Sujet: La force de la volonté [PV Homère] Lun 28 Aoû 2017 - 14:09
Une volonté c'est plus fort que tout, il suffit de ne pas lacherHomère & ColombeC’était maladif. Enfin presque. Pas totalement, mais ça t’avais tout de même retourné plusieurs fois la tête. Seulement il fallait trouver une solution au problème donné. Même si ça donnait des maux de tête. Puis même baisser les bras serait lui accorder une victoire sur son état et ça il en hors de question.
Tout comme tu ne peux le laisser fuir. Parce qu’il fuit. Bien entendu qu’il fuit Cole. Qu’est-ce qu’il ferait d’autre selon toi dans cette situation. Seulement tu as eu trop d’admiration pour lui pour ne pas avoir un gout amer en bouche en le voyant faire. La fuite n’est pas une solution, ça ne l’a jamais été pour toi en tout cas. Pas comme ça en tout cas, pas pour ce en qui tu as crus. Homère n’a pas le droit de fuir.
Enfin si, il a le droit, mais tu ne le lui laisseras pas. Trop têtu pour le voir s’écrouler. Trop sûr de toi sur le fait qu’il ne prend pas la bonne décision. Il t’est impossible de simplement le laisser faire Cole. Car sa fuite, c’est un peu la tienne aussi. Il est de question de le faire. Même s’il sera un adversaire dur à convaincre. Tu l’es tout autant pour lâcher prise. C’est électrisant quelque part et c’est aussi cette confrontation que tu recherches peut-être.
C’est avec cette force au fond du ventre que tu rentres dans le foyer pour trouver le jeune homme. Il est là, tu l’as assez chercher pour enfin le trouver. Le pas des plus assurer tu te mets devant lui, droite, fière, a une distance raisonnable pour ne pas qu’il te touche involontairement aussi. Fonce maintenant, ne te laisse pas distraire. Soit plus forte. Ne le laisse définitivement pas fuir.
« Homère, j’ai des solution pour toi. Plein. Il faut vraiment que tu m’écoutes. Et que tu ne fuis pas aussi. Non, parce que tu es chiant à fuir. C’est lâche. »
Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Sam 2 Sep 2017 - 10:37
Avachie comme à ton habitude, tu as pris tes aises au foyer. Tu t’es réservé deux chaises, une pour t’asseoir, l’autre pour reposer ta jambe discrètement sous la table. Ta béquille est à tes pieds, à même le sol, tu l’as balancée comme à ton habitude. À croire que tu testes sa solidité. Tu t’es plongé dans un comics. Car non, tu n’es pas un littéraire dans l’âme, tu ne lis pas des phrases savamment écrites, ni des intrigues métaphysiques. En grand enfant que tu es, tu te passionnes pour les aventures de quelqu’un que tu enviais gamin. Et tu es persuadé que tu n’étais pas le seul à cet âge-là, à te dire que ça serait génial de lui ressembler. D’avoir un don, de t’en servir. Ça faisait fantasmer tout ça. Tu sais aussi que tu n’es pas le seul, à la découverture de ton don, à avoir été déçu en te rendant compte de la dure réalité. Que finalement, ce bouffon en combinaison moulante, il avait rien qu’on pouvait lui envier.
Mais aujourd’hui c’est davantage un moyen de tuer le temps que d’en vouloir à la fiction. Une silhouette te sors pourtant de ta lecture, tu lèves la tête. C’est Colombe qui arrive, elle possède une démarche assurée, presque déterminée. Tu pourrais presque voir des traces de pneus derrière son passage, elle a l’air de s’être convaincue longuement avant de venir ici. Cet air qu’elle a, plaquée au visage, t’arraches un sourire moqueur, tu retiens un rire qui se transforme en un soupir entre tes lèvres. Tu évites de lui rire au nez. Parce qu’elle serait presque mignonne à tenter de communiquer. Tu la vois gesticuler, avec cet air sérieux qui ne lui va pas. Tu finis par retirer les boules quies logées dans le creux de ton oreille, tu ranges soigneusement celles-ci dans leur étuis, cet air taquin au visage. « Hey Cole. Tu tentes de communiquer avec moi? »
Évidemment, tu n’as rien entendu de son petit discours. Tu avais pris tes précautions pour t’isoler et avait profité du silence pour l’observer. « T’as l’air drôlement remontée. Qu'est-ce que j'ai fais, encore? » Que tu lâches, moqueur. Oui, car en réalité, c’est comme mâcher des céréales quand quelqu’un te parle. Ça t’assure de rien entendre tout en faisant semblant d’écouter.
