I hate everything about you [Ft : Rafi ♥]

JUST GO AWAY

Seule. Eve voulait être seule. Plus rien ne l'importait désormais, plus rien. Quelle idiote, comment avait-elle pu lui faire confiance ? La jeune femme était si heureuse de le retrouver, et voilà qu'il venait de tout gâcher. Si seulement, si seulement la demoiselle avait écouté ses frères. Cet homme était décidément la dernière des merdes. En à peine un an, celui-ci l'avait déjà remplacée, oubliée, jetée comme une merde. Tout ça pour un pétasse, qui avait plus de seins qu'elle. Haha, que les hommes étaient stupides. La jouvencelle avait tant attendu pour le revoir, pour lui sauter dans les bras, l'embrasser comme elle avait l'habitude. Mais, pourtant, elle n'avait pas pu. Elle n'avait simplement pas pu. La damoiselle souhaitait tant se venger, être aussi désagréable qu'habituellement. Mais, celle-ci n'en avait plus la force. La jeune femme se tenait là, immobile. Prête à faire un pas en avant, à quitter ce monde si cruel. Ce monde qui venait de lui prendre ce qu'elle avait de plus cher. Eve voulait juste oublier, omettre tous ses bons souvenirs, sa descente aux enfers à ses côtés. Comment avait-elle pu tomber amoureuse de lui ? D'un tel égoïste.

Brusquement, la brune farfouilla dans son sac, avant d'en sortir son paquet de cigarette, et une petite bouteille de vodka. La jouvencelle s'assit ensuite en bord de la falaise, balançant ses jambes dans le vide. Cette dernière vida rapidement la bouteille d'alcool, avant de la jeter dans le vide. Tout en allumant l'une de ses cigarettes, l'étudiante se laissa bercer par le bruit des vagues. Ses cheveux flottaient au gré du vent, tandis que ses yeux se perdaient dans la noirceur du ciel. Soudainement ses yeux se posèrent sur une silhouette qui lui était familière :

- Qu’est que tu fous ici, Rafael ? Dégage !

La jouvencelle se redressa rapidement, avant de se mettre devant l'italien, en le fixant droit dans les yeux :

- Pezzi di merda!

La brune frappa plusieurs fois le torse de son amant à coup de points, avant de s'arrêter, subitement. La demoiselle avait serré les mains si fort, que ses ongles entaillèrent ses paumes. Quelques gouttelettes de sang s'échouèrent sur le sol, sans un bruit :

- Tu n'es qu'un idiot... Je te déteste...

Tout en baissant la tête, Eve vint serrer le t-shirt de son partenaire :

- Pourquoi... ? Pourquoi tu me fais ça... ?

Relevant la tête pour plonger ses rubis dans les yeux du blond, quelques larmes vinrent perler sur ses joues, lentement.

H.S : SI TU VEUX RAJOUTER QUELQUE CHOSE

RANDOM LYRICS

Souvent le soir, tu aimais te promener au bord de la plage pour fumer une dernière clope avant d'aller te coucher. Tu as promis à Séona d'arrêter de fumer, mais franchement c'était trop dur, tu préférais alors le faire en cachette. Tu regardas la mer d'un air nostalgique, il ne manque plus que ta villa et tu serais comme en vacances. Cela fait un moment que tu n'as pas passé des vacances au bord de la mer avec ta famille, mais en même temps tu en avais assez de supporter le mauvais caractère de ton père. Mais il est vrai que Rome te manquais, surtout ta petite voisine et ses minis-jupes... Éve, qu'est ce qu'elle état sexy et douée au lit au passage, ça ne l'a pas empêcher de t'abandonner comme une merde. Elle ne pouvais pas trouver trouver mieux que toi pourtant, si ? Non, c'était imposable, tu étais le petit ami parfait. Tu continuais de te promener lorsque tu buta contre quelque chose. Tes yeux se posèrent sur une jeune fille brune... Oh putain tu avais trop pensé à elle, elle était la... En face de toi ta petite Ève, qui au lieu de te dire bonjour t'insulta comme une sainte merde. Bonjour à toi aussi Ève. Les retrouvailles continuèrent par un martèlement de torse et encore et toujours des insultes. Toujours autant de poigne la petite puce, elle te tapais comme ça lors de vos ébats...

