Le casque sur les oreilles, les mains dans les poches, son sac de sport sur l’épaule, le Bleu se dirige d’un pas tranquille vers le gymnase. Il est en avance, juste ce qu’il faut pour être sur le terrain avant les autres, de quoi faire quelques tirs avant que d’éventuels autres membres du club de basket n’arrivent. Pas d’entrainement prévu, mais le mardi soir, de 18h à 19h30, c’est le créneau de la section basket; si quelques uns ont envie de venir taper le ballon, ce sera à cette heure-ci.
Sifflotant, Corentin pousse la grande porte, se dirige jusqu’aux vestiaires des hommes ou il pose son sac, constatant qu’il est bien le premier. Un short noir, un débardeur rouge, des baskets rouge et blanche, il fait quelques sauts, jette un oeil à son reflet dans le miroir; toujours aussi décoiffé, sa cicatrice est toujours aussi laide, bref, tout va bien. Soupirant, il enfile son petit bracelet éponge, prend sa bouteille d’eau et se met en route vers les casiers. C’est la première fois qu’il vient taper le ballon dans le cadre du club, et on lui a dit qu’il fallait sortir les sacs de ballons, si il arrivait le premier. Alors il s'exécute, entrant sur le terrain, déposant les sacs de ballons de différentes tailles sur le côté. Il s’empare d’un taille 7, fait quelques dribbles vers le panier le plus proche. Un tir au niveau des lancers francs, il marque. Corentin a du potentiel, en basket. Il a les bases, les attitudes, est capable de mouvements intéressants. En France, il jouait ailier. Rapide et bon tireur, à l’aise dans ses déplacements, il a plus de mal lorsqu’il doit jouer dans la raquette. Il préfère également la défense individuelle à la défense de zone. Corentin, c’est celui auquel on ne portera pas plus d’attention que ça, sauf au troisième 3pts qu’il enchaînera, car il en est capable, si on lui fout la paix. En revanche, une fois bousculé, on peut vite venir à bout de lui.
Le jeune homme s’échauffe donc tranquillement, enchaînant les doubles pas, d’un côté, puis de l’autre. Il n’a aucune idée des habitudes des autres membres du club, étant donné qu’il vient pour la première fois; il espère juste ne pas s’être totalement planté dans les horaires... Car ça aussi, il en serait capable.
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Un air triomphal s'affiche soudainement sur son visage, et une lumière de malice brille au fond de son regard. Ça y est, Avril a décidé qu'il était temps de devenir civilisée. C'est un grand jour pour l'humanité. Elle lève le nez vers le toit du gymnase; non, elle est pas venue pour faire le pot de fleur, ni taper dans le vide, aujourd'hui, Avril a décidé que jouer en équipe, respecter des règles, ça pouvait être cool aussi. Bon, elle est pas sûre d'aimer, mais mine de rien, elle sait que ça ne peut lui faire que du bien... Même si, de mauvaise foi, elle se dit qu'il y a rien de mieux que foutre un taqué dans le nez des chieurs, m'enfin. Les règles ne sont pas là pour rien... (mon dieu, elle parle comme sa mère !)
Remettant correctement la lanière de son sac sur son épaule, elle lance un rapide coup d’œil à sa montre -18h passé depuis... Quelques minutes. Elle connait pas les horaires d'entraînement, mais osef -elle commence bien, déjà sérieuse *korf korf*. Au pire, elle sera toute seule, et ce sera pour le mieux. Elle tuera personne avec un ballon. D'ailleurs, son dernier souvenir avec un de ces objets n'était pas des plus agréables. S'il vous plait, fasse qu'elle tue personne. Elle se ferait virer à coup sûr... (Avril, c'est pas vraiment à ça qu'on pense quand on est normal, tu sais ?). Si Gautier il n'y avait pas eu, elle ne se serait pas inscrite, mais écoute... Pourquoi pas ? Au et puis merde, c'est pas le moment de s'enfoncer dans une réflexion profonde et inutile. Tu sais pas réfléchir, Avril, de toute façon.
Un petit crochet par les vestiaires, une tenue des plus simples, comme d'hab' quoi, elle ressemble à rien, elle s'en fout au pire, elle va faire du sport de toute façon. Short sombre, haut sombre, baskets sombres; BLACK POWER -constate qu'elle n'est pas vêtue en rouge c'estextraordinaire. Elle y connait rien, mais bon, elle va bien finir par apprendre. Déjà, la quête du stade fut longue -elle se sent plus conne que d'habitude subitement, c'est vrai, c'est siii facile de perdre un terrain de basket...-, elle se rend compte qu'elle est pas toute seule. Cool. Elle se sent moins débile -même si elle doute qu'il ait prit autant de temps qu'elle a trouvé le lieu. Elle était déjà venue, en plus... Manque de sommeil, c'est forcément ça.
