Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène]
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Sujet: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Lun 6 Oct 2014 - 23:40
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
Ca a un prix, l’arrogance. Ca tache les jupes d’une jolie couleur sang, ca teinte la peau d’un vilain bleu que tu as fini par trouver saillant sur ta personne. T’as jamais été invincible Arsène. Jamais. Le désir ne grimpe pas toujours comme tu le voudrais. Pas assez vite pour stopper un poing sur ta mâchoire appliqué. Nan, tu sèmes le chaos et tu rigoles, tu déclares la guerre et on te la livre. Tu te prends des coups, et toujours on fini par réclamer cette chair où l’on vient pourtant d’imprimer ses phalanges. Elle a plus vraiment peur des coups, ca détruit, c’est comme le reste. Tu veux frapper ? Va y. Demain ça sera pire tu sais ? Demain, quand tu retrouveras le chemin de mon lit. Demain, quand tu te rendras comptes que tu auras encore et toujours besoin d’enchainer les rythmes aux milieux de mes reins. Tu ne trouves pas que l’on est bien ainsi ? Ne t’en fais pas pour ta copine, tu n’en a plus besoin. Pleure si tu en as envie, déclare le malheur. Hurle contre moi. Je suis le démon qui te ruinera.
Alors on l’avait plaqué contre le mur Arsène. Et elle avait étiré joliment ses lèvres. Arrogante. Détestable. Vraiment, c’est toujours le même refrain. Vraiment. Le sexe ou le sang. La même chose. C’est presque fatiguant. Frappe, déverse la haine. Plus vite, plus vite. La raison aura bientôt raison de ton corps, alors déverse la colère avant que ce ne soit trop tard. On va la déchirer, la poupée de coton, on va la brisé, cette jolie porcelaine. Vide et fragile. Toujours si ternes. Frappe. Qu’elle te déteste un peu plus. Frappe, donne lui des raisons pour en vouloir au monde. Frappe, frappe, frappe. Ca fait bien longtemps quelle a perdu de vu le point de départ. Ca s’enchaine dans une spirale sans fin. La rancœur qui se pose sur le palpitant, la vision trouble de deux camps. T’es certain qu’elle a commencé à tout brisé en première ? Tu te rappelle toi ? Comment ça a commencé. Déclare la coupable auprès de ta douce, mais n’espère pas la récupérer ta fucking dulcinée.
Emporte-toi, serre plus fort. Détruit le corps, étouffe les mots a leur source même. Fait la défaillir et rend service a cette école. Débarrasse toi d’elle, allez, allez. N’as-tu pas envie de couper ce souffle qui a su te briser ? Un battement de cils joliment allongé et c’est le monde qui tremble un peu. Plus rien ne passe et le sourire s’effrite alors que l’univers s’éteint. Encore un peu, encore un peu, et elle lâchera prise. Alors continue, gamin.
Sujet: Re: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Lun 6 Oct 2014 - 23:47
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
FT. ARSÈNE
Il se sent puissant Joach. Il a l'impression d'être au sommet. Il jubile. Il pourrait viser plus haut encore. Il le fera sans doute avec RED. Mais pour le moment, il parvient à se contenter de ce qu'il a. La première place au Fight Club, le titre de Champion. Leader de RED, on le craint peut-être un peu, mais pas encore assez. Pourtant, il comptait bien y remédier, quitte à salir encore un peu plus sa réputation. Mais chaque chose en son temps. Le jeune homme progressait dans les couloirs, ses phalanges encore recouvertes par des bandages suite à son dernier combat.
Et il déambule dans le pensionnat, paisiblement, oubliant la guerre des classes un court instant. Ça faisait partie de son quotidien désormais, lui qui était au centre de ce conflit. Lui qui était en grande partie responsable de cette guerre touchant le pensionnat tout entier, mêlant violence, haine, fourberie et quelques fois pacifisme et les ras-le-bol, les paroles des gens las de toute cette agitation. Maintenant que Heath s'est retiré, il devra assumer le rôle de la personne alimentant ce chaos, tantôt admiré, tantôt haï.
Il a fait son choix Joach. Il a du soutien, sans doute moins que les personnes cherchant à l'abattre, mais peu importe. Par contre, que l'on s'en prenne à ces dit soutiens, ça passe moyennement. Et ces personnes-là, ces personnes qui mine de rien lui sont chers, Arsène en faisait partie. Aussi étonnant que cela puisse paraître. Quand il voit les mains d'un autre enserrer son cou, le jeune homme n'en croit d'abord pas ses yeux. Mais il réagit vite, par instinct, voulant naturellement protéger un de ses proches. Il s'élance, bouscule l'agresseur et lui fait lâcher prise avant d'abattre son poing sur son visage.