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Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Mar 5 Sep 2017 - 20:53
Une volonté c'est plus fort que tout, il suffit de ne pas lacherHomère & ColombeDes bouchons pour oreilles. Voilà ce qu’il avait pour se couper du monde. Pour ne pas t’écouter. Pas seulement toi, tu le sais, mais une partie de toi, celle qui n’est pas forcément raisonnable quand il s’agit d’Homère vois là un moyen de ne pas t’écouter toi. Stupide partie de toi. Tout est de sa faute à lui de toute manière. Tu secoues la tête vivement une fois. Reste concentrer Cole. Ne le laisse pas te faire partir de ton but avec son air taquin. Ni avec sa voix. Avec rien de lui. Reste forte.
Voilà. Regarde le bien dans les yeux. Tiens-lui tête. Ton pied gauche tape rageusement le sol. Comme si cette simple chose allait changer les choses. Il était lui, tu es toi et de base quelque part ça ne pouvait pas commencer autrement que toi lui grognant dessus. Ça doit être sa raison d’être dans la vie. Tu en ais presque certain. Presque, car une part de toi l’a admiré tout de même. Quoi que ça ait été pour mieux grogner sur le fait qu’il ne soit plus ainsi. Définitivement son rôle dans la vie c’est t’agacer.
Ta langue claque sur ton palais pour lui signifier encore plus ton mécontentement. Comme s’il avait besoin de signal en plus. Ça se voie comme le nez au milieu de la figure. Voir encore plus. Ce n’est pas le moment pour le laisser avoir raison de ta détermination. Prends une forte inspiration et attaque à nouveau.
« Oui, je tente de communiquer avec toi Homère, mais il semblerais que j’ai oublié que tu préférais ne pas écouter le monde de base. »
Lâche. Le mot résonne dans ta tête. Pas besoin de le dire tout de suite. Tu le lui as déjà dit avant, même s’il ne t’a pas écouté. Encore une fois. Que ça soit consciemment ou pas ça semble devenir une habitude. Une très galère d’ailleurs.
« Donc pendant que tu vivais dans un monde loin de la réalité je te disait que j’avais des solution pour toi. Que tu avais intérêt à écouter et ne pas fuir. Parce que tu risques de le faire encore, comme tu le fait si bien remarquer. Encore et toujours le souci vient de toi. »
Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Jeu 7 Sep 2017 - 18:52
Tu souris. Parce que si habituellement les gens t’agacent à vouloir te conseiller à tout vie, à vouloir te dominer dans tes choix, tes décisions, tu trouves que c’est différent avec Colombe. Elle y met du sien, elle s’y met toute entière et c’en est presque flatteur. Alors tu te moques, tu taquines, tu t’en amuses profondément. Parce qu’au lieu d’avoir des conversations sérieuses, tu te retrouves à l’énerver. « Oui, je tente de communiquer avec toi Homère, mais il semblerais que j’ai oublié que tu préférais ne pas écouter le monde de base. » Tu aimerais lui répondre qu’elle commence à bien te connaître, mais tu sens bien qu’elle est énervée et tu n’as pas envie de la pousser à bout. Pas quand ça vient à peine de commencer. Tu as encore envie de jouer un peu avec elle, avec ses nerfs. Sinon, quel serait le but de tout ça?