Sur le moment, comme d'hab, elle fait pas gaffe, elle le regarde tout juste, ouais, comme d'hab c'est ça; Avril, t'es dans ta bulle, Avril, regarde un peu le monde qui t'entoure, putain Avril, t'es pas seule sur Terre. Elle s'approche du sac de ballons, et ouvre de grandes yeux. Ah... C'est vrai qu'il y a plusieurs tailles différentes... Elle s'y connait absolument pas, HA HA, ça va être drôle, tout ça... Elle s'accroupie, regarde les balles, et se sent déjà mal. Elle avait envie de tester, voir ce qui était le mieux, sauf que... Si elle assommait l'autre type, c'était pas gagné. Une brute, Avril. Aussi délicate qu'un mammouth lancé d'un avion à cent kilomètres du sol. Putain.
Elle se racle la gorge. Ouais, comme dans les films, elle croit qu'elle va se faire remarquer en se raclant la gorge. Ecoute, l'influence des films sur l'être humain est importante... Elle lance un regard vers l'autre type, et quelque chose l'interpelle. Elle le connait. Mais d'où... (elle le voit de dos, hein) Soudainement, elle se retourne à nouveau. Elle a pas encore percuté, mais elle veut pas qu'il la voit. Pourquoi, allez savoir... Si elle voyait son visage, elle comprendrait peut être... Bon bon, prends un ballon, fais pas chier.
Le ballon tape sur le parquet, ses baskets grincent, le panier tremble, le filet frotte. Autant de bruits qui font que Corentin n’avait pas remarqué la présence de la jeune fille derrière lui. Ce n’est que lorsque celle-ci se râcle la gorge pendant son double pas qu’il pose les yeux sur elle, une fois son rebond habilement rattrapé. Elle est accroupie dos à lui, fouillant dans le sac de ballons taille 7. Il cligne des yeux, observant ses longs cheveux rouges. Wow, cette crinière... Il fronce les sourcils, ça lui rappelle de mauvais souvenirs.
Enfin, mauvais... Si, mauvais. Y’a quelques mois, avant son arrivée à Prismver. Quand il a rencontré cette fille du net. Son amie. Enfin, enfin une rencontre IRL. Elle s’était montrée finalement très distante ce jour là, et n’avait plus jamais donné de nouvelles. Corentin commençait à avoir des sentiments pour elle, au moment de la rencontrer. Cette histoire lui avait brisé le coeur. Mais cette histoire lui avait également permis de déclencher à nouveau son pouvoir, et donc, engendrer son entrée au pensionnat. Quoi qu’il en soit, ces cheveux rouges vifs lui font froncer les sourcils, reportant son attention sur le panier. Un shoot, raté.
« C’est pas le bon sac, y’a que des tailles 7 là-dedans, le sac des tailles 6 est derrière toi. » Lâche t-il, allant chercher son rebond, qui déja, entraîne la balle vers elle. Il s’élance, trottinant, attrapant la balle juste avant qu’elle ne touche la jeune fille, qui venait de se retourner en entendant sa voix.
Il se stoppe devant elle, balle en main, yeux écarquillés, bouche entrouverte. « ... Avril ?! » Il rougit, recule de quelques pas, se renfrogne légèrement, détournant le regard, gêné...
« Qu’est-ce que... J’savais pas que t’étais là... » En langue française, naturellement, d’instinct. Il n’ose pas la regarder, tourne légèrement le visage pour ne pas lui exposer sa cicatrice. Il est persuadé que, si elle l’a évité lors de leur rencontre IRL, c’est parce-qu’elle le trouvait répugnant. Comme beaucoup... Alors il ne la regarde pas, honteux, et terriblement mal à l’aise.
Quand on s'ennuie, il y a une solution : le basketball. Une fois n'est pas coutume, une journée vide m'a amené à partir vers le gymnase. En E, les cours n'ont pas vraiment d'intérêt puisque les professeurs ne font pas vraiment d'efforts. Ils n'ont pas tort, du fait que les élèves n'en font pas plus, mais pour les gens en dehors de l'affaire, c'est pas encourageant. Au fond, ça ne les pousse pas à travailler, et dans mon cas, ça me démotivait. Je préférais partir au gymnase - taper la balle toute la matinée pendant que les gens étaient en cours, c'était pas plus mal. Ensuite, un repas rapide, et ça reprenait. Aujourd'hui n'avait pas fait exception : toute la matinée passée à m'entraîner, dribbler, tirer...
Je n'étais pas revenu l'après-midi, en revanche, faute d'endurance. J'aurai pu, mais j'avais trop forcé hier et les courbatures de la veille persistaient. Au bout de quelques heures à ne rien faire, je craquais : l'appel de la balle, et puis, c'était mardi soir. C'était le créneau réglementaire, même si la possession de clefs me permettait d'y aller quand je voulais. Être président, ça a ses avantages. J'arrivais donc dans le gymnase déjà ouvert -j'avais dû oublier de fermer quel boulet rokqdfopze- et tombe sur deux personnes. OMG. Iron Man et Miss Indestructible. Je contourne pour voir sa tête. Avril. Une seconde. Du basket... je les regarde. Regarde la balle. Les regarde. Orgasme.
- WOAH DES NOUVEAUX ! Génial ! BIENVENUE ! On est pas beaucoup dans le club mais on a déjà fait un petit match la dernière fois, on est assez pour faire une équipe en plus ! Avec ça, on va pouvoir faire tourner tout le monde, en plus, Nem' vient de temps en temps pour surveiller, bon, pas toujours, mais il est là, il pourra nous coacher, on va bien s'amuser ! Les autres ne devraient pas tarder en plus et... ouais voilà.