Alors l'ancien E s'assure qu'il ne pourra pas se relever un moment avant de faire volte-face vers Arsène. Il s'agenouille auprès d'elle, l'air inquiet. « Tu vas bien...? » Question stupide. Elle a sans doute vécu mieux. On a quand même essayé de l'étouffer Joach, est-ce que tu t'en rends seulement compte?
Sujet: Re: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Mar 7 Oct 2014 - 0:18
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
C’est arrivé. Et ça a foutu en l’air le type, presque trop facilement. Sauf qu’il n’y a pas que ça qu’à volé. Mais ça, tu l’as comprit qu’après. Le coup dans tes convictions, il est arrivé bien plus tard.
A quoi tu joues Joach, qu’est ce que tu fou là. Elle a le regard flou, elle ne te voit même pas. Ca parvient petit a petit a ses oreillers alors que le souffle qu’elle tente de reprendre saccage tout les sons aux alentours. Elle va y passer, un jour. Elle le sait bien. Mort horrible et douloureuse. Pour elle il n’y a pas d’autre fin. C’était peut être même pour aujourd’hui. Mais pourquoi, pourquoi t’as empêché le souffle de s’arrêter. Joach elle a beau te sourire, elle n’est pas de ton coté. Tu vois pas ? Tu vois pas qu’elle te manipule ? Regarde bien, vous n’êtes pas du même camp. T’as déjà oublié ? Rappelle-toi, putain, cette méfiance a tes débuts. Retrouve tout ça, ou tu seras bouffé. Allez Joach, t’as pas à rester a ses cotés. Toi tu te bats pour défendre les autres, tu crois vraiment que vous vous ressemblez ? T’es un gentil, Joach, t’as beau avoir appris à jouer avec tes poing, t’as beau commencé à employer ton don. T’es encore un gentil. Tu seras toujours un gentil. Et il est la ton putain de défaut Joach.
Tu viens de lui prouver qu’elle a raison. Tu viens de lui prouver que vous avez rien à faire ensemble. Tu viens de lui prouver qu’elle mérite rien de l’attention que tu lui offres. Et tout ça fait bien plus mal que la marque sur son cou.
La regard pas comme ça Joach, putain, arrête ça. Tu lui fais mal avec ta pitié. Tu lui fais mal avec ta gentillesse. T’as pas encore comprit que c’était bien pire que tout le reste, ta putain de chaleur. Elle a pas besoin d’aide, tu l’as prise pour qui hein ? C’est Arsène, une putain de terreur dans son genre. Tu l’as pas comprit encore ?
« Pourquoi…. » Pourquoi Joach, elle te comprend pas. Pourquoi. Pourquoi la gentillesse. Pourquoi un combat qui ne te concerne pas. Faut la laisser crever tu sais, c’est comme ça que tu sauveras le monde.
« T’avais... T’avais pas à intervenir putain. Tu crois que je passe pour quoi maintenant ? »
T’as cru qu’elle te remercierait Joach ? C’est d’Arsène que l’on parle. Arsène, cette même Arsène qui pourri ce monde que tu te forces à arranger. Elle fait parti de ces poison a éradiquer. Et toi Joach ? Tu ravive la flamme. Tu n’as donc rien retenu de ce temps que vous avez passé ensemble ? T’as rien apprit hein ? Pourquoi c’est toi qui la détruit.
Sujet: Re: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Mar 7 Oct 2014 - 0:59
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
FT. ARSÈNE
Non, il ne se doute de rien Joach. Ça fait longtemps qu'il ne se méfie plus, qu'il a confiance en elle. Naïf, il a cru et croit encore qu'elle cherche sincèrement à lui venir en aide. Si seulement tu savais Joach, qu'elle se foutait purement et simplement de ta gueule. Que si tu n'avais jamais eu ce pouvoir, Arsène se serait pas intéressée à toi de près ou de loin. Peut-être que t'aurais été l'une de ses nombreuses conquêtes bonnes à jeter après une nuit qui sait. Et pourtant, il avait l'impression que celle-ci lui avait accordé le privilège d'être bien plus qu'un plan cul. Et encore, ils n'ont jamais couché ensemble, il n'y a jamais rien eu de ce genre entre eux. Plus qu'une relation prof-élève, mais pourtant rien de sexuel ou amoureux. Qu'est-ce que c'est alors? C'est juste compliqué.
