Sujet: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Lun 28 Oct 2013 - 18:46
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Feat : Enma C. Loveless
J'avais dis que je renverrais mon lézard à Enma pour lui demander ses disponibilités pour nous rendre dans la galerie marchande afin de me racheter une nouvelle cravate et une nouvelle veste donc c'était ce que j'ai fais. Malheureusement pour moi, Irish était dans sa période « Belle au Bois Dormant » ou plutôt « Lézard au Bois Dormant » donc le résultat fut que je dû attendre le début d'après midi pour pouvoir lui demander de transmettre le message. Apparemment, mon lézard était épuisé mais en même temps, il dormait tout le temps, préférant se mettre dans un coin de ma chambre le plus exposé au soleil si possible et, quand il était endormi, même un éléphant ne pouvait pas le réveiller. Enfin, heureusement que j'ai pu lui faire faire quelque chose tout de même ! Quoi qu'il en soit, je me préparais pour sortir du pensionnat, avec l'intention de me rendre dans les rues marchandes. Heureusement, il faisait beau et il ne semblait pas y avoir beaucoup de monde. Pendant le trajet cependant, ma mallette toujours à la main, je me posais diverses questions notamment au sujet de ma relation avec l'élève de classe A. J'étais un peu nerveux puisque ce genre de chose constituait une nouveauté pour moi. Briser les interdits pouvait être excitant dans un sens mais... Ce qui m'effrayais le plus était les conséquences des actes que nous allions prendre. D'ailleurs, je mettais un point d'honneur à en parler à Enma lorsque j'en aurais l'occasion. Finalement, au bout d'une bonne heure, j'étais arrivé dans la ville, m'étant arrêté près de la rue Est, rue où étaient placés la plupart des commerces. D'ailleurs, c'était là que je me rendis compte que ma tenue n'était peut être pas très appropriée... :
Lloyd : « Moi qui voulais faire dans l'originalité, je pense que l'uniforme en queue de pie est de trop.. »
Oui parce que certaines personnes me lançaient de drôle de regards, à croire qu'ils n'avaient jamais vus quelqu'un porter une telle tenue. En même temps, il fallait être original dans la vie, n'est ce pas ? Ne disait on pas qu'il fallait alimenter notre différence ? En même temps, tout le monde était différent donc... Enfin... Pour le coup il était vrai qu'on aurait dit que je ressemblais à un majordome qui semblait attendre son maître ou... Sa maîtresse en l'occurrence. J'espérais simplement qu'Enma ne tarde pas trop à venir me rejoindre puisque toute cette attention – que je prenais comme flatteuse dans un sens – commençait à me mettre mal à l'aise. M'asseyant sur un banc non loin de là, je commençais à sortir des livres de ma mallette en me disant que cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas servi de mon pouvoir. Je pris alors la première œuvre qui me tombais sous la main pour commencer à la lire : encore un conte racontant l'histoire d'une princesse et son prince charmant. Oeuvre idéale pour les jeunes adolescentes mais passons. Pour passer le temps donc, je me mis à la lire, à voix haute :
Lloyd : « « La jeune Princesse attendit donc, avec impatience, l'arrivée du Gentilhomme, nerveuse à l'idée que celui ci puisse s'intéresser à elle. Quelques instants plus tard, ayant reçu l'invitation de la Princesse, le fameux Gentilhomme n'eus aucun mal à la trouver... » »
Le livre ouvert, dans une volute de fumée, les personnages prirent vie et la Princesse apparut donc, nerveuse mais habillée d'une sublime et élégante robe rouge, ses cheveux longs et blonds semblant onduler comme si le vent jouait réellement avec. Le Gentilhomme apparut par la suite, avec une courroie à la main, semblant trainer avec lui un cheval invisible ou non matérialisé plutôt, ce qui me fis sourire. Trop absorbé par ma lecture, je ne remarquais pas que j'avais attiré une foule de « spectateurs » apparemment impressionnée par tous ces personnages alors que je ne fais qu'attendre Enma pour ma part
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Lun 28 Oct 2013 - 22:08
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
Le vent souffle, les oiseaux chantent, les fleurs poussent, le soleil brille, la vie est belle. Tu n'as jamais autant appréciée la vie jusqu'à ce jour, tu venais juste de recevoir le message de ton professeur chéri apporté par son agréable lézard du nom de Irish. Le lézard repartie tu te décidais à être la plus belle et la plus étincelante des jeunes demoiselles se baladant dans les galeries marchandes à cet heure-ci. Devant ton miroir tu chantonnés joyeusement, tournoyant jusqu'à ton armoire et ta garde robe. Pour aujourd'hui ce sera, une longue robe noir gothique ornée de rose de la même couleur, un chapeau dans le même genre, de longs gants luxieux, et une paire de talons hauts noirs. Tu étais aux anges aujourd'hui..Tu imagines déjà toute les belles choses qui te seront offert à voir devant les vitrines en compagnie du gentilhomme que tu aimes.