Stop. Je les regarde. Visages sérieux. Soupir intérieur. Bien sûr, il fallait que je tombe sur le moment où il fallait pas. Et puis, Avril dans l'équipe... je deviens livide, tente de me rattraper. Elle va casser les paniers, frapper les joueurs, j'ai essayé pourtaaaaant... non ne pas se décourager. Je respire, les fixe, semble interloqué parce que j'ai capté l'attention. Tu m'étonnes, faut dire que j'ai bien gueulé. Je m'approche lentement, pose mon sac, déjà en tenue, et chope un ballon taille 7. Je me décale sur le terrain en mode crabe - les quitter des yeux, pour mourir ? Lol.
Il frémissait d’excitation. Il avait attendu toute la journée, les heures ennuyeuses de cours à supporter avec ces profs tous aussi chiants les uns que les autres. Mais ce temps était révolu. Il ne tient pas en place, attend impatiemment la fin des cours - pourquoi y aller d’ailleurs -, sautillant comme une puce, les jambes gigotant sous sa table.
Ça sonne. Il a l’impression que tous le poids de l’impatience tenant sur ses épaules s’évapore. Demi-sourire aux lèvres, il se précipite vers son cabanon, déposant son sac de cours pour remplacer ce dernier par celui de sport. Son pas se fait déjà moins tendu - quitter le bâtiment était déjà plus agréable. Mais c’est en voyant le gymnase de loin qu’il presse le pas, trop impatient de sentir la matière rugueuse du ballon entre ses doigts.
Les lumières étaient allumées - peut-être qu’il n’allait pas être seul, peut-être même qu’il y avait Skylee qui l’attendait avec un ballon, prête à lui jeter l’arme en pleine figure… Il grimace à cette pensées obscure, car oui, Skylee a l’air d’être une fille, elle était plutôt masculine et on pourrait presque la comparer à Sébastian Chabal tellement elle était bestiale et brute.
Il pousse la grande porte, sautillant discrètement jusqu’aux vestiaires, ne faisant même pas attention à qui était sur le terrain. En train de se changer, il arrivait à entendre une voix - une voix qu’il ne connaissait que trop bien, et qui surtout gueulait comme personne à part lui ne saurait le faire. Toujours à déblatérer des bêtises sans queues ni têtes, je nomme Gautier.
Il se pointe comme une fleur sur le terrain, en tenue, sourire niais collé au visage. Ses yeux glissent un instant sur les personnes présentes. Gautier qui joue au fruit de mer donc, une fille dont le nom lui échappait mais dont la réputation était plutôt obscure et… et quelqu’un qu’il ne connaissait pas le moins du monde. Il s’attarde quelques instants sur son visage balafré par une horrible brûlure ornant le côté gauche de son visage. Grimace instinctive.
Il éprouvait une once de pitié à son égard, il a sans doute souffert quand il s’était fait ça. Mais autant dire que ce n’était pas très agréable à regarder. Sentant que le brun avait capté son regard insistant, il le détourne aussitôt, gêné, se dirigeant plutôt vers Gautier où il passe un bras autour de son cou, le déposant sur son épaule.
Maiiiiiis non capitaine. Pas moyen, pas moyen. Il avait préféré l’appeler ainsi parce que premièrement, ça aurait pu être la classe ultime d’être capitaine du club de basket de Prismver (malgré sa petite taille) (tous les capitaines ne sont pas baraqués désolé), et aussi pour lui car ça veut clairement dire “Hehe je fais parti du club de baskeeeet dudes, nrj on est tous beaux dedans” - bien entendu, il n’osera jamais le dire et préfère le déclarer implicitement à qui saura déchiffrer ses paroles.
Vous êtes nouveaux ? Vous allez jouer dans notre équipe ? Vous savez jouer au basket ? C’est quoi vos prénoms ? Il pointe Corentin du doigt, toujours collé à son Gautier. Dis, je peux t’appeler Scar comme dans le Roi Lion ?
Avril. Avril est là. Ca se bouscule dans sa tête, c’est genre tellement improbable... Ils se sont connus sur le net, on été jusqu’à se rencontrer IRL, dans un autre pays... Et la voila là... Alors elle aussi a un don ?! Il se demande bien ce que ça peut être, mais est encore trop choqué pour le lui demander. Elle semble figée, elle aussi muette, abasourdie. Elle doit être encore plus mal que lui en réalité... Elle l’a ignoré après leur rencontre, elle a dû se dire qu’elle ne le reverrait plus jamais, que ça n’avait pas d’importance... Manque de bol Avril, il est dans ton école, et si tu tiens à faire du basket tu vas le croiser souvent. Il ignore depuis combien de temps elle est là, même à quelle classe elle appartient. Mais il n’est pas sûr d’avoir envie de connaître plus de détails. Elle l’a lâchement laissé tomber, ça lui a brisé le coeur. Alors, lorsqu’un brun arrive en mode LA VIE EST BELLE, il quitte Avril du regard, s'intéressant au nouveau venu. Il braille, il trouve le moyen de l’agacer en six secondes chrono. Mais Corentin n’a même pas le temps de grogner qu’un second arrive, avec de drôles de cheveux bleus.