Alors le jeune homme déglutit, il attend sa réponse, une réaction de sa part. Et tout ce qu'elle trouve à lui dire c'est "pourquoi." Il ne comprend pas Joach. Pourquoi quoi? Quel était l'intérêt de cette question? Patience jeune homme, elle n'a pas terminé. Elle poursuit donc et il n'en croit pas ses oreilles. Et ça l'énerve, il affiche rapidement un air courroucé, espérant qu'elle regrette ses paroles. « T'as l'air d'une femme en vie. Un peu dans les vapes, mais en vie. » Et c'est ce qui compte, non? Tu voulais mourir Arsène? Tu lui en veux parce qu'il t'a empêché de commettre une grave erreur? C'est bête, tu sais pourquoi? Parce qu'il sera là pour recommencer autant de fois qu'il le faudra. Que ça te plaise ou non, Joach fera preuve d'égoïsme pour cette fois.
« Tu croyais vraiment que j'allais passer mon chemin en voyant ce gars t'étrangler? » C'est mal le connaître. Aussi gentil qu'il puisse être, aussi attaché à elle qu'il soit. Sérieusement Arsène? Tu lui demandes de te regarder mourir c'est ça? Même pas en rêve. Parce qu'il ne se doute de rien Joach. Il ne se doute pas du jeu que tu as joué avec lui jusqu'à présent, de la manière dont tu l'as mené à la baguette durant tout ce temps. C'est que t'es douée avec la manipulation, pas vrai? Et avec ton don, ça te donne un avantage considérable. Mais t'as choisi une proie facile Arsène, tu le sais ça? Le gentil, naïf de Prismver. Le bon pote. Celui qu'on apprécie mais sans plus. Celui prêt à tout sacrifier pour ceux qui lui sont chers.
« Sérieusement Arsène, dis-moi ce qui va pas au lieu de faire un connerie pareille... » Parce qu'il ne comprend pas, il ne comprend jamais rien. L'ancien E ne sait pas ce que tu ressens, il ne sait pas ce qu'il te fait. Le mal qu'il te fait subir, tout ça c'est inconscient. Parce que son intention n'a jamais été de te faire du mal, tu le sais ça pas vrai Arsène? Tu sais qu'il tient à toi, non? C'est pas ce qu'il vient de te prouver en intervenant? « Je m'attendais pas forcément à des remerciements. Mais je m'attendais pas non plus à ce que tu me reproches de t'avoir sauvé la vie. »
Sujet: Re: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Lun 13 Oct 2014 - 2:34
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
Elle s’attache jamais, Arsène. Elle sait pas faire. C’est pas elle. C’est pas elle d’attendre après quelqu’un. C’est pas elle de demander un soutien. C’est pas elle qui laisse sa confiance. C’est pas elle qui ose réclamer de l’aide. Non, Arsène est prétentieuse, même quand elle crève. Elle préfère le faire toute seule. Et c’est ce qui arrivera, on ne s’en rendra même pas compte Arsène de ce jour ou tu t’en iras. T’auras personne pour te pleurer. T’as fait trop de mal pour l’espérer. Tu t’en fou Arsène ? T’y a seulement pensé ? Oh bien sur sors donc les beau discours, le grand principe comme quoi être seule c’est bien mieux que mal accompagné. C’est toi la mauvaise compagnie Arsène, c’est toi le supplice, c’est toi l’acharné. Le boulet a trainé à leurs pieds. Tu es cette personne qu’il faut mieux évité, la mauvaise herbe qui ne sait que ronger. Elle s’accroche a vos vie, Arsène. C’est sa façon a elle de ne jamais réelement vivre la sienne. Parce qu’elle ressemble a quoi ta vie Arsène ? Regarde bien, regarde la, ta putain de vie, ta vie de putain.
« Il m’aurait pas tué, tu dramatises…. » En vrai t’en sais rien, en vrai t’as beau te moquer de tout, t’as eut un morceau de peur niché dans le creux de ton ventre. Mais ça te servira pas de leçon, Arsène, non. Toi t’es de ceux qui pensent déjà à la contre attaque. Que l’on te blesse, que l’on te blesse fort. Tu le ferras payer au centuples.
Est-ce que tu lui fais payer, à Joach ? Pourtant c’est bien lui qui fait le plus mal jusqu’ici. T’aurais du t’en douter, pourquoi t’as voulu faire exception. Pourquoi t’y a cru. Pourquoi t’as cru en lui. Tu voulais en faire ton apprenti, tu voulais le monter contre le monde, mais t’avais sous estimé cette part de lui. Il est là Joach, et c’est ton opposé. Trop sincère, trop inquiet. Et elle a pas l’habitude, Arsène. Elle sait plus ce que ça fait que l’on s’inquiète pour elle. Elle sait plus ce que ça fait d’exister dans un cœur. Elle y croit tellement plus, elle est même pas sur d’y avoir un jour cru. Ca la tétanise, ça la rend vulnérable. Vous avez quoi à la faire si faible. Vous avez quoi à la rendre si réel. Putain, putain. Arsène se fragilise sous la tendresse déversé. Et si vous saviez combien elle voudrait vous détester.