Tu vois bien dans son regard qu’elle te traite de lâche, tu en as l’habitude. Une compilation de Colombe, te traitant de lâche, ça durerait des heures. Le mot ne t’affectes plus, il est devenu une insulte habituelle à laquelle tu ne réponds plus, seulement par un sourire ou bien un regard. Tu sors de ton sac une barre de céréales, tu tiens celle-ci par l’emballage, du bout des dents, pendant qu’elle fait sa petite présentation que tu écoutes d’une oreille distraite. « Donc pendant que tu vivais dans un monde loin de la réalité je te disait que j’avais des solution pour toi. Que tu avais intérêt à écouter et ne pas fuir. Parce que tu risques de le faire encore, comme tu le fait si bien remarquer. Encore et toujours le souci vient de toi. »
Un sourire taquin se forme sur tes lèvres, tu tentes de le ravaler, sans succès car celui-ci finit par éclater sur ton visage. L’occasion est trop belle. Tu prends une bouchée, tu hoches la tête, pour marquer ton intérêt, le fait que tu la comprennes. Mais ce n’est pas parce que tu admets quelque chose que tu es forcément d’accord ou enclin à réaliser celle-ci. « C’est beau ce que tu dis Cole. Mais je me souvenais pas qu’on était mariés. » Tu termines la barre en quelques bouchées et, tout en mâchant, les coudes posés sur la table, tes mains collées sur tes joues, tu la regardes avec cet air moqueur. Parce que ça t’amuses terriblement, et cela, malgré elle. « Dis-moi tout mes torts alors. Dis-moi en quoi je suis un mauvais mari. Je fais plus attention à toi? J’ai pas remarqué que tu t’étais coupé les cheveux? Je te dis pas assez que ta cuisine est excellente? » Homère, t’es cruel. Et tu le sais.
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Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Lun 11 Sep 2017 - 16:37
Une volonté c'est plus fort que tout, il suffit de ne pas lacherHomère & ColombePourquoi est-ce que tu te fatigue d’avance ? Tu le sais pourtant qu’il ne t’écoutera pas bêtement, il ne va pas croiser les bras, hocher la tête et dire oui à ce que tu dis. C’est peut-être pour ça que ça te passionne autant de lui faire avaler tes idées, lui faire entendre raison. Homère est un défi, une explosion au cœur à chaque fois, quelqu’un qui ne te laisse définitivement pas indifférente. Chacune de ses remarques touchent toujours en plein dans le mille, chacune de ses piques te mets toujours dans tous tes états.
Même son simple sourire, là, te donne des réactions dans le ventre. C’est physique. C’est presque magnétique en fait. Ou magique. Quoi qu’il en soit, tu es là, à te mordre les lèvres en l’écoutant dire ce qui semble être des inepties, une façon de ne pas venir au sujet principal de ta venue à lui. Il n’a encore fait, pas vraiment, toi par contre tu es en plein combat. Son ironie te fait froncer le nez et grincer des dents. Comme si c’était nouveau. A croire que le plus ridicule de vous deux c’est toi de tout prendre autant à cœur.
« C’est pas encore le cas, merci. Si un jour on se mari je t’assure que tu t’en souviendras avant de faire un voyage vers l’autre monde. »
Quitte à jouer, autant jouer de ses mots. Même si toi tu grognes. Et que ce n’est pas un jeu. Enfin c’est ce que tu te dis en tout cas. Il y a pourtant eu un papillon dans le ventre à l’idée de l’avoir en mari. Heureusement pour toi les papillons son éphémère. Pour le moment en tout cas c’est bel et bien le cas. Tapant de la pointe du pied comme si ça allait changer quelque chose, tu le faisais déjà avant et ça ne changeait rien à la situation. Ta langue claque encore contre ton palais à croire que c’est ta manière la plus efficace pour toi de ponctuer tes phrases.
« Quand es la dernière fois que tu as fait vraiment attention à moi de toute manière Homère ? Quand aurais-tu pu voir que je me suis couper ou non les cheveux alors que tu fais déjà pas attention à autour de toi ? Quand est-ce que j’aurais pu avoir envie de te faire à manger de toute manière ? Quand est-ce que tu aurais pu être un bon mari ? Je pourrais être le meilleur conjoint du monde ça ne changerais rien. »
Et un soupire te prends. Voilà que tu joues son jeu. Ce n’est pas ce que tu souhaitais. Tu passes rageusement les mains dans tes cheveux pour remettre inutilement tes idées en place. Avec lui ça ne marche jamais très longtemps de toute manière. Fonce avant de t’enfoncer encore plus.