Un moment que tu vas vivre qui restera dans ta mémoire. Ce n'est qu'une heure plus tard après t'être pomponnée comme une vraie et charmante dame que tu sortais en dehors du pensionnat. Il te fallut d’abord un bon moment avant d'atteindre la galerie marchande, quelques personnes te lancèrent des regards bizarres, d'autres hommes étaient subjuguées par ta beauté , et certaines demoiselles jalousés de toi. La galerie marchande était bondé aujourd'hui, pendant ta balades tu remarquais une foule regroupée autour de tu ne sais quoi..Piqué par la curiosité tu t'approchais en tenant fermement les extrémités de ta robe comme n'importe quel fille élevé dans la haute bourgeoisie le ferait.
Une fois près de la foule tu reconnaissais une voix qui te charmait à chaque fois que tu l'entendait, celle de Mr.Lloyd. Tu l'écoutais en train de lire son histoire, tu ne pouvais pas voir les images sortant en dehors du livre car tu es trop petite par rapport aux gens présents dans cette foule. Gentillement tu demandes plusieurs "Pardon" à plusieurs personnes voulant passés. Enfin prêt de ton prince charmant tu lui fis une de tes plus gracieuse révérence en admirant de tes yeux verdâtres le spectacle qui se déroulait juste devant toi. Touchée de constatée que les deux personnages de son histoire n'est rien d'autre qu'une belle princesse et son cavalier arrivant à cheval. Ce professeur tenait vraiment à toi, et cela était réciproque...tu l'aimais comme tu n'as jamais aimé personne. Tu t'imaginais en tant que la belle princesse sur son cheval blanc et lui ton prince courageux, vaillant, protecteur...l'homme parfait.
Elle se tient juste devant vous maintenant , Lloyd. C'est une histoire merveilleuse que vous nous raconter la, elle me fait déjà rêvée...
Tu te relevais délicatement, et lui lançais un sourire des plus doux en lui tendant ta main droite, les joues lègérement rouges.
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Mar 29 Oct 2013 - 18:34
Ici nous ne sommes que des anonymes. Tout nous est donc permit
Plongé dans mon histoire donc, je ne voyais pas les passant devenir des spectateurs éphémères, jusqu'à ce que je ne lève les yeux pour admirer les personnages qui avaient prit vie. La jeune Princesse avait retrouvé son Gentilhomme et celui ci l'invita, dans un élégante courbette, une élégante révérence, à danser. Prenant la main de sa charmante partenaire, ils dansèrent donc parmi les passants, virevoltant gracieusement, au milieu de la foule, sur le rythme d'une musique invisible, imaginaire mais qui semblait entrainante. Soudain, je fus hélé par une voix que je reconnus aussitôt pour l'avoir entendu récemment. Relevant mon visage, je remarquais juste à temps que la jeune femme avait également fait une légère révérence, en disant que la Princesse se tenait juste devant moi, me complimentant de nouveau sur l'histoire que je venais de raconter. Déposant mon livre – toujours ouvert, pour que les personnages continuent à prendre vie – je me relevais lentement et tendis la main pour m'emparer de celle que Enma m'avais tendu. Lentement, approchant mon visage de sa main, j'y déposais un gracieux baiser en prenant la parole :
Lloyd : « Merci d'avoir répondu à mon invitation et d'être venu, My Fair Lady. J'avais eu peur d'attendre seul encore longtemps. Heureusement, le principal est que vous êtes, enfin, arrivée n'est ce pas ? »
J'entendis des murmures impressionnés et admiratifs s'élever dans la foule. D'ailleurs, les personnages s'étaient eux même arrêtés et semblaient également nous regarder. Apparemment, nous faisons parti d'un spectacle improvisé dans lequel nous étions, les acteurs. Enfin... Enma malgré elle. Mes yeux s'attardèrent un instant sur la tenue que la jeune fille portait. Une vraie Lady ! Avait elle fait cet effort vestimentaire pour moi ? Parce qu'elle savait que je lui avait donné rendez vous ? J'en fus ému au delà même de mes espérances puis me souvins de notre première rencontre et je ressentis une pointe de tristesse. J'étais peiné pour la demoiselle qui m'avais avoué ses sentiments sans aucune hésitation. Peiné mais en même temps, admiratif de son courage. Malheureusement, je savais bien qu'une histoire entre nous serait impossible. Je laissais alors les personnages de mon conte vivre leur propre vie qui serait, cependant, bien courte et pris la parole :
