjà danser.". Je ne pouvais alors m'empêcher de pouffer légèrement de rire... moi ? si je savais danser, ça se saurait. Puis finalement après un nombre incalculable d'écrasement de pied tu disais finalement "Mais c'est pas possible à la fin !" et "C'est facile de danser !" Je te regardais t'énerver en regardant mes pieds avec haine, tandis que moi je t'adressais un sourire niais du genre "Ah bah je t'avais prévenu que je savais pas danser. Faut m'écouter de temps en temps." Puis d'un coup, tu redevenais soudainement très doux et embrassais mon front en me disant "C'est pas grave amour écrase-moi le pied autant de fois que tu veux.".... Parfois je me demande si tu n'es pas schizophrène... et masochiste aussi ! J'esquisse cependant un doux sourire, me disant que ça m'amusait de te voir comme ça. On reprend alors la danse, tu me fais tourner, tourner, tourner... j'essaye de suivre tes mouvements comme tu me l'as dit, essayant également de pas quitter ton regard... mais mon regard plongé dans le tiens... comme ça... c'est assez gênant, j'ai du mal à être concentré... mais je fais quand même de mon mieux pour pas trop te marcher sur les pieds. Puis la magnifique musique de mozart sur laquelle nous dansions finie par s'achever, on s'arrête alors. Tu as l'air crevé, en même temps vu comme je t'ai marché sur les pieds... Tu me regardes alors m'adressant quelques mots... si on peut appeler ça comme ça... c'était plus un langage codé en fait, pour me dire que tu voulais fumer. J'acquiesçais alors lorsque tu me patpatais, tu avais bien mérité ta "pause cigarette" me dis-je en te regardant d'un air amusé. Je te regardais alors t'éloigner de moi, me demandant si je devais te suivre... peut être que je devrais te laisser tranquille au moins quelques minutes ? Ou pas... Puis voilà que tu te retournais légèrement pour m'adresser un regard, mais pas n'importe lequel, un qui dit "viens". Un regard qui me fait grandement sourire, comme un imbécile heureux en fait. Je n'attends alors pas une seconde de plus pour te rejoindre sur le balcon.*

#Hiroki & Damon —Grand Hall

«Soir de bal»

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*Je te rejoignais donc sans trainer sur le balcon. Il y avait un léger vent frais, mais pas trop. C'était agréable, je fermais d'ailleurs mes yeux, l'espace d'un instant en sentant le vent glisser dans mes cheveux. Je m'approchais ensuite tout près de toi en t'entendant me le demander. Tu me prenais alors la main avant de mettre ta cigarette dans ta bouche pour me tendre un briquet que tu venais de sortir de ta poche en me disant "Tu me l'allumes ?" J'esquissai alors un léger sourire en regardant le briquet dans ta main puis j'enfouissais ma main libre dans la petite poche de ma robe (enfin celle de Shiki, d'ailleurs heureusement que cette robe avait des poches) pour en sortir un briquet, mais pas n'importe lequel bien sûr, celui que tu m'avais donné. Je le prenais donc dans ma main, l'approchant du bout de ta cigarette pour l'allumer.*

Ce briquet est beaucoup mieux...

*dis-je alors en te regardant avec un petit sourire malicieux au bout des lèvres, rangeant le briquet (que j'ai toujours sur moi) dans la petite poche (très utile) de ma robe. Puis c'est là que tu prenais ta malboro entre tes doigts avant de venir coller tes lèvres aux miennes. Je fermais un instant mes yeux en rougissant, sentant ta langue venir même jouer avec la mienne quelques instant, je profite alors de ce baiser essayant de le prolonger un peu jusqu'à ce que tu décolle tes lèvres des miennes, je détourne alors mon regard en rougissant, un léger sourire idiot aux lèvres tandis que tu reprends ta place d'il y a à peine une à deux minutes. Je regarde sagement devant moi, laissant le silence s'installer. Je me sens bien là, à côté de toi, avec ce vent frais, par cette belle nuit étoilée. Puis finalement, tu finis par briser le silence en disant "C'était pareil que t'embrasser en garçon.". Je fais alors une légère moue te regardant du coin de l'oeil avant de rougir d'avantage lorsque tu viens doucement poker ma joue avant de me glisser d'un air taquin "Et arrête de rougir pour rien, après ça me donne envie de t'embrasser." en murmurant.*