« Je suis venus te parler de reprendre le sport, idiot. »
Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Jeu 21 Sep 2017 - 17:55
À vouloir la provoquer, voilà le résultat. Tu la regardes déblatérer, l’air de rien. Si les autres autour se retournent, que tout cela ressemble fort à une scène, tu restes étrangement calme voir impassible. Parce que ça t’amuses de toute évidence, de la piquer au vif. Ça fonctionne, tant et si bien, que te voilà en train de ricaner, jouant du bout des doigts avec l’emballage en aluminium de ta défunte barre de céréales. « Un jour? Oh. Alors tu l’envisages? » Tu poses un coude sur la table, tu ricanes. Pure provocation de ta part, tu te faufiles. Parler des vraies choses ne t’intéresses pas, tu t’y refuses d’ailleurs. Alors plutôt que d’avoir filé à la minute où Cole est arrivé, tu es resté. Parce que tu sentais que cette conversation avait un potentiel intéressant. Celui de t’amuser, te détendre.
« Je trouve un peu dure là, Cole. Regarde, je fais attention à toi, je sais ce que tu as mangé ce midi. » Tu pointes du doigt une petite tâche se trouvant sur le col de son habit, tu hoches la tête, comme convaincu. « C’est toujours un plaisir de te mener en bateau. » Tu poses tes mains à plat sur la table, tu te relèves en t’appuyant, ramassant ta béquille, jetant ton sac sur ton épaule. Tu balances la boule d’aluminium dans la poubelle la plus proche, celle-ci menaçant de tomber à côté. Tu détournes pourtant la tête avant de savoir le score, continuant. « Mais j’ai des choses à faire. Des choses qui n’ont rien à voir avec le sport ou le fait de reprendre celui-ci. Je peux rien faire, tu le sais très bien. »
Tu t’avances, tu poses ta main sur le haut de son crâne. « Alors sois gentille, ne joue pas à la maman avec moi. » Tu esquisses un sourire, mais en réalité, tu es agacé. Des solutions. Oui, tout le monde en a des tonnes des solutions miracles pour toi. Tu les entends quotidiennement, l’air de rien. Ce n’est pas pour autant que tu les écoutes en réalité. Mais si c’était aussi simple, tu le saurais. Car ça te fatigue, qu’on vienne te voir, plein d’espoir, en étant persuadé d’avoir trouvé une recette miracle pour te remettre sur pieds. Ça n’existe pas, tout d’abord. Et puis, tu te demandes à force, si dans leur élan de générosité débonnaire, ils ont prit un instant, un tant soit peu ton avis en considération. Apriori, non, et c’est bien ça le problème.
Non pas qu’ils désirent t’aider. Mais qu’ils prennent ton refus pour un défi à relever.
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Sujet: Re: La force de la volonté [PV Homère] Ven 22 Sep 2017 - 14:26
Une volonté c'est plus fort que tout, il suffit de ne pas lacherHomère & ColombeEst-ce que tu connais le problème Cole ? Entre toi et lui ? Il te provoque et toi tu cours droit dedans. A chaque fois. Comme une enfant. Tu prends tous ses mots à cœur. Beaucoup trop. Comme si contre chacun tu devais te battre de tout ton être. De tout ce que tu es. Comme si tout entre vous était un nouveau combat. Tu ne veux pas perdre contre lui. Tu ne veux pas être du néant pour lui. Car perdre ça serait devenir néant. Pas vraiment, mais une part de toi a peur.
Seulement tu ressembles à un poisson hors de l’eau quand il te demande si tu l’envisage une vie avec lui. Parce que tu es trop honnête et que tu as eu envie de dire oui, mais pas savoir quoi mettre ensuite. Enfin si. Tu voudrais dire que ça sera pour sauver le reste du monde de lui, mais c’est stupide. Incroyablement stupide. Et surtout beaucoup trop idiot. Tu n’es pas une idiote. Alors tu te mords la lèvre et réponds autrement.
