Hey ! i'm a new student come and play with the little princess ... !

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Après plusieurs heures assisses dans la voiture à contempler le magnifique paysage qui défile devant mes yeux émerveillés tels un enfant regardant la grandeur et la splendeur d'une forme d'art qu'il ne comprend pas je commence à apercevoir les immenses grilles noires du pensionnat. Puis en regardant plus attentivement j'aperçois aussi les grands bâtiments. La voiture s'arrête devant les grilles, je sors de la voiture sans dire au revoir au conducteur et prends mes valises qui sont dans le coffre. Lorsque je les pose par terre je me rends compte qu'elles sont très lourde. Je regarde le ciel, la forme des nuages, je me perds dans mes pensées et reste ainsi pendant plusieurs minutes en contemplant le ciel et en profitant de la brise légère du vent, je sourie. Les autres étudiants doivent se demander pourquoi je suis figée. Puis je réalise que mes valises sont toujours là par terre donc je les regarde quelques instants. Mon regard reste fixe, je me concentre intensément. Je me visualise entrain de porter les valises grâce à mon énergie spirituelle puis petit à petit une énergie bleuté sors de mon corps et sinueusement se place autour des valises. J'ouvre le portail tout en vérifiant que mes valises se déplace à la même vitesse que moi grâce à mon énergie. J'avance lentement dans l'allée magnifique. Tous en avançant je me rends compte que le bâtiment devant moi est magnifique d'ailleurs je suis surprise par la grandeur du pensionnat, car lorsque le véhicule voguait au grès du vent et des paysages je pensais qu'il était plus petit. Je me focalise sur le bâtiment et mes valises tout en laissant le vent me guider je ne fais pas attention à ce qu'il y a autour de moi. Puis j'arrive devant la porte, je l'ouvre. La vue du hall me coupe le souffle et me déconcentre je laisse tomber mes valises sur le sol avec fracas. Je regarde et observe chaque partie du hall je suis émerveiller par la splendeur du lieu. Je regarde chaque détails chaque mur je suis heureuse qu'un nouveau dépars s'offre à moi. Puis je me rends compte du bruit lorsque j'ai fais tomber mes valises plus tôt je suis gênée et commence à entortiller mes cheveux je rougie mais je suis tellement contente que je ferme les yeux lève la tête, écarte les bras et commence à tournailler sur moi-même. Je ne fais pas attention à ce que se passe autour de moi je suis dans un autre monde.

Invité**Invité**

Hihihi Pv Alice, etjesaisplus

Réveil. Journée typiquement banal. Je soupire. Je m'habille, je me dépêche. Quel jour sommes nous ? Je le verrais bien en classe. Quel temps fait-il ? Sûrement assez froid, pour faire renoncer quiconque de sortir dehors. Je sors enfin de mon cabanon, habillait, lavé, et tout ces petits soins quelques peu inutiles à décrier ou complètement à dire.

Il pleut. Je frissonne. J'aime la pluie, mais pas l'humidité. Ah, quelle ironie. Après m'être attardée à regarder le ciel, je me remets en route, vers le bâtiment des salles de cours. Cours de math ? Histoire peut être ? Je sais plus, de toute façon mes cahiers de maths et histoire sont avec moi, c'est pas si, on avait tout les jours ces deux matières... Je me rends d'un pas habituellement sautillant et rapide en cours. Sans grande surprise, je m'étais trompée sur toute la ligne et étais tombée sur de la physique. Je ne pipa aucun mot du cours, me contentent d'écouté d'une oreille distraite, et prendre des notes de temps en temps. La physique... Ah, la physique. Logique comme matière ? Non. Rien n'est logique ici, donc toutes ces réactions et patati patata, je m'en fiche un peu à vrai dire. C'est vrai à Prismver tout le monde est " spécial " alors, maintenant comment crois à quelque chose de rationnel ?