Lloyd : « My Lady vous voilà d'une magnifique beauté aujourd'hui. Ce sera avec un honneur non dissimulé que je m’acquitterais de la tâche qui m'a été confié pour la journée, c'est à dire : vous accompagner faire les boutiques. D'ailleurs, ne vous l'avais je pas promis ? Bien sachez que je mets toujours un point d'honneur à honorer mes promesses et ne jamais revenir sur la parole que je vous ai donnée »
Cependant, je dû m'éloigner de la jeune fille, le temps de me diriger vers le banc et de refermer mon livre de conte, faisant disparaître les personnages par la même occasion, provoquant également des soupirs de mécontentements de la part de mes « spectateurs » d'un jour. Je m'excusais d'un regard en m'inclinant légèrement devant eux puis remis correctement mon livre dans ma mallette que je portais ensuite à la main tandis que les passants vaquaient, enfin, à leurs occupations : le spectacle était donc, bel et bien terminé. Je rejoignis ensuite la jeune fille en souriant, prêt à affronter cette journée avec le sourire
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Mer 30 Oct 2013 - 15:15
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
[justify]"n'est-ce-pas ? " Que tu aimes entendre le professeur répétés ces deux mots la. Pourquoi ? A chaque fois qu'ils les prononçaient cela t'amusée. Tu le laissa baiser ta main comme si tu étais une véritable dame, tes yeux toujours posée sur le livre tu regardais la petite histoire suivre son cours, la princesse était face un vilain dragon et son prince vaillant et courage vint la sauver en le combattant pour se suivre finalement d'un doux baiser romantique. Dans ta tête tu imaginais que tu étais cette princesse, le professeur le prince...Bien qu'en réalité tu sais que amour que tu éprouves pour lui ne va que dans un seul et unique sens malheureusement..Mais tant que tu peux passer du temps avec lui autant en être satisfaite non ? Tu décrochais ton regard du conte pour complimenter en retour l'enseignant en rougissant légèrement.
A...A-Allons Lloyd c'est trop de flatterie, vous êtes bien bien plus beau et mieux vêtit que moi en ce jour. Je veux bien m'amuser à faire les boutiques volontière. Surtout si c'est en votre compagnie ça me rends encore plus heureuse que je ne le suis déjà, je vais nous chercher un premier magasin !
Cette homme était vraiment d'une honnêté irréprochable et c'est ainsi qu'il ne revient jamais sur son nindo que tu t'empressais de chercher un premier magasin, et ton attention se porter sur un magasin d'ésotérisme. En fait tu croyais que c'était un magasin de décoration ou une bijouterie plus qu'autre chose. Heureuse de ta première trouvaille, tu pointais du doigt un talisman au pentacle inversé, les yeux tout ronds d'émerveillement. Le prof s'avançait et toi tu avais une bouille innocente ne savant rien ce que signifiait le pentacle..
Regarder ! Regarder comme il est beau ce talisman ! J'aimerai tellement l'avoir, en plus il est tout en argent~ S'il vous plait Lloyd je voudrais visiter ce magasin, histoire de voir ce qu'il y'a à l'intérieur !
Sans attendre une quelconque réponse du jeune tu lui chipais la main et fit une entrée précipitée dans le bâtiment telle une enfant surexcitée se croyant dans un magasin. Tu tournoyais sur toi même regardant absolument tout de tes petits yeux curieux, puis tu t'accroupissais pour voir d'autre article plus farfelue que les un que les autres. Pensant toujours que tu te retrouve dans une sorte de bijouterie ou magasin déco...Vraiment tu es...naïve.
Hmm...Que devrais-je acheter ici ? Le talisman à la petite étoile en bas ? Vous en pensez quoi vous ?