Je ne rougis pas gngn.... et puis...c'est peut être fait exprès, qui sait ? ~

*Je disais ça en grognant à moitié avant de te tirer doucement la langue, amusé. Je te regardais ensuite partir dans un rire, je comprenais pas trop pourquoi, mais bon, ça me fit doucement sourire de te voir comme ça tandis que je serrais doucement ta main dans la mienne en sentant ton pouce caresser le dos de ma main, je reportais ensuite mon regard devant moi t'entendant dire doucement "c'est fou, je peux revivre ce moment, encore et encore et ..." Je plisse légèrement mes yeux, me disant que ça serait chouette de pouvoir revivre éternellement tout ces petits moments avec toi, c'était tellement bien, j'étais tellement bien... c'est dingue quand même, comment notre bien être peut dépendre simplement de la personne avec laquelle nous nous trouvons. Je soupirais, mais pas un soupir d'exaspération non, un doux soupir, genre un soupire de "jesuisunimbécileheureuxcoucou", relevant ensuite mon regard vers toi avant de lever mes yeux aux ciel en te voyant jeter ta cigarette. C'était tellement rigolo de te voir faire le bad boy. En tout cas, si jamais les forêts de prismver brûlent... je saurais qui est le responsable huhu.*

#Hiroki & Damon —Grand Hall

«Soir de bal»

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*Le moment sur le balcon terminé, la soirée continua. Même si j'étais en fille, en robe, en talons et qu'il y avait beaucoup de monde, j'étais heureux d'être là. Tant que tu étais là, j'étais heureux d'être là moi aussi. Bref, la soirée continuait, je profitais de chaque instant, même de ceux ou je faisais genre je te boudais parce que tu m'embêtais (sisi) je dois être un peu maso en fait, parce que je crois que j'aime quand tu te fous de moi pour m'embêter... Enfin bon, le temps avançait à grand pas et voilà qu'on était presque minuit et demi déjà. On venait de danser, quelque chose de doux et de calme. C'était surement la fin de la soirée, quelques personnes étaient déjà partie. Puis minuit et demi arriva, et là, il se passa quelque chose. Quelque chose qui bien sur n'est pas vraiment tombé au bon moment... C'EST LA FAUTE A RUTHEL QUOI. Oui Ruthel, et ses cookies, ses cookies qui nous avaient fait changer de sexe... ça y est ? Vous avez comprit ? Oui, voilà... à minuit et demi, tout ceux ayant changé de sexe à cause des cookies sont soudainement redevenu normaux. Panique totale, tout le monde se mit à crier, hurler, pleurer. Ca s'est mit à courir dans tout les sens. Le gros mouvement de panique quoi. Bien sur, j'échappe pas à la règle. Soudainement, sans que je capte direct, ça y est, j'étais redevenu un homme. Heureusement j'étais pas hyper imposant alors la robe était juste très serrée, mais heureusement elle ne se déchira pas ou autre... J'étais tout de même soudainement gêné et même paniqué. Je savais pas quoi faire, je rougissais alors juste bêtement restant planté là comme un con jusqu'à ce que tu te mettes à pouffer de rire... Mais genre quand je dis pouffer de rire c'est vraiment...POUFFER DE RIRE QUOI. Je te lance un regard...mais un regard comme je ne t'en ai jamais lancé. Je te fusille carrément du regard, si j'avais des rayons lasers à la place des yeux tu ne serais déjà plus de ce monde je crois... Puis finalement tu viens me prendre par les épaules pour me poster face au miroir. Je regarde alors un instant mon reflet dans le miroir avant de détourner le regard en grognant assez fortement. Et c'est là.... Alors que tu avais ta main sur mon épaule... que tu me dis d'un air des plus amusé "Même si tu es ridicule comme ça, je t'aime quand même. ♥ "....Ça y est...ça y est.... tu l'as dit.... TU L'AS DIT ! Je reste une bonne trentaine de secondes bloqué sans rien dire et sans bouger, le temps de réaliser. Ça avait beau être tout sauf romantique et même si tu avais dit que j'étais ridicule -mais en même temps t'avais raison...- je trouvais ça adorable et j'étais horriblement heureux. Après une trentaine de seconde je réagis donc enfin, devenant tout rouge en relevant mon regard vers toi.*

Je...euh...

*Je bégayais comme un con, les joues toutes rouge, à la fois de bonheur et de gêne mais je n'eus pas le temps de finir ma phrase que déjà tu commençais à partir, me laissant en plan comme un crétin. J'esquisse alors un doux sourire heureux avant de rire comme un crétin. Puis je finis par te rejoindre, attrapant alors ton bras que j'entourais des miens en râlant légèrement lorsque tu te mettais à rire, me doutant bien de pourquoi tu riais.... il suffisait de me regarder pour comprendre... Je crois que ce qui m'énerve le plus c'est de savoir que tu ne ris pas pour rien, que tu as vraiment une bonne raison de te foutre sur moi. Je soupire alors, posant ma tête contre ton épaule, appuyant légèrement contre celle ci pour t'embêter avant de sourire.*