Et perdue dans mes réflexions, le cours passa vite, plus vite que je ne l'aurais crue. Et j'enchaînais avec des Maths, ben voilà que je ne m'étais pas trompée. Pff. Les maths, c'était pareil que la physique mais en plus dur. Car oui faut bien l'avoué, rien n'est logique mais en physique c'est logique... ah j'vais finir par m'embrouiller. Myséricorde. En bref, je n'aime pas les matières du genre de la science, c'est surtout très ennuyant, même si faut bien avouer que les profs sont plutôt craquant...
Hihi, je m'en voulue toute de suite pour cette pensée. Ah, pas que je n'étais pas du genre à pensé à une éventuelle relation, ou avis sur les garçons pas du tout, mais voilà. J'ai plus rien à dire.

Sonnerie. Comment on dit sonnerie déjà ? Bouh, tant pis. Je marchais, les yeux en l'air, un grand sourire agrapher sur ma face palote. Mes cheveux blonds me tombant en quelques mèches sur les épaules. Arrivée dans le grand hall, j'observa un peu tout le monde. Et j'ai faim d'ailleurs hin...

Je remarqua très vite, une jeune fille, aux cheveux hm châtains ? Arrivé par la porte, elle n'était pas le moins du monde mouillé, conclusion : elle avait échappé à la pluie. Pluie, qui avait laissé place à un rayon de soleil.
Une nouvelle sûrement, je l'avais remarqué à cause de son air légèrement perdue, et son sourire gênée nan ?

Je l'approcha, et préparant un grand sourire, presque naturel, tu lui adressa quelques mots à son intention.

« Hey ! Ca va bien ? Tu es nouvelle ? Besoin d'aide.. ? »

Moi et cette habitude des questions hin...

code © LIEL

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Oh une nouvelle ! Tu veux être mon amie ?!

Feat : Les Gens

Il avait beau pleuvoir dehors, tu regardais l'extérieur avec mélancolie. Pourquoi fallait il que tu sois enfermé dans cette salle de classe à apprendre quelque chose qui ne te passionnais pas tant que ça alors que tu pouvais jouer dehors ? En même temps, ton âge faisait que tu n'avais pas vraiment la motivation pour autre chose que pour t'amuser.
Soudain, une voix t'appela un peu brusquement : le professeur avait remarqué que tu n'étais pas vraiment dans la classe, que tu rêvassais à autre chose. Un avertissement tomba, sans forcément être méchant, mais assez pour que tu comprenne qu'il fallait éviter de recommencer. Tu eus un hochement de tête avant de te plonger dans ton cahier mais... :

Max : « Mince... J'ai oublié de noter... »

Et oui, faute d’inattention qui pouvait te valoir pas mal de problème surtout si le professeur disait à la classe qu'il y allait avoir un contrôle surprise. Heureusement, ce ne fut pas le cas et tu eus bien de la chance que l'enseignant ne dise rien au sujet de ton comportement pas tellement recommandable, surtout en classe.
Enfin, on peut dire que tu retins la leçon dans le sens où maintenant, tu allais apprendre à être plus discret. La sonnerie retentit alors, signalant la libération de la salle de classe, au plus grand bonheur de la plupart des élèves qui était certainement comme toi : c'est à dire qu'ils préféraient être dehors plutôt qu'enfermés.
N'oubliant pas de prendre tes affaires ainsi que Maxi, ta peluche, tu te dirigeas en trottinant jusqu'au rez de chaussé ou tu atterris, plus précisément, dans le grand hall. Là, se trouvait une petite fille blonde et une autre brune, semblant plus grande que la première mais qui semblait également arriver, au vu de ses bagages.
Intrigué, tu t'approchas légèrement des deux jeunes filles, même si tu essayais de ne pas trop te faire remarquer même si tu remarques toi même que la jeune fille brune tournoie sur elle même. Sans faire exprès, tu te mis à rire tout d'un coup mais tu t'arrêtes soudainement gêné : t'avait elle entendue ? Tu avais peur qu'elle croie que tu t'étais moqué d'elle.
Décidément, aujourd'hui tu accumules les bêtises mon petit Max...