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Mer 30 Oct 2013 - 20:35
Trop tard pour regretter, maintenant il faut assumer
J'étais fier mais en même temps un peu coupable. En effet, comment ne pas ressentir rien qu'une pointe de culpabilité en sachant que, dans un sens, je bravais les interdits. Enfin, en même temps je me rassurais sur le fait que nous n'étions plus au pensionnat, que nous étions deux anonymes et que personne ne ferait attention à nous. Je me rassurais ainsi et, apparemment, cela fonctionna tellement que je ne remarquais pas qu'avant de reprendre mon livre, les personnages se livraient à une bataille. Le Gentilhomme combattant un Dragon pour sauver sa belle Princesse. Je pus entendre quelques pleurs : apparemment cette apparition avait fait peur aux plus petits et émerveiller les plus grands. Cependant, une fois l'histoire terminée, il fallait penser à revenir à la vie présente et à la journée que nous étions entrain de vivre. D'ailleurs, Enma parut très touchée du fait que je la complimente sur sa tenue, arguant que j'étais bien mieux vêtis qu'elle, ce à quoi je répondis, avec courtoisie :
Lloyd : « Enma... Voudriez vous réellement jouer cette scène mythique de la Fable du Corbeau et du Renard, de l'auteur français Jean de La Fontaine ? Je finirais par me poser la question vu que vous passer votre temps à me flatter. Je vais donc me permettre de vous énoncer la morale de cette Fable : « Sachez que tout flatteur vit aux dépends de celui qui l'écoute... ». Ce qui voudrait dire que vous êtes dépendante de moi, ce que je vous déconseille vivement même si cela ne doit pas être évident pour vous, j'en suis conscient... »
Oups.. Non... Tais toi un peu Lloyd ! Ne remet pas tout ça sur le tapis alors que tu t'es simplement promis de passer une belle journée en compagnie de la jeune fille alors tu n'allais pas tout gâcher pour de stupides acquis de conscience ! Stupide ? Était ce réellement stupide ? Je n'en savais rien mais en tout cas, il ne fallait pas que cette attitude ne vienne gâcher notre journée. D'ailleurs, je fus rapidement entrainé par la jeune fille qui repéra sa première boutique de l'après midi en me montrant un pendentif en forme de pentacle inversé, faisant une adorable tête d'enfant et me suppliant presque d'entrer dans cette boutique. Heureusement que ce n'était pas mes parents qu'elle entraînait parce que là... :
Lloyd : « En effet Enma.... Ce pendentif est magnifique. Cependant, je ne suis pas sûr que... »
Mais trop tard, la jeune fille m'avais déjà happé la main pour m'entrainer dans la fameuse boutique, comme si elle était une enfant surexcitée. Je fus un peu gêné de sa conduite – soyons honnête et disons les choses telles qu'elles étaient – mais il fallait que je fasse avec : après tout, n'était ce pas moi qui avais proposé cette sortie et ne venais je pas justement de lui dire que j'étais un homme qui honorait ses promesses ? Quelques fois, je maudissais mon fort sens de l'honneur mais, que voulez vous, j'étais comme ça et personne ne pourra me changer, malheureusement, même s'il le faudrait quelques fois. J'attendis alors que Enma se calme pour avoir l'occasion de parler et d'expliquer :
Lloyd : « Je ne voudrais pas refroidir cette si chaleureuse atmosphère Enma mais... Bien que tous ces objets aient un certains charmes je ne suis pas certain que... Enfin, ce que j'essaie de vous dire c'est que ces objets ont tous une signification bien particulière et je ne suis pas sûr que... »
Je m’emmêlais les pinceaux, dans mes explications. C'était tout bonnement atroce comme sensation. En plus, je ne savais plus trop où me mettre puisque je ne voulais pas faire subir à la jeune femme un refus catégorique. J'essayais, tant bien que mal, de lui faire comprendre que ces objets n'étaient pas « passe-partout » mais j'avais bien du mal
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Jeu 31 Oct 2013 - 14:25
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
T'étais trop préoccupée par ton pendant-bizarre-en-argent-avec-l'étoile-en-bas-pouet pour te soucier de sa véritable signification. Tu l'ignorais cette signification alors comme tout ignorant tu te posais pas la question et en plus tu étais toute innocente alors que la situation était bien embarrassante pour le professeur qui lui savait la ou il se trouvait et de plus ce que voulais vraiment dire ce talisman.