- "Doucement ma belle, tu vas te faire mal, et si tu t'abime tu seras plus bandante..."

Toujours autant de délicatesse, mais c'était la seule fille qui ne disait trop rien quand tu parlais comme ça, une vrai sex friend cette nana ! Dommage que vous étiez tous les deux en couple...

- "Après ton mec voudra plus coucher... Mais comme ça tu te jèteras à mes pieds."

Vive les patates !!!!!

JUST GO AWAY

Il parlait comme si rien ne s'était passé. Comme s'il était innocent, qu'il n'avait retrouvé personne. Pourtant, Ève l'avait très bien vu avec cette étudiante, et elle n'avait pas l'air d'une simple sex friend, oh non. Pourtant, la jeune femme n'avait rien contre ça. Tout comme Rafael, elle aimait être libre, et ne voulait pas non plus d'un tube de colle comme petit ami. Mais il y'avait des limites. Même si la brune était partie dans ce stupide pensionnat, les deux adolescents n'avaient jamais rompu. La jeune femme tremblait de rage, rien qu'à l'idée de l'entendre débiter de telles absurdités. Auparavant, cela ne l'avait dérangé. Mais, désormais, elle n'était plus la même. La jouvencelle détestait même celle qu'elle était avant. Dans un excès de colère, notre amie gifla violemment le blond, avant de lui jeter un regard si noir, que le pauvre garçon devait être terrifié :

- Malheureusement pour toi, Rafael. Je ne suis plus celle que tu as connue. Je te déteste. Comment as-tu osé sortir avec une autre fille ?

Lentement, Ève recula, afin de se rapprocher un maximum de la falaise. Si cet imbécile l'approchait, elle n'hésiterait pas à sauter.

- Tu sais, tu étais ma seule raison de vivre. La seule personne qui me comprenait. J'ai repoussé ma propre famille pour toi. Mais, je n'aurais jamais du. Ils avaient raison, tu es la dernière des merdes.

Jamais la demoiselle n'aurait pu imaginé ça de Rafael, jamais. Il était spécial, oui. Mais dans le fond, il était gentil, et attentionné. Quand il le voulait bien sûr. La donzelle ne laisserait point quelqu'un lui prendre son premier amour, jamais.

- Tu vas me le payer, Rafael. Ton couple, je vais le briser, l’anéantir. Et, tu me supplieras de revenir. Et, qui sait, peut-être que je ne serais plus là.

Les larmes commençaient à lui monter aux yeux. Elle qui, pourtant, s'était promis de toujours rester forte. De plus, la damoiselle ne voulait montrer aucun signe de faiblesse devant l'italien. Il ne devait pas voir qu'elle avait toujours autant de sentiments à son égard.

- Mon mec ? Mais Rafael, je n'aurais plus jamais personne. C'est toi que je veux. Toi, ou rien. Pourquoi m'as tu remplacé ? Je pouvais encore tolérer que tu te tapes d'autres nanas. Ce n'est pas ma faute si mon stronzo de père m'a envoyé dans ce stupide pensionnat. Crois-tu que je le voulais ?! Me jeter à tes pieds, après tout ça ?.. Hahaha, que tu es drôle...

Soudainement, Ève sentit ses jambes se vider de leur force, elle cacha rapidement son visage, tentant de masquer le bruit de ses sanglots :

- Quitte la... Revient avec moi...

En instant, la jouvencelle avait perdu tout ses moyens, elle ne savait ni quoi faire, ni quoi dire. Cette dernière releva alors la tête, et fixa Rafael, longuement :

- Putain... Je t'aime Rafael ... Me laisse pas...