«... J'ai cassé l'ambiance non ? » « Maiiiiiis non capitaine. Pas moyen, pas moyen. »
... Pour ce qu’il y avait d’ambiance. Corentin se force à ne plus regarder Avril, ayant toujours un mauvais sentiment à son égard. Il observe le mec aux cheveux bleus, l’oeil vif et défiant, ayant bien remarqué la façon dont il le regarde.
« Vous êtes nouveaux ? Vous allez jouer dans notre équipe ? Vous savez jouer au basket ? C’est quoi vos prénoms ? Dis, je peux t’appeler Scar comme dans le Roi Lion ? » Corentin le fixe un instant. Soudainement il lui balance son ballon dans le ventre, se doutant bien qu’il allait l’attraper à temps. Il affiche un léger sourire goguenard.
« Si ça peut te faire plaisir, bourriquet. »
Décidément, Corentin change. Et c’est grâce à Anshu. C’est bien la première fois qu’il ne rougit pas ou ne s’énèrve pas lorsqu’on évoque sa cicatrice. Y’a du progrès. Il a envie d’intégrer cette équipe. De se faire des potes. D’être entouré d’un groupe, et heureux, comme les autres. Il estime qu’il y a le droit, après tout.
« Et oui, je suis nouveau, plus ou moins. Je fais du basket depuis six ans, en ailier ou meneur, selon les besoins. Et je m’appelle Corentin, mais appelez moi Co, les anglais le prononcent mal. »
Code de Morgan O. Bloomkvist, modifié. Code couleur Coco : #C33E3E
Il laisse Gautier en paix, croisant les bras. Le regard de Scar croise le sien. Il cille face à la vue de sa cicatrice pour la seconde fois mais ne baisse pas les yeux pour autant. Pas vraiment le temps de se répugner face à sa cicatrice en réalité, parce que le brun lui avait déjà jeté la balle en plein ventre. Reflexe. Il la réceptionne, l’observant, les yeux plissés.
Ce n’était pas spécialement un mec à problèmes, Lysander. Il n’aimait pas plus les ennemis que les autres et tenait à s’en écarter un maximum. Seulement, si ce garçon se mettait à devenir aussi… aussi désagréable et distant, jouer avec lui sera quand même difficile. La seule personne qui pouvait RÉELLEMENT se montrer désagréable était… euh… Skygge.
Mais jusqu’à présent, il ne détestait personne dans l’équipe. Alors par pitiéé, ne me faites pas détester ce garçon qui semble tellement sympathique au fond.
Il se contente de lui offrir un sourire. Ce sourire n’était ni faux-cul, ni hypocrite. Juste lui-même. L’impulsivité ne faisait pas partit de lui, il était plutôt du genre à garder son sang-froid. Parce que s’il devait être impulsif, les baffes se perdraient vraiment dans ce pensionnat de fous furieux dépressifs arrogants intellos minables. Heh.
Une légère moue se dessine sur son visage alors qu’il observe la balle entre ses mains. Heh. Je joue ailier. Il s’était à présent fait plus calme et soupire, effectuant quelques dribbles en s’approchant de Scar.
Il aurait pu lui demander une démonstration de son talent ou un un contre un… Mais à quoi bon ? Son sourire s’élargit alors qu’il loge le ballon sous son bras, tendant sa main libre en sa direction, le fixant des quelques centimètres qu’il avait de plus que lui - une véritable satisfaction.
Hmm... J’espère qu’on va bien s’entendre si tu comptes nous rejoindre, tout de même.
Sourire taquin, le basketteur toise le Prince, devant la porte du gymnase. Il fini par pouffer de rire, entrant.
« Ca va j’déconne, j’vais lui dire de venir te voir. »
Sifflotant tranquillement, mains dans les poches, observant le couloir en marchant, Heath se dirige directement vers la salle. Il est déja vêtu de sa tenue de basket noir et blanche, et porte son sac à bandoulière à l’épaule, qu’il dépose près du banc en entrant.
« Yooooo. »
Remontant ses lunettes sur son nez, il fait quelques pas pour rejoindre le petit groupe déja présent. Il aperçoit Lysander tendre la main à un inconnu, balle sous le bras.
« Encore en train d’essayer d’te faire des amis Lys ? - Patron. »
Il tape le check habituel à Gautier, et s’approche de Lysander, passant son bras sur son épaule, sourire aux lèvres. Il jette un oeil aux deux inconnus, le mec à la brûlure et une fille aux cheveux rouges vifs. Il reporte son attention sur le balafré.
« Tu dois être Corentin ? Y’a Anshu qui veut t’parler dehors. »
Il lui sourit, mais le balafré se détourne d’eux, semblant soudainement inquiet. Le mec se casse, soupirant qu’il n’est pas sûr de revenir, et accordant un regard à la fille aux cheveux rouges.