« Non. Je ne l’envisage pas, mais je ne te laisserais pas non plus pourrir tout seul dans ton coin. »
Ça ne veut rien dire. Enfin si. Pour toi ça a l’air super clair. Pourtant dit comme ça cela reste sans vraiment sens. Tout ça car tu ne veux pas dire oui, ne pas lui donner raison, ni le dernier mot. Tu es une idiote. Seulement sa provocation tu ne pouvais pas la laisser passer. Surtout quand il te rit au nez.
Quand il te fait une remarque sur le fait qu’il a fait attention à manger en pointant le bord de ton uniforme ta tête se baisse rapidement et instinctivement pour voir de quoi il parle. Seulement il n’y a rien. Rien du tout. Tu te laisses avoir. Encore. Toujours. Et comme un gamin tu gonfle légèrement les joues prêtes à contre attaqué. Qu’est-ce qu’il t’exaspère. Qu’est-ce que tu es vivante avec lui.
« C’est stupide ce que tu fais. »
Pourtant c’est aussi stupide de le laisser te mener en bateau aussi facilement en revenant à la charge à chaque fois. Son excuse du fait qu’il est des choses à faire pour toi c’est une nouvelle fuite. Encore. Ça tu ne le permettras simplement pas aujourd’hui. Il fuit trop pour toi. Beaucoup trop. Avant il n’était pas comme ça. Avant. Pourquoi tu t’accroche à ton rêve ? Pourquoi tu t’accroche à lui ? Pourquoi tu crois autant à lui ? Pourquoi tu ne peux pas simplement le laisser tranquille ? Tu tiens trop à lui pour ça.
Tu es face à lui. Tu crois que tu peux l’affronter. Vraiment tu y crois de toutes tes forces que tu peux retirer son défaitisme sur le fait qu’il ne puisse rien faire, car il y a tellement à faire en réalité. Il ne tient qu’à toi de le lui faire voir. Alors stupidement tu as crus qu’il avançait la main pour te faire fuir. Qu’il connaît le pourquoi de ton avérassions des contacts et que c’est un moyen de te faire partir de devant. Qu’il cherche à te faire reculer la première et par pur esprit de contradiction, malgré la boule de peur qui grandi horriblement dans ton ventre tu restes là.
Seulement sa main ne se stop pas. Pas du tout même. Elle te touche la tête et c’est une explosion de peur qui te prends d’un coup. Ce n’est qu’un toucher sur ta tête, mais ton pouvoir réagis au quart de tour et tu le sens. Tu ne contrôle plus rien, tu le sens l’émotion d’excitation que tu fais grandir bien malgré toi sans rien pouvoir rien y faire. C’est simplement horrible comme sensation de ne plus avoir le contrôle d’un coup et que ta peur soit aussi forte. Presque aussi grande de cette excitation que tu lui fais ressentir.
Dans un réflexe tu arrives enfin à réagir, à dégager sa main à l’aide des tiennes dans un semblant de cris tout en reculant loin de lui. Ton pouvoir n’agit plus, mais le contre coup te remonte dans la gueule et les émotions qui tourne et retourne en toi te donne le tournis et te met les nerfs à fleur de peau. Tu détestes complétement ça. Quand ça se calme enfin un peu, tu relèves les yeux vers lui et haletant tu lui pointe l’entre-jambe bien clairement et rageusement.
« Pervers ! Bien entendus que je ne suis pas la mère d’un pervers comme toi, mais ça ne te permet absolument pas de me faire ça ! »
Ta voix est proprement ridicule. Tu voudrais hurler, mais tu en es parfaitement incapable avec tes cordes vocales. On dirait plus un chaton qui grogne qu’autre chose. Tu te redresses et a encore moins envie de le laisser partir après ça. Il en est complétement hors de question.
« Tu as si peur qu’il y est une porte de sorti où tu n’es pas obliger de ruminer dans ton coin que tu fais ça ? Tu peux faire tellement de chose, ça je le sais, c’est toi qui ne veux pas le comprendre ! »
Tu es tremblant, comme une feuille. Aussi faible que ça. Malgré tout ça tu ne recule pas. Même si tes yeux ne lâchent pas son entre-jambe pour le coup. 2981 12289 0