« Je ne voudrais pas refroidir cette si chaleureuse atmosphère Enma mais... Bien que tous ces objets aient un certains charmes je ne suis pas certain que... Enfin, ce que j'essaie de vous dire c'est que ces objets ont tous une signification bien particulière et je ne suis pas sûr que... »
Sûr que quoi ? Tu fronçais les sourcils, tu gonflais tes joues comme un Rondoudou, Avec un air boudeur sur une voix enfantine à la fois colérique, assez curieuse tu grondais sur l'enseignant qui semblait complètement perdu dans ses propos et tout embarrassé de se retrouver ici, dans un magasin occulte, en compagnie de la fan-girl ♥ FAN CLUB LLOYD X ENMA ♥ un peu folle et joviale que tu es.
Dans ce cas vous aviez cas me dire ce ça veux dire alors au lieu de vous mélangez les pinceaux !
Tu retirais ton chapeau le posant sur un meuble, en bois puis tu passais le talisman autour de ton cou, en regardant le prof de façon mielleuse avec des yeux à la façon Yuno dans Mirai Nikki. Profitant de la situation tu voulais le taquiner. Sur une voix diabolique tu disais...
...Lloyd....J'ai la tête qui tourne....Je crois que...j'ai envie de..de..sang...je crois que c'est à cause de ce talisman...au secours.
Tu faisais comme si tu ne pouvais plus le retirer de ton cou, observant la mine déconfite du prof, tu te réjouissais que ta blague fonctionne à merveille. Tu lâchais de petits rires léger mais sadique de temps à autre pour amplifier la chose, puis tu basculer ta tête avant de la remonter à une vitesse folle avant de déclarer
MAIS NON C'ETAIT UNE BLAGUE !
Et voila que tu te taper une barre toute seule pendant minutes en pleurant de rire en t'effondrant tête contre un autre meuble tapant dessus d'un poing. Vraiment...T'étais pliée...le fou rire une fois finit tu séchais la dernière larme qui perler ton œil. Ta voix devint douce et timide et tu repris la parole.
Pardonner moi monsieur...mais je voulais...un peu rigoler, alors désolée si je vous ais fait peur...mais si vous voulez pas que je prenne ce talisman alors je vais le reposer et vous me diriez ce qu'il veut dire vraiment si vous êtes d'accord. Tu disais cela avec un regard tellement mignon. Tu reposais le talisman à sa place, repris ton chapeau et le remit sur ta tête.
Prenant de nouveau la main de l'enseignant tu l’entraînais dans une petite tente, une fois de plus tu ignorais que tu mettais les pieds dans l'enceinte d'une voyante, à croire qu'aujourd'hui tu te comporte vraiment comme une andouille pas possible, pauvre Lloyd.
Professeur, il y a deux chaises, et j'ai un peu mal aux pieds avec mes talons...Pouvons nous asseoir je vous pris ?
Ça sent le roussit pour vous Lloyd, mais vraiment le roussit.
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Jeu 31 Oct 2013 - 16:34
Une seule question : Pourquoi ai je fais une telle promesse ?