« Bon. »
Le jeune homme donne alors un coup dans le ballon de Lysander, le dégageant de sa prise sous le bras, afin de lui subtiliser pour enchaîner sur quelques dribbles. Regard taquin pour son pote, il se dirige vers le terrain, alternant quelques dribbles en faisant rebondir la balle entre ses jambes pendant sa marche.
Code de Morgan, modifié. Couleur Heath : #808D75
InvitéInvité
Sujet: Re: Harder, better, faster, stronger [RP CONTINU BASKET-BALL] Jeu 2 Jan 2014 - 10:12
Basketball !
OMG je crois vraiment que j'ai cassé l'ambiance... Je panique, regarde autour, me tortille les doigts, passe d'un pied sur l'autre, sifflote la mélodie de Bob l'éponge, rien à faire, ils me fixent, la honte de ouf. Je sens un bras s'enrouler autour de mon épaule, un assassin, ils ont engagé un assassin !! C'est bon c'était qu'une discussion on peut toujours s'arranger je... ah non c'est Lysander en fait. Capitaine ? Moi capitaine ? Par lui ? Ohohoh. Hairflip. Je retiens un sourire satisfait, puis le vois parler aux autres gars, surtout au gars. Scar dans le Roi Lion ? Ah oui c'est pas faux. Les mêmes pwals. Et... OMG UNE CICATRICE COMME MOI. Je m'échappe du bras de Lysander et cours jusqu'au mec pour me poster devant et fixer la chose. Yeux pétillants, comme devant la bouffe.
- Ouah. C'est hyper classieux. J'veux la même. Je tiens à remercier le jury prix nobel pour le plus grand imbécile de cette année. Sauf si faut que j'me mutile encore. Tiens regarde la mienne.
Je pointe ma cicatrice du doigt. Je souris pas, je suis pas content, normal, j'en suis pas très fier. J'aurai pu l'être mais j'ai inquiété tout le monde pour cette bêtise alors non. Jeune et con, heureusement que j'ai rencontré Lysander... tiens d'ailleurs il est là c'est vrai !! Je retourne vers lui et le checke, puis me rends compte que le gars avait répondu. Attendez. Concentration. J'ai compris "ailier" je crois. Et Corentin. Ouais parfait, ça ira.
- C'est parfait !! Je joue meneur plutôt, on pourra tourner, ou si tu préfères rester ailier, ça me va aussi ! On était déjà pas mal. Il y avait... euh... Cale, Skygge, Ashley, Mykos, Pytha, Heath... bon on était sept ! On est de plus en plus, c'est cool.
Sourire. OMG je parle sûrement trop je monopolise le côté auditif de la pièce. Attends Heath parle d'Anshu. Je me tourne vers les deux.
- Anshu dehors ? IL VEUT JOUER ! Dis-lui de venir s'il veut !!
C'est ça, on y croit. Je regarde Heath.
InvitéInvité
Sujet: Re: Harder, better, faster, stronger [RP CONTINU BASKET-BALL] Jeu 2 Jan 2014 - 14:57
...
Regard rapide sur l'horloge alors que tu sors de la douche. T'es en retard. Enfin, techniquement non. Mais si tu ne presses pas un peu plus, tu le seras. Tu fouilles dans ton armoires pour en ressortir et enfiler la première tenue de sport que tu trouves, attrapant un sac pour y fourrer un change, une paire de basket propres, une serviette et une bouteille d'eau. Puis tu t'attaches les cheveux avant de quitter la pièce d'un pas pressé. 5, 6 minutes. Le gymnase se rapproche, cette fois t'es vraiment en retard. C'est pas grave, on ne t'en voudra pas tellement ça t'arrive souvent.
Hey, Anshu! On peut savoir c'que tu fais ici ?
La réponse qu'il te donne avant que tu n'entres te fait sourire. Il attend Corentin, d'accord. Tu lui pokes gaiement les joues, l'abandonnant pour aller saluer tes camarades. Et en entrant dans la salle tu écarquilles presque les yeux de surprise. Il n'y a ni Cale, ni Phyta, ni Skygge. Non il y a .. Des gens. Des gens qui ne sont pas, ou du moins pour la plupart, inscrits. Ou qui n'étaient pas présents lors de la dernière séance. Il y a Gautier bien sûr, qui parle en hurlant comme un gamin émerveillé de tout ce que la nature peut créer, bien sûr, Corentin qui te passe à coté sans un mot, ok.. Vive la politesse, une fille que tu ne connais pas, ton ciel à toi et ton beau gosse à lunettes. Lysander et Heath, pour ceux qui n'auraient pas compris.
Anshu ne joue pas au basket, Gautier. Le connaissant il doit avoir bien mieux à faire en plus, si Corentin va avec lui. Sourire, tu fais la bise à tout le monde, tapant quelques check avant de sauter dans les bras de Lysander, lâchant ton sac. Ça fait un moment que vous n'êtes pas allé piocher dans les cuisines de Betsabe tous les deux d'ailleurs. Il faudra que tu programmes ça avec lui un d'ces quatre.
Tu te sépares de ton ami, lui murmurant à l'oreille à quel point tu l'adores pour te diriger vers la seule demoiselle du groupe après toi. Tu ne sais pas trop qui elle est et même si elle est inscrite, pour toi ça y est elle fait déjà partie de la famille. Alors bon, tu lui tends une main enjouée pour l'attirer vers les autres.