Maintenant, tout dépendait de l'italien, tout.

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Bon, ça commençait à bien faire les insultes et les coups, effectivement la douce petite Ève avait bien changé, et elle ne te trouvait plus aussi attirant qu'avant. Sa famille avait du salir ton image et plus pour qu'elle réagisse comme ça. Tu attrapas la jeune fille par les épaules et tu la serras contre toi en la berçant. Comment lui expliquer que tu croyais qu'elle était en couple. Pour toi, c'est elle qui t'avait quitté comme la dernière des merdes. Ta main se perdit dans sa longue chevelure, elle sentait toujours aussi bon. Ève a toujours été ton petit bonbon. Tu l'empêchas de se dégager.

- "Tu sais ma belle... J'ai cru que tu étais partit avec quelqu'un d'autre pendant ma cure. T'es belle, tout le monde te courrais après. Ensuite je suis partit sur cette ile ou il pleut tout le temps. Je me faisais plus d'illusion..."

En la voyant comme ça, tu te doutais maintenant que ses frères se sont bien foutu de ta gueule. Mais comme tu n'étais pas encore tout à fait dans ton assiette à cette époque, tu les avais cru comme un con. De plus, tu n'avais pas réussi à la contacter à ta sortie, tu étais persuadé qu'elle te détestait, à cause de toi elle était devenue une épave et avait risqué la taule, mais encore une fois tu t'étais  fait avoir.Tu n'osais plus regarder la jeune femme dans les yeux de peur de te reprendre une autre paire de baffes. Si seulement elle pouvait te croire.

- "les baffes de mon père ressemblent à des caresses à côté des tiennes. Pitité, ne me frappe plus, essaye de me croire. Je ne t'ai jamais menti..."

Tu la regardas avec des yeux de cocker et un sourire un peu niais. S'il te plait Ève ne me frappe plus.

Vive les patates !!!!!

JUST GO AWAY

C'est vrai. Son père le battait, et le traitait comme un moins que rien. Lui, comme Céleste... D'ailleurs, que pouvait-elle bien devenir ? Avait-elle réussi à se sortir de cet Enfer ? Tout cela intriguait bien Ève.

- Je ne te frappais plus, à une condition. Quitte cette fille. Ou c'est moi qui la forcera à le faire.

La jeune femme était déterminée, rien, ni personne ne pouvait l’empêcher d'arriver à ses fins. Il valait mieux pour Rafael qu'il quitte cette pauvre fille. La jouvencelle pouvait se montrer violente, et blessante. Elle était surtout capable de salir l'image de son amant pour arriver à ses fins. Doucement, la demoiselle passa sa main à la joue du blond, avant de plonger ses rubis dans les yeux de l'adolescent. Il n'avait pas changé depuis l'année dernière. Lentement, la donzelle approcha ses lèvres cerise des siennes, afin de l'embrasser, comme elle en avait l'habitude. Sa main droite se perdait dans sa fine chevelure, tandis que l'autre glissait lentement dans son dos, dessinant sa colonne vertébrale.

- [color:6ac1=6C0000]Je te laisse trois jours pour te décider. Sinon, c'est moi qui agirais, et je n'irais pas de main morte.

Elle s'éloigna quelque peu du jeune homme, tout en essayant de lui sourire :

- Et Céleste, comment-va-t-elle ? Elle n'a toujours pas apprit pour sa mère ?

La rousse lui manquait aussi. Auparavant, les deux adolescentes étaient extrêmement proches, et ne se cachait rien.

- D'ailleurs, si tu es ici, c'est que tu as un don. Lequel ?

Si Rafael avait un don, il le contrôlait surement comme une patate. Dans un petit rire, la brune poursuivit :

- Je suis sûre que tu es en E...