Alors, deux solutions : soit Enma ne connaissait rien sur les technologies occultes soit elle le faisait exprès simplement pour jouer avec mes nerfs et me faire perdre mon calme. Allons Lloyd ce n'est pas si grave que ça ! Dis toi simplement que ce n'est l'affaire que d'une journée ! Le problème était que cette journée commençait réellement à déraper dans le sens où je n'étais ici que dans l'espoir de me racheter une cravate et une veste. Cependant, j'avais fais l'erreur de faire la promesse à Enma que je l’emmènerais avec moi et le destin avait voulu que je sois un homme d'honneur incapable de revenir sur ses promesses. En la regardant ainsi je dû avouer que j'eus du mal à retenir quelques envies suicidaires mais, heureusement, je fis comme si de rien n'était mais ce que je ne compris pas ce fut le changement d'attitude de la part de la jeune fille. Euh attendez un peu... Depuis quand avait on inversé les rôles ? Pourquoi était ce elle qui me réprimandais en me disant de dire directement ce que j'avais à dire au lieu de m'emmêler les pinceaux. Je haussais les sourcils commençant à ressentir les effets de ma fierté qui commençait à se rebeller. Holà ! Il fallait vraiment qu'on mette les choses aux clair :
Lloyd : « En fait ce que j'aurais aimé vous dire c'est que ces genres d'objets sont... Comment dire... Réservés à un style bien particulier, qu'il ne sont pas « passe-partout » et qu'ils pourraient certainement choquer quelques uns si vous décidez de les porter tout le temps sur vous. Et puis, je ne m’emmêlais pas les pinceaux ! J'essayais simplement de trouver la bonne formulation pour vous fournir ses explications »
D'accord, cela ne m'arrivais pas souvent de m'énerver mais il n'était jamais dis que je ne pouvais pas perdre mon calme. Cela dépendait des circonstances. Évidemment – comme j'aurais dû le parier – Enma ne pu résister à l'envie d'essayer ce fameux pendentif. Évidemment, je laissais faire jusqu'à ce qu'elle ne prenne une voix étrange en disant qu'elle avait soudain besoin de sang et que c'était peut être à cause du pendentif. Au secours. Autant je pouvais m'attendre à une belle blague autant son appel au secours commença à me faire paniquer d'autant plus que je la vis avoir du mal à retirer le fameux pendentif de son cou. Aussitôt je me penchais pour l'aider, surtout lorsque je vis sa tête basculer en arrière mais à peine avais je fait le moindre mouvement qu'elle remonta vivement sa tête en criant que c'était une blague. De paniqué je passais à embarrassé puis à blasé en répondant :
Lloyd : « Je suis impressionné par votre sens de l'humour Enma... Vraiment... Votre blague fus très réussis. J'y es vraiment cru, je vous félicites... »
J'eus un petit moment de réflexion à voir si je préférais le meurtre au suicide. La logique aurait sûrement voulu que ce soit moi qui me suicide puisque c'était moi qui avait proposé à Enma de faire les boutiques mais, évidemment, j'essayais de passer à autre chose en me disant qu'après tout, chacun avait son propre humour : il fallait simplement que je m'y fasse même si j'avais l'impression qu'avec Enma cela risquerait d'être difficile. Le problème était que cette blague ne faisait rire qu'elle si bien qu'elle s'écroula à terre, écroulée de rire. Enfin... Si elle passait un bon moment c'était le principal non ? Même si je me disais que je serais bien resté à lire mes contes tranquillement sur mon banc. Finalement, sa crise de rire passée, la jeune fille se releva et s'excusa en me disant qu'elle voulait simplement rigoler et qu'elle allait reposer le talisman si je ne voulais pas qu'elle le prenne. Poussant un petit soupir, je pris la parole :
Lloyd : « Ce n'est pas que je n'ai pas envie que vous preniez ce genre d'objets... Après tout s'il vous plait réellement vous pouvez le prendre. Je pense que vous êtes assez grande pour savoir ce que vous voulez Enma. Ce que je veux vous dire c'est que nous sommes dans un magasin qui vend des objets occultes, qui font référence à Satan ou au Diable si vous préférez. Après si vous appréciez ce genre de chose libre à vous de le prendre. D'ailleurs, ce n'est pas à moi de prendre la décision finale »
Il est vrai que j'étais un peu en colère malgré mon air blasé malheureusement la jeune fille ne m'aidais pas à être convainquant car elle se débrouillait toujours pour faire des têtes que je trouvais attendrissantes. Soudain, je me sentis de nouveau entrainé : apparemment Enma m'avais de nouveau prit la main. La chose positive était que nous étions enfin sortit de la boutique mais le point un petit peu plus négatif fut que la jeune fille me dise qu'elle avait mal aux pieds avec ses talons et qu'elle désirait se reposer un instant. Je n'étais pas contre le soucis était l'endroit où elle m'avais entrainé :
Voyante : « Bienvenue, bienvenue. Messieurs, dames n'hésitez pas à vous rendre dans ma tente, je pourrais vous tirer les cartes gratuitement pour la première séance. Dites moi, jeune fille, n'êtes vous pas curieuse de savoir ce que l'avenir vous réserve ? »
Maintenant il ne restait plus qu'à prier pour que Enma veuilles REELLEMENT se reposer
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Jeu 31 Oct 2013 - 18:12
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
Tu te rends enfin compte que t'a fichue les pieds dans un magasin occulte. Oops. Tu te sens assez embarrassée, et en même temps un peu triste. Pourquoi ? Parce que le professeur avait le visage fermer et grave, signe que tu l'as mis un peu en rogne avec tes conneries. De plus que les remarques qu'il ta fait le montrait bel et bien...tu essayes de canalisé ta culpabilité en toi tant bien que mal, la voyante qui n'était qu'une vieille dame sénile te demande donc si tu veux t'éclater a faire un tirage...le tarot...Tu as peur de l'avenir. Tu redoutes le futur. Tu n'aimes y penser. Mais tu veux essayés quand même sur un certains point qui te questionne C'est gratuit la première séance, en tant profiter de cette nouvelle expérience. Avait le prof en rogne ...mais bon. Tu poses ta main sur ta poitrine, ta mine joyeuse redevient celle qu'elle est d'habitude, tu redevenais la Enma calme et sérieuse de tout à l'heure et tu prenais une grande inspiration pour lui faire une demande avant ce tirage.