Moi c'est Ashley, et toi ? Tu t'assoies près de tes affaires, changeant tes chaussures avant de pousser le tout dans un coin de la pièce et de te relever pour lui faire face. Si tu savais à quel point j'suis heureuse de plus être la seule fille, ahah! T'es bien inscrite au moins, hein ?
HRP // C'est merdique pardon ;;
InvitéInvité
Sujet: Re: Harder, better, faster, stronger [RP CONTINU BASKET-BALL] Dim 5 Jan 2014 - 17:44
Harder, Better, Faster, Stronger
T'est vraiment dans la merde, encore une fois. Au fur et à mesure que le bâtiment s'approche tu peut pas t'empêcher de sentir une sorte de boule dans ton ventre.
Pourquoi tu t'est inscrite à ce club hein ? Peut être marre de passer tes soirées à rien faire, la console posée sur tes genoux. Du coup te voilà telle une cruche, le chignon défait, les joues rougies par la course. Tu passe furtivement devant deux gars qui discutent à l’extérieur, tu plisse d'abord les yeux avant de leur adresser un sourire chaleureux. Car oui d'après ta logique si ils se trouvent ici à cette heure, c'est qu'il font forcément partie du club, et que t'as aucune raison donc à commencer à te faire détester, CQFD !
Puis tu finis par entrer à l'intérieur du bâtiment, prenant ton courage à deux main, serrant la poignée de ton sac. La salle est remplis d'un petit attroupement de gens. Tu tente de distinguer des personnes que tu connais en plissant les yeux, même si t'as des doutes. Un grand avec des lunettes qui fait des dribbles, un mec au cheveux bleus, un autre brun qui fait pas mal de bruit. Puis deux filles, c'est vers elle que tu te dirige tenant ton sac dans tes bras.
La rousse semble discuter avec celle au cheveux rouges, mais tu t'approche tout de même tout en te demandant comment c'est humainement possible d'être aussi grand.
▬ « Herm .... Saluuuuut ? », t'as voix est pas trop rassurée, mais tu tente de passer outre. Tu lâche ton sac pour réajuster tes fringues qui sont un peu partie dans tout les sens avec ta course. En rattachant tes cheveux tu jette un coup d'oeil au deux filles puis machinalement tu lance :
▬ « Sinon moi c'est Chelsea, j'espère que j'vous interromps pas en pleine conversation ?
Spoiler:
C'pas très joli mais bon >w< Et Chelsea cause en OrangeRed
Avec le temps, j'ai vu mes cheveux légèrement pousser, en fait depuis que j'ai joué ce match avec Skygge il s'est écoulé un peu de temps. Assez pour que ma coupe ressemble plus à rien, JE L'AVOUE. Mais Holly a dit que j'étais très sexy avec cette "nouvelle" coiffure que le temps m'a donney, que ça me donnait un air désordonné, de bad boy, de "rrrr" qui m'allait à m... Et wait no. Je me regarde dans la glace, un sourire, j'suis désolé, mais je vais vraiment aller che le coiffeur. Pour la première fois depuis longtemps. Je vais bien oui, je vais bien. Je le sens, je vais bien, je vai........ non, mais je commence à le croire, alors ça me suffit, j'ai décidé que l'anorexie ne m'allait pas, j'ai arrêté la clope. Bon, pas totalement. Aujourd'hui je me sens prêt à revenir, à ... à aller en basket, ouais, j'suis prêt, je m'appuie sur l'évier, je suis prêt.
▬ PUTAIN, J'SUIS PRET
La serviette sur l'épaule, je retourne dans ma chambre, le sourire aux lèvres, je suis heureux, à cet instant précis et je vais même sauter sur l'une des filles de mon cabanon pour lui exprimer ma joie.
Comme d'hab je vais arriver en retard (s'habiller ça prend du temps)*9774554 filles like*, main dans les poches. Le chemin a été tranquille, peut-être que Skygge sera à cet entrainement, i dont fucking know, j'sais pas trop ce qu'il devient. En fait si, je l'avoue, merde ! Je ne me change pas, habillé en monde décontracté et ma veste noire en fourrure, je regarde dans les vestiaires les mecs, dans les vestiaires des filles, j'ai reconnu des vêtements ya ma Ashley ça suffit à faire de ma vie un ptit rayon de soleil, là maintenant. J'inspire lentement, prends une grosse bouffé d'air, je me dirige vers cette porte qui renforme beaucoup beaucoup de souvenirs, car c'est ici même que j'ai rencontré VOUS SAVEZ QUI. Je pousse la porte en bois qui grince et prends toute la voix que je peux pour hurler en mode star, ouvrant grand les bras
▬ BONJOUR LES NAZES, C'EST CALE SUMMERS
Bon ok les gens ici ont l'air vraiment des pomés, devant leur air estomaqué, je reprends
▬ J'étais le mec qui faisait le père noel, vous vous souvenez ???