CODE DE PHOENIX O'CONNELL POUR NEVER UTOPIA

HRP:

Invité**Invité**

... Vous êtes bruyants.

Alice & Jaïna & Max & Aèdan

Angel : Dites, vous savez que... Vous êtes bruyants ?
Et je me réveillais dans mon cabanon. Et comme tout les matins, j'avais le superbe pyjamas rose que Charlotte m'avait trouvé. Et je n'avais pas honte, même lorsque mes camarades de chambre me regardaient avec un air désespéré et un sourire en quoi, montrant qu'ils se retenaient de rire. Je leur ai lancé un regard mauvais, puis je me suis calmé et j'ai poussé un petit rire nerveux. Je suis allé m'approprier la salle de bain quelques temps. Après tout, c'est chez moi ici.

J'ai enfilé à contre coeur l'uniforme du pensionnat. Autour de mon cou, j'ai noué un gros foulard. Je peux juste pas supporter d'avoir la nuque à l'air. J'ai mis mon béret blanc sur ma tête, et je suis sortis. Je ne commençais que dans deux heures, mais je refusais que les autres êtres vivants dans mon cabanon me voient dormir. Et... Je ne pouvais dormir en sachant que Charlotte était déjà en cours et qu'il pouvait lui arriver n'importe quoi.

Dehors, la pluie tombait à grosse goutte. Je n'avais pas de pluie, et l'uniforme, contrairement à ma veste verte, n'était ni chaud ni imperméable - selon moi, tout est relatif. J'ai enlevé mon béret, je ne voulais pas le mouiller. Et contre toute attente, je ne me suis pas dépêché d'aller sous le hall. Quand on court, on se fait autant tremper que quand on ne court pas. Donc pourquoi me fatiguer ?

Arrivé dans le hall, j'ai remis ma cravate, bleue comme le ciel - enfin, pas celui de maintenant, vu qu'il pleut ; tout est relatif. Et oui, je suis malheureusement en classe B. J'aurais préféré être en C, le vert c'est une couleur plus jolie. Vert comme les prairies suisses... Je me suis assis par terre et je me suis mis à pleurer. Mon pays me manquait, ma Suisse natale dont j'avais acquit la nationalité après treize ans. Ici, on ne servait pas d'aussi bons fromages et les chocolats n'étaient pas aussi bons. J'ai essuyé mes larmes, bien qu'ayant prit la pluie, personne n'aurait remarqué que j'avais pleuré. Charlotte finissait son premier cours dans exactement quarante trois minutes et dix-neufs secondes. Dix-huit. Dix-sept.
Angel : Temps de merde.

Je me suis caché des surveillants pendant deux heures. Puis vint la pause et je pus errer dans le hall en toute légalité. Tout les vendredis, c'était pareil. Je trainais dans les couloirs. A force, je connaissais la ronde des surveillants par coeur. C'était facile de les éviter. Durant le temps ou j'attendais, la pluie avait cessé. Mes vêtements étaient moins mouillés aussi. Je n'avais plus qu'à attendre Charlotte.

C'est alors que cette fille est arrivée. Elle avait des grosses valises en suspension dans les airs, et moi, assis tranquille dans mon coin, je la regardais. Une nouvelle, aux cheveux bruns. Ok. Mais encore. Trop de nouveaux tuent les nouveaux, j'en avais marre. Ils arrivaient tous le vendredi, parce qu'ils avaient le week-end pour s'adapter. J'étais arrivé un vendredi. Charlotte aussi. Donc, cette fille aux cheveux bruns regardait intensément le hall. Qu'est ce qu'il avait donc de spécial ? C'est là que ses valises tombèrent d'un coup sec sur le sol, brisant mes pensés, ma tranquillité. DU BRUIT. Je n'aime pas le bruit.