Bon, elle aussi était en E. Mais, c'était différent. L'angoisse l'avait fait raté son examen. C'est un peu con quand même. Cependant, c'était peut être mieux ainsi. Elle n'était pas avec des coincés, au moins.

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Tu tenais toujours les petites mains de la jeune fille fermement. Elles étaient toujours aussi douces, mais c'était fini entre vous depuis longtemps, tu étais passé à autre chose, c'était ton "ex" maintenant. Tu la lâchas au bout d'un moment, il fallait qu'elle comprenne que tu avais quelqu'un maintenant, que maintenant tu étais devenu un gentil garçon, enfin un garçon un peu plus sage, déjà tu ne te droguais plus et c'est déjà pas mal ! Tu attrapas une mèche de ses cheveux et la fit glisser entre tes doigts.

- Tu sais ma belle, tu devrais plutôt te trouver un gentil petit A, tu ne vas pas rester folle d'un E comme moi, même si je sais que je suis irrésistible et que je t'ai envoyé au septième ciel plus d'une fois... Mais maintenant il est temps de passer à autre chose, pars vivre de nouvelles aventures ! Et moi je serais la pour les entendre.

Tu le sentais gros comme une maison, tu allais t'en prendre une. Tu reculas d'un pas afin qu'elle n'abime pas ton beau visage.

- Je dois avouer, j'ai aussi une folle envie de voir de quoi tu es capable pour me récupérer.

Tu sortis une clope de ta poche et jouas avec, cette fille était étrange, pourquoi après tant de temps voulait elle te récupérer, vous étiez juste des plans culs au départ, tu étais le siens et elle était le tiens. Bon, vous avez aussi passé votre enfance ensemble, ça y jouait. Mais pourquoi s'acharner ?

- Commence à me donner des arguments pour que je daigne te faire l'honneur de revenir vers toi.

Vive les patates !!!!!

JUST GO AWAY

Ève fixait son ami d'enfance silencieusement, le regard perdu dans le vide. Elle n'arrivait pas à croire qu'il l'avait trahie. C'était vraiment un pauvre type, comment pouvait-elle encore ressentir quelque chose pour lui ?! Même si ce dernier ne reviendrait jamais vers elle, l'adolescente devait faire quelque chose. L'italien devait souffrir autant qu'elle. Après tout ce qu'il avait fait, celui-ci ne méritait pas de connaître le bonheur. Si la brune ne pouvait pas connaître le bonheur, personne n'avait le droit d'être heureux, personne. Pas même Rafael ou Céleste, ses précieux amis d'enfance. Plus question de jouer les faibles ou les lâches, il était temps de changer.

- Je déteste les A. Répondit sèchement l'italienne. Ils sont cons, hautains, et pètent plus haut que leurs culs. Je les déteste. Je suis très bien chez les E. M'envoyer au septième ciel ? Tu ne penses pas que tu abuses un peu ? J'ai connu des personnes bien plus douées que toi...

Sourire provocateur. Doucement, Ève vint coller sa poitrine contre le torse de Rafael, tandis que l'une de ses mains jouait avec ses cheveux, l'autre dessinait avec tendresse les courbes de son torse. La jeune femme approcha ses lèvres de ses oreilles, avant de lui susurrer:

- Mais... Peut être que tu t'es amélioré ... Tu voudrais pas me montrer ?

Tout en lui mordillant l'oreille, l'adolescente fit jouer ses doigts sur son torse, tandis que sa main droite se perdait dans son épaisse chevelure.

- Ce n'est pas un bon argument ? Je suis sûrement bien plus douée que l'autre peau de vache.  Et, je suis prête à tout Rafi. Je n'ai plus rien à perdre. Je pourrais  faire d'elle mon souffre-douleur. Qu'est que tu en penses ? Souri-a la jeune femme. Ce n'est pas une bonne idée ? Elle a l'air assez farouche...

La brune se dégagea, avec un sourire en coin.