Putain, personne ne s'en souvient, bande d'ingrats, ce costume m'a gratté pendant...... DES HEURES. Bon, ce n'est pas grave, rester avec les paysans, ça, ça rend paysan, hein. Je vais sautiller près de Gautier qui est en train de... de se fâcher, non de donner des ordres, j'aime quand il est sérieux comme ça je le trouve si viril et sexy, grand sourire d'abruti jusqu'aux oreilles, pendant que les < gosses > commencent déjà à tater du ballon.
▬ Je suis venu voir les nouveaux ptit membres et leur gueuler dessus, hihiii. mon regard se pose un instant sur Lysander et sur Gus J'vaux plus rien au basket j'hurle plus fort gueulant des noms WES GUS ! LYS ! ASH ! TOUA PUIS TOUA ET TOUA !
Oui, je suis un simple renfort inutile, quoi ? keskia ?
HRP ; désolée j'ai fait un bond dans le temps avec Cale, j'espère que ça dérange pas (AAAAAA) #GROSSEBITCHQUIISENFOUT #YOLO #IMCALESUMMERS
Come Back D'un Survivant
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Sujet: Re: Harder, better, faster, stronger [RP CONTINU BASKET-BALL] Jeu 9 Jan 2014 - 18:41
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Avril, t'es pâle, mais là, t'atteins des sommets. Des... HAUTS sommets. Plus haut qu'la Tour Eiffel (t'es française, tu as des références françaises). Tu dis plus rien, toi, toi qui envoies chier plus facilement qu'on ne respires, qui n'attend que ça pour proférer le plus d'insultes possible ou être sympa -ça t'arrive plus souvent qu'on ne le croit-, faire des vannes tellement pas drôle que ça en deviendrait presque tragique. Toi, tu dis plus rien, tu sais plus quoi dire, d'ailleurs.
Oh merde.
Avril, t'es pas une salope; mais voilà, tout le monde a des regrets, et là, t'en as un gros énorme plus gros que l'Arc de Triomphe (références.) devant le nez. Tu fais quoi ? Tu fermes ta grande gueule. Good idea. Corentin. HA HA HA. Tu t'sens cruche ma pauvre, hein ? Tu t'entendais bien avec. Il t'avait prévenu, pour sa cicatrice. Mais t'y pouvais rien, t'avais était impressionnée quand même. Te cherche pas d'excuse, tu savais pas comment t'y prendre, point. Pour la première fois de ta vie, tu ne savais pas comment faire D'habitude, tu captais tout juste les autres. Lui, c'était dur de le rater, certes, mais t'étais d'avantage du style de tout prendre avec un sourire -quand tu apprécies, il est sympa, le sourire, sinon, il en devient détestable. Sauf que là, t'avais eu peur. De le casser. T'es conne. Bien sûr, ce type est teeeellement fragile. Et t'avais pas su comment le recontacter. Et Prismver t'avais ouvert ses, ô combien grandioses portes. Mais c'est pas une raison. Avril, ferme la.
“WOAH DES NOUVEAUX ! Génial ! BIENVENUE ! On est pas beaucoup dans le club mais on a déjà fait un petit match la dernière fois, on est assez pour faire une équipe en plus ! Avec ça, on va pouvoir faire tourner tout le monde, en plus, Nem' vient de temps en temps pour surveiller, bon, pas toujours, mais il est là, il pourra nous coacher, on va bien s'amuser ! Les autres ne devraient pas tarder en plus et... ouais voilà.
Sauvé par le gong, c'est ce qu'on dit. Ouais. Mais voilà, on réinvente l'expression juste pour toi. "Sauvée par Gautier". Like a boss. Tu rougis un peu; la gêne. C'est pas tous les jours que tu sais pas où te foutre. Tu lances un regard à ton saint sauveteur -j'ai vraiment écrit ça ?- et fais mine que tu es totalement normale. Bien sûr. Tellement crédible. Tes talents d'acteurs sont aussi bons que les minimoys sont géants. Autant dire que c'est écrit en long, en large, en rouge lumineux et en travers que tu mens. T'es pas croyable... Et là, tu ries comme une conne. Cassé l'ambiance ? Dans son cas, ça l'a détendue, m'enfin... Elle secoue sa tignasse et décide de faire comme si de rien n'était -lâche Avril, tu préfères fuir qu'assumer. Tu sais que ça va finir par te retomber sur la gueule, ça ? Tu choppes un ballon de plus petite taille et pousse un soupir découragé. Tu. N'as. Jamais. Fais. De basket. De toute. Ta vie. Tu souris. Tu vas tout péter, Gautier va te tuer, ou même un panier qui sait, un autre jouer peut être, ou tu vas en tuer un sans faire exprès, les pousser au suicide, trololol Avril tu t'prends un peu trop pour Chuck Norris des fois.
Un autre type arrive. Tifs bleus. Tu arques un sourcil. Il a l'air, comment dire...? Chiant. Ouais, tu catégorises facilement, Avril. Mais t'es chiante aussi, je te rassures. Et puis il vous bombarde de questions, et t'ouvres de grands yeux. T'en cases une quand, en fait ? Son débit de parole est tellement magique... Tu réponds pas ? GOOOOD THING. Tu lances un regard à Corentin qui répond. Bouriiiiqueeeet. C'est pas spécialement marrant, si ? Tu souris. Tu kiffes bourriquet. Personne ne doit jamais savoir. On s'en fout. Tu kiffes pas ce bourriquet là pour l'instant. Co', comme il la si bien dit, répond à l'avalanche d'interrogation, et tu retombes dansun état "PUTAIN JE FAIS QUOI JE ME METS OU JE COURS LOIN", parce que t'es la seule qui n'y connais stri-cte-ment-rien au basket, visiblement. Et t'es dans le même club que. Lui. VDM ?
