HOLY : On est pas très sages là. Tu l'as dit bouffi. Tu t'étais relevé avec elle, suivant son mouvement. Elle t'avait coupé, avouons le. Réticence ? Tu eus un doute, une perte de confiance subite. Et si elle n'était pas d'accord ? Non, non, Holy, ne me fais pas ça. Ton regard se fit perdu, un instant, puis tu revivais rapidement les dernière minutes pour te redonner confiance. Oui, elle était consentante, non, ce n'était pas la fumette qui la mettait dans cet état, oui c'était bien elle, non, elle n'avait pas fui. Pas comme d'autres. Tu te perdais dans tes conquêtes et le résultat n'étant pas terrible, tu remontais jusqu'à Frida. Il y avait une similarité : elles t'acceptaient. Tu lâchais un rire tendus, court. Mais te ressentais toujours ses jambes autour de ta taille. Tu l'observais avec attention. Ce regard pétillant, cette chevelure éclatante, cette peau de pêche, ces lèvres rouges, ces joues rosées, ce visage, quoi. Tu aimes ça. Tu as appris, depuis le temps, chaque détail de ce physique, tu saurais la redessiner les yeux fermer, et tu l'apprécies. Elle est belle. Très belle. Trop belle. Tu as envie de la dévorer, ou quelque chose comme ça. Tu ne comprends pas tes sentiments, même si tu l'as déjà vécu. HOLY : Et maintenant, quoi? Phrase assassine. Mots assassins. Tout est coupé, l'herbe sous ton pied, ton souffle, ta pensée. Tu n'en sais rien ; tu n'y a pas pensé une seconde. Tu as juste voulu vivre ce moment, et là, elle en demande plus. Mais c'est vrai. Pourquoi s'arrêter ? Mais voudra-t-elle ? RAH. Tu passes ta langue sur tes lèvres. Les baisers sont encore chauds. Ça te gêne, tu ne sais pas quoi y répondre. Tu réfléchis à 100 à l'heure. Vite, vite, vite. Idée ? Vous pourriez continuer, vous arrêter, reprendre comme avant, comme si de rien n'était, peut être essayer de nouveaux horizons, vous gueuler l'un sur l'autre, vous cracher dessus... Ou simplement tu pourrais ouvrir ton coeur. Quoi ? Ton coeur, ton coeur. Tu n'y penses pas. Y penses tu ? Des sentiments. Tu t'en es rendu compte, c'est différent, nouveau, ça revient, c'est beau, froid, chaud, c'est tout. Est-ce que c'était ça, avant ? Non. C'était différent, tu sais. Tu te résonne, tu ne t'aventures pas sur ce terrain, tu en reste à un point stable : Holy te plait. Holy te plait vraiment. Tu t'arrêtes à cette affirmation. Point. ZADIG : Je- je ne sais pas. Que veux-tu ? Réponse stupide. Andouille. Tu t'en rends vite compte, et, avant qu'elle ne réponde, tu t’assènes une tape sur le front et tu la coupe. ZADIG : Non. Je n'ai pas envie qu'on en finisse là. J'veux pas. J'ai envie de continuer, d'être avec toi, même sans t'embrasser, juste pour être prêt de toi, pour pouvoir te voir. -t'admirer- J'veux qu'on reste ensemble, qu'on construise quelque chose. Un château en Espagne, peut être. Je te veux pour moi, et je me fous bien d'être égoïste, putain, j'ai envie de toi. Que les autres aillent se faire foutre. BRAVO ! Tu as géré, mec, quelle fille pourrait résister à ce discours ? Enfin, le point positif, c'est que tu penses ce que tu dis. Et ça se sent. Ton regard la transperce de vérité tandis que ta voix reprend son assurance peu à peu. Que c'est beau, c'est brillant ! Tu oses même passer à l'étape 2. ZADIG : Peut être tu veux qu'on aille dans ma cabane ? Français : 0. Romantisme : 0. Nullité : 46778998065342567688987765356.
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Sujet: Re: l'éveil de tous les moeurs - holymoncoeur. Sam 9 Fév 2013 - 19:51
l'éveil de tous les mœurs
Stay up late...
We don't sleep!
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Sujet: Re: l'éveil de tous les moeurs - holymoncoeur. Dim 3 Mar 2013 - 18:34
(le rp est terminé ♥♥)
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Sujet: Re: l'éveil de tous les moeurs - holymoncoeur.