Oui j'aimerai le connaître...Mais que sur un seul point, j'aimerai juste savoir ce qu'il advienne de mon avenir professionnel s'il vous plait. Pas mon avenir sentimental...lui je ne veux rien savoir du tout sur cela ...parce que...c'est stupide à dire mais...De toute façon je finirai vieille, seule, et moche avec pour seul compagnie un chat malade. L'amour ce n'est que des chimères qui vous draines petit à petit et qui peux malheureusement rendre aveugle...ou alors vous faire perdre de vus vos véritables objectifs..mais peut importe, allez y, je vous écoutes.
Tu te tenait plus fermement la poitrine, tu étais nerveuse, ces dires la tu ne les pensées qu'a moitié, parce que l'amour est une chose qui te draine, tes sentiments pour le professeur te font perdre un peu la tête c'est vrai, tu sais que tout ça n'est que des balivernes, tu le sais...mais pourtant tu continues à l'aimer, et en plus tu l'a énerver. Tu lances un regard discret mêlée à une certaine mélancolie au professeur un regard qui dit "Désolée pour tout" puis tu baisses ta tête, tu regardes tes pieds, tu te mords les lèvres, tu espères que tu auras une vie professionnel épanouis toi qui veux devenir une styliste connue et réputée pour ses créations.
Sur une voix tremblante tu dis ceci : Après ça monsieur je vous promets d'aller dans une boutique ou vous trouverez le bonheur d'achetez ce dont vous aviez besoin...Je payerais. Et je me tiendrais tranquille pour ne pas provoquer votre courroux..
Plus de blague pourris tu te disais...Tu voulais rigoler mais tu ne t'y prenais pas de la bonne manière. Tu attendais avec impatience ce que la voyante aller te dire tout en ressentant une certaine crainte.
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ven 1 Nov 2013 - 11:40
Peut être y suis je allé un peu trop fort...
Nous voici donc, juste devant une tente d'une voyante qui était une dame assez âgée et qui proposait à la jeune fille de tirer les cartes pour en savoir plus sur son avenir. Personnellement, je ne croyait pas au tirage de cartes mais si Enma y croyait... Après tout la jeune fille faisait ce qu'elle voulait. D'ailleurs, elle sembla s'assagir et je me sentis légèrement coupable : après tout peut être y suis allé un peu fort mais il était vrai que sa blague était d'assez mauvais goût selon moi. Elle semblait alors vouloir connaître son avenir mais en insistant sur le coté « professionnel », ne souhaitant pas connaître son avenir amoureux : je pouvais la comprendre. La vieille dame semblait nous attendre patiemment : n'avait elle pas dit que cette première séance serait gratuite ? Il n'y avait rien à craindre dans ce cas, n'est ce pas ? Même si, personnellement, je n'y voyais aucun intérêt, je ne craignais rien à faire plaisir à la jeune fille :
Lloyd : « Vous savez Enma... En toute honnêteté je ne crois pas vraiment à ces histoires de voyance et je préfère laisser le temps au temps. Personnellement, je n'aime pas savoir à l'avance ce que l'avenir me prépare mais je comprends votre curiosité sur ce genre de chose alors.... J'accepte volontiers de vous accompagner pour cette première séance à condition que ce soit la seule parce que j'aimerais également vous mettre en garde sur la forte présence de charlatans dont la majorité veulent simplement vous dépouiller de votre argent donc, j'aimerais que vous soyez vigilante sur ce genre de choses »
Aussitôt je m'en voulus puisque je me souvins de la raison pour laquelle elle ne voulait pas savoir ce que son avenir sentimental lui réservait. En même temps n'était ce pas moi qui était entrain de lui briser le cœur à chaque fois ? Ne m'avait elle pas fait une déclaration que j'avais malheureusement été obligé de refuser ? En plus la jeune fille était un peu mal, je la voyais une main serrée contre sa poitrine, me lançant un regard désolé avant de regarder ses chaussures et de dire qu'après cela elle se tiendrait tranquille et nous irions dans des boutiques pour moi. Je l'entendis même dire qu'elle payerait pour ne plus provoquer mon courroux. Tssht ! Cette jeune fille avait l'art de me rendre bien misérable... Poussant un discret soupir, je répondis :