“Moi c'est Avril, et je n'ai jamais fais de basket.
Sourire. Soyons direct. Jamais fais, jamais regardé. Toi tu tapes, c'est tout ce que tu sais faire. Mais tu vas apprendre. Ouiiii. Bref, après, ça semble se calmer. Et pis il se passe plein de trucs. Corentin se barre, et tu te sent tout de suite MIEUX. Égoïste, vas. Un autre type arrive. Pas nécessairement dans cet ordre d'ailleurs. Tu suis plus trop, t'es ailleurs. Et puis une nana se ramène. La seule que tu ait vu jusque là d'ailleurs. Elle semble connaître tout le monde, voire être familière. Tu réagis pas. Tu réfléchis. Ca t'arrives. Tu sais dribbler, c'est tout. Putain ce que tu vas être utile. Miss se rapproche de toi avec un grand sourire -cette nana c'est Miss BN en fait- et t'attires vers les autres. Tu sais pas trop comment réagir, mais tu te laisses faire et lui souris. T'es pas qu'une camionneuse, hein.
“─ Moi c'est Ashley, et toi ? ─ Avril.
Tu lui rends à nouveau son sourire. Elle a l'air sympa. Voilà sa première impression; positive. Elle te demande ensuite si t'es inscrite et tu rougis un peu, acquiessant, mais précisant que c'est la première fois que, de 1, tu fais de basket, de 2, tu fais un sport en équipe. Fasse que ça parte pas en couilles, t'espères de toutes tes forces. C'est inédit, ce comportement, chez toi. Une autre nana arrive. T'as pas l'habitude. J'veux dire, de parler avec deux nanas en même temps. Tu traînes plus avec des mecs, d'habitude... Serais-tu en train de changer ?? (non Avril, tu es dans un club, tu parles avec des gens, c'est tout, no streeess). L'autre nana se pointe, se présente. ARC-EN-CIEL. Tu l'a retenu de peu, ce cri d'exclamation. (beau, cette phrase. phrase est un nom commun féminin.). Tu te représentes -ça devient lassant- et lui dit que c'est bon. Tu commences à te faire chier. Trop calme pour t-
“ BONJOUR LES NAZES, C'EST CALE SUMMERS
Tu sursautes presque sur le moment et tourne vivement la tête. Y a un grand dadet tout joyeux là, et tu le regardes avec des yeux de mouche. Et il parle de père noel. Je précises : Avril = newbie at Pripri. ELLE COMPREND RIEEEN (8D). Elle éclate de rire. Ce type est un clown. Un clown drôle, je tiens à le préciser -non parce que ça fait peur les clowns, sérieux...
HRP | Désolée, j'ai plus l'habitude des rps en groupe, faut que je m'y refasse... QQ" Pardon pour ma daube QwQ
InvitéInvité
Sujet: Re: Harder, better, faster, stronger [RP CONTINU BASKET-BALL] Sam 18 Jan 2014 - 1:00
Basketball
Code : #A6968A
« BONJOUR LES NAZES, C'EST CALE SUMMERS »
Ma vie est un enfer. Je ne pose même pas mes yeux sur lui, sentant instantanément que la partie va être bien moins drôle, maintenant que Mister Blaireau est parmi nous. Moins drôle, mais peut-être plus intéressante, étant donné que Cale - et ça me fait chier de l’admettre - est un excellent joueur. Ceci dit, ça fait longtemps qu’il vient plus, pour mon plus grand bonheur. J'ignore finalement tout le monde pour aller faire quelques shoots. Ce mec m’insupporte, mais j’ai une capacité de sérénité et une aptitude à l’ignorance assez développée pour qu’il ne me pourrisse pas la vie par sa simple présence, aussi envahissante soit-elle. Shoots à semi distance, double pas, j’suis le seul à taper le ballon alors qu’à la base on est tous là pour ça. C’est devenu quoi ce club, un salon de thé ? Regard pour Gautier, légérement exaspéré. C’quand tu veux mec.
« WES GUS ! bla bla blaaaa » « Salut Barbie. »
Pour ne pas dire tapette, blaireau, pd, abruti, grand con, et autres douceurs. Je récupère mon rebond, et me dirige vers Gautier, à qui je fourre le ballon entre les mains, avant de m’appuyer sur son épaule, histoire de dire Let’s go putain de merde, arrêtez d’faire vos gonzesses. En parlant de gonzesse, je jette un coup d’oeil à Ashley qui parle aux filles, et m’approche d’elle par derrière pour passer mes bras autour d’elle, au niveau des épaules.
« Alleeeeez, venez joueeeer. »
Oui, je suis en manque de basket, me faut ma dose. Je pose mon menton sur son épaule, l'air boudeur.