- Si je n'ai pas le droit de connaître le bonheur, alors ni toi, ni Céleste ne le connaîtrait. Dit moi ? Tu savais qu'elle se tapait le professeur de philosophie ? Il l'a mise en cloque... Si cela venait à se savoir, cela serait problématique, tu ne penses pas ? Angelo lui ferait payer...

Ève le fixait, avec ce même sourire hautain et provocateur. Peu importe s'il la détestait. Rafael reviendrait à ses côtés, qu'il le veuille ou non.

- D'ailleurs... Pauvre Céleste... Son mec n'est pas très fidèle. Il m'a déjà dragué.

La jeune femme se rapprocha de la falaise, le regard vide :

- Alors, Rafael ? Je t'ai convaincu ?

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Ton visage se figea face aux provocations et aux menaces de la brune. Jemais tu ne l'aurait cru capable de cela, pas envers toi en tout cas. Menacer ta soeur et ta petite amie, ça dépassait les bornes. Bon, au moins grâce à elle tu allais pouvoir casser la gueule de ton prof de philo pour une bonne raison. Mais le plus important était de protéger céleste de ton pervers de père.

- Ne dis rien à Angelo. Tu sais aussi bien que moi de quoi il est capable, il serait capable d'aller jusqu'à la tuer.

Tes lamentations étaient vaines, il allait falloir jouer avec d'autres cartes. En premier, prévenir Céleste, en deuxième contrôler Ève. Tu n'avais aucune envie de coucher avec elle. La jeune femme était devenue bien plus qu'un trou pour toi, c'était ton amie. Mais actuellement non.

- Si tu tiens tant à coucher, vas y, amuse toi maintenant. Au moins ça sera terminé.

Ses propos t'avaient dégoutés, et n'excitaient en rien mini-Rafi. Elle te faisait penser à ton père. C'était répugnant. Maintenant que tu avais (un peu) changé, tu ne réagissait plus comme avant, tu étais plus réfléchi, plus raisonnable. C'était presque un défaut.

- Tu me dégoute vraiment, si je fermais les yeux, j'aurais l'impression de coucher avec mon père.

Vive les patates !!!!!

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Un sourire hautain et provocateur ornait toujours les lèvres de la brune. Rafael devait se montrait beaucoup plus convainquant s'il voulait protéger ses proches. Ève était difficile à convaincre, l'italien allait devoir se plier à tout ses désirs, même les plus humiliants :

- Angelo ne lui fera rien... S'écria-t-elle, dans un haussement d'épaules. Si tu m'obéis, au doigt et à l’œil.

La jeune femme fouilla dans les poches de son ancien petit-ami, afin de lui voler une cigarette. Elle la porta à ses lèvres, avant de se mettre près de la falaise.

- J'ai jamais dis que j'avais envie de toi Rafael. J'ai une demande un peu particulière, à vrai dire.

La jouvencelle n'avait pas vraiment envie de se salir les mains. Surtout si quelqu'un pouvait le faire à sa place. N'ayant pas de pouvoir offensif, il était difficile pour la damoiselle de faire face à des garçons. Mais, Rafael, lui, pouvait l'aider.

- Tu vois RED ? Ce mouvement débile et insignifiant... J'aimerai que tu t'occupes de leurs membres, que tu les remettes à leur place. J'en ai très envie, mais si je me battais avec un mec, je ne gagnerais probablement pas... Mais, avec toi à mes côtés, la victoire sera assurée. Je te protégerais de leurs pouvoirs, ne t'en fais pas.

Ève soutenait le Ranker, les S, la guerre des classes... Si ses ennemis pouvaient disparaître, cela l'arrangerait...

- Toi aussi, tu me dégoûtes. Tu n'es qu'un faible. Je déteste les faibles. Tu es capable de t'humilier pour protéger ton entourage. Pathétique.

H.S : SI TU VEUX RAJOUTER QUELQUE CHOSE