Sans doutes le choc des objets sur le sols avaient attiré des gens, parce que soudainement, elle devint un aimant à blonds bruyants. Une fille, plus petite qu'elle, tout sourire, puis un petit blond déguisé en marin. Ils étaient très bruyants. Ils me dérangeaient. C'est pour ça que je suis allé les voir.
Et vous savez quoi ? Je suis blond. Et je peux être bruyant.
Angel : Bonjour. Dites, vous savez que... Vous êtes bruyants ?

Invité**Invité**

Je bouclais mes valises, ou plutôt ma valise. J'avais enfin réussis à refaire rentrer tout ce merdier dedans. C'était bizarre cette faculté qu'avaient les valises de se rétrécir chaque fois qu'on les ouvrait... Alors que la première fois on arrivait toujours à faire tout rentrer, dès qu'on les ouvrait et qu'on essayait de les refermer, bizarrement y'avait toujours un truc qui sortait ou qui menaçait de faire péter la fermeture éclair.

Enfin bref, assez de questions philosophiques. Je regardais l'heure 7h03, ça me déprimait presque d'être réveillé si tôt, il faisait encore nuit dehors. Bon, j'avais encore le temps, le ferry ne partait qu'une demi-heure plus tard et il me fallait à peine 15 minutes pour rejoindre le port. Mais j'avais pas vraiment quoi que ce soit de mieux à faire, alors je décidais de partir. J'enfilais mon long manteau de cuir noir, accrocha la house de ma guitare acoustique sur mon épaule gauche, jeta un sac rempli de fringues et d'autre truc sur mon autre épaule, pris ma valise à roulettes de la main gauche et enfin l'étui de ma seconde guitare, l'électrique, dans la main droite puis quitta la chambre d’hôtel.

Trainant tout ce merdier avec moi, je marchais lentement vers le front de mer, m'arrêtant à mi-chemin pour fumer une cigarette. Le froid était bien présent, mais il m'affectait pas vraiment j'suis Norvégien après tout. Ca faisait déjà quelques jours que j'avais quitté Oslo et avait pris le ferry vers cette ville Hollandaise au nom imprononçable qui était indiquée dans cette lettre bizarre de ce pensionnat tout aussi bizarre. Et maintenant je m’apprêtais à prendre le ferry qui m’emmènerait sur l'île où était située cette école de monstres.

Je repris mon chemin et monta dans le ferry une fois arrivé au port. La traversée dura deux bonnes heures, en descendant du bateau c'est un taxi que je pris jusqu'à ce fameux pensionnat.

C'est chargé comme une mule que je m'avançais le long de l'allée qui menait à ce qui semblait être l'entrée. Apparemment j'avais échappé de peu à la pluie vu le bruit que faisait mes chaussures pendant que je marchais. Heureusement d'ailleurs, je détestais exposer ma guitare acoustique à la pluie, la housse était plus trop imperméable, et l'eau c'est mauvais pour le bois. Ouai je prends soin de mes grattes. C'est ptet d'ailleurs les seuls trucs dont je prends autant soin.

Bref, je réussis, avec difficulté vu que j'avais plus une main de libre, à ouvrir la porte du hall et y entra. Y'avait quelques élèves qui y traînaient. Un soupir s'échappa déjà de ma bouche. Un petit groupe était agglutiné au milieu de la pièce, deux petite blondes et une brunette qui avait deux valises à côté d'elle. Elle aussi surement arrivait dans cet endroit de fou.

C'est au moment où j'étais entré dans la pièce qu'un blond (Encore un? C'est dans ces moments là que j'étais bien content de ma teinture pour cheveux et de mes lentilles qui me sortais de ce carcan de blond aux yeux bleus.) s'avança vers le groupe et leur dit :

"Bonjour. Dites, vous savez que... Vous êtes bruyants ?"

"Bruyants et en plein milieu du passage aussi..."

J'arrivais presque comme un cheveu sur la soupe avec cette remarque qui venait compléter celle du blondinet. C'était pas vraiment la meilleure entrée en matière niveau politesse et amabilité. Mais bon de toute façon, avec ma tronche j'étais rarement classé dans la catégorie Mec Sympa alors bon...

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