« Bien sur que t’aurais du passer ton chemin Joach, c’est ça que tu comprends pas. J’en veux pas de ton aide, j’veux pas de toi. J’veux de personne. J’ai pas besoin qu’on me traite comme tu le fais. J’ai pas besoin de ta gentillesse. T’aurais du te casser. T’as rien comprit. T’as rien retenu. Je te l’ai déjà dit non ? La gentillesse ça mene a rien. »
Ou seulement à son cœur.
« Arrête ça, arrête tes conneries. Arrête. Arrête de pas comprendre. Arrête d’être toi. Putain. Comment j’ai put... » Comment t’as put quoi Arsène ? T’attacher a lui ? C’est un peu tard pour t’en rendre compte. T’as trop misé pour lui. T’as trop accordé a ce gars la. Depuis le début c’était mal parti. Tu vois, t’aurais du rester seul.
Tu lui sauves pas la vie Joach, tu lui bouffes. Mais tu le vois pas ça. Tu te rends même pas compte du fonctionnement de cette machine la. Arsène elle fonctionne pas comme les autres, ils l’ont cassé et jamais on pourra la réparer. Ca marchera pas avec quelque mot gentil. Alors essaye pas.
« C’est pas la peine de revenir me voir. »
Et elle se redresse, Arsène. Ca tangue. Sur ses talons. Ca tangue. Sur son cœur. Elle sait pas dire merci. Elle sait pas être gentille. Elle sait juste détester. C’est pas toi Joach qui doit lui faire la leçon.
Sujet: Re: Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie [Jorsène] Lun 13 Oct 2014 - 2:39
Rien ne sert de panser, immortelle est la plaie
FT. ARSÈNE
Alors il l'écoute Joach. Il l'écoute lui reprocher son pseudo-héroïsme, comme s'il avait fait la plus grosse erreur de toute sa vie. Son erreur, c'est d'être passé par là? De t'avoir évité une mort quasi certaine? T'es injuste Arsène, tellement injuste. Dire qu'il a fait ça pour toi. C'est comme ça que tu le traites ensuite? Il hallucine. Il en revient pas. Tu sais à quel point ça peut être blessant? Tu lui prouves que la gentillesse, ça servait qu'à se faire entuber juste après. Le pire, c'est sans doute que ce soit toi qui le démontre. « Comment t'as pu quoi? » Finis ta phrase Arsène, finis la. Ou sinon, tu vas finir par le rendre fou.
Il te fait du mal, tu lui en fais aussi, c'est infernal. Qu'est-ce que vous foutez ensemble de toute manière? Au fond de lui, Joach savait qu'il ne serait qu'un simple pion pour elle. Tout ça grâce à son pouvoir relativement intéressant, sans ça, il serait sans doute passé par la case chambre à couché. Comme tous les autres. Et puis, il a commencé à croire qu'au final, il n'était pas comme les autres. Tu fais quoi là, Arsène? T'es entrain de lui dire qu'au final, il est comme tous les autres mecs pour toi? C'est moche tu sais. Vraiment moche.
Alors tu lui fais comprendre que c'est fini. Pour de bon. Au départ, il ne croit pas. Non, disons plutôt qu'il ne veut pas y croire. Tu ne peux pas lui faire ça, pas comme ça. C'est dégueulasse ce que tu lui fais. Il va t'en vouloir, crois-moi. Et il hausse le ton Joach, aveuglé par la colère, la déception. « C'est ça, casse-toi! Fuis comme tu l'as toujours fait! » Cruel. Mais elle l'a aussi été avec toi. C'est un prêté pour un rendu. Il sait pas à quel point tu souffres Arsène, il sait pas que c'est de sa faute. Tu veux bien lui pardonner?
« Tu vas juste me laisser tomber comme ça parce que je tiens à toi!? » C'est ça Joach. Et penser que tu aurais ton mot à dire, c'est peut-être un peu égoïste, tu crois pas? Parce qu'en ce moment, tu ne penses qu'à toi. Peut-être qu'elle prend les meilleures décisions pour elle, peut-être que c'est aussi la bonne pour toi. Parce qu'honnêtement Joach, qui aurait cru à votre rapprochement? Si tu n'avais pas ce fameux don, tu crois qu'elle t'aurait accordé autant d'importance? Tu le savais, mais tu n'as rien dit. Pourquoi? Parce qu'au fond, tu espérais te tromper. À croire que t'es moins con qu'il n'y paraît.
« Putain Arsène! T'es vraiment injuste! » Ça te tuerais de te confier un peu plus à lui?