Lloyd : « Il est hors de question que je vous laisse payer mes affaires voyons, Enma... Je ne vous demanderais jamais de faire ce genre de choses... Et puis je ne suis pas vraiment en colère, c'est juste que nous n'avons pas les mêmes centres d'intérêt. Heureusement d'ailleurs. Et puis cessez de vous excuser je vous en prie... Restez naturelle, je ne veux pas que vous changiez pour moi »
Pour preuve, je lui pris doucement la main et exerçait une douce pression sur son poignet histoire de la rassurer puisque je la sentais nerveuse. Quant à la voyante, elle ne tarda pas à nous inviter dans sa tente dans laquelle trônait une table avec une boule de cristal et un jeu, dont les cartes étaient éparpillées. Elle invita ensuite la jeune fille à s'assoir sur la chaise en face d'elle tandis que je déclinais poliment l'invitation pour ma part. Je restais septique parce que je ne croyais pas en ce genre de chose :
Voyante : « Bien. Installez vous, jeune fille et tirez deux cartes, je vous prie pour que je puisse lire leurs significations »
Personnellement, je n'étais pas à l'aise mais j'étais bien curieux de voir comment Enma allait réagir
InvitéInvité
Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ven 1 Nov 2013 - 21:08
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
Angoissée, maintenant tu étais seule en face de cette vieille dame tu te sentais mal à l'aise, le professeur loin de toi tu ne te sent plus en sécurité, et si elle tirait des mauvaises cartes ? Ta curiosité ta poussée dans un sacrée pétrin, preuve que cela peut être considérer comme un défaut dans certaines situations. Que faire ? Tu étais partagées entre l'envie de savoir comment se déroulerai ce tirage et partir d'ici. Ta décision selon toi ne sera pas la bonne. Tu n'étais pas capable de te décider par toi même, voire quand le professeur est avec toi tu es constamment indécise tu es incapable de prendre une décision, tu le regarde que lui, n'écoute que lui, obéis qu'a lui, et lui seul à raison. Vois-tu le professeur que tu aimes est pour toi un dieu.
Après tout c'était vrai les voyants en général en pleine ville comme ça sont des voleurs d'argent et rien d'autres, il avait raison, totalement raison. Alors tu ravales ta salive, tandis que la vieille dame s'impatienter, tu te lèves de te chaise et sur un ton sec tu lui dis
Désolée, mais je pense que ne pas penser à mon futur serait une plus sage décision, je n'ai pas envie de gâcher inutilement mon présent en ayant sur la conscience des balivernes. Au revoir madame.
C'était en quelque sorte "ton" choix, tu adressais un sourire timide à Lloyd, et tu passais la le rideau de la tante sans te retourner, tu es sortie en vitesse du magasin oubliant le talisman que tu voulais mais peut importe, tu te sentais assez mal et tu avais besoin de changer d'air alors tu cherchais un magasin du coin de l’œil, un magasin de vêtement, réputée et chic.
Vagabondant dans la foule et le brouhaha tu eut du mal à atteindre l'entrée, pris d'un soudain haut de cœur, ta respiration s’accélère, ta vision se trouble et tu t'effondres contre un mur te tenant fermement la poitrine une fois de plus. Tes poumons te brûle, , tes oreilles siffles, tu sens ta conscience te perdre. Épuisée dut a une crise d'hypertension tu murmures..
...Pardon professeur...je suis une élève trop encombrante...
Le stresse te rends facilement malade, tu fais souvent des malaises et en général ils se produisent que quand tu es avec lui. Aurais-tu peur ? Non c'est seulement la frustration de l'aimer et que ton amour ne va que dans un sens, tu n'aimes pas le fâcher, tu n'aimes pas savoir que tu l'ennuis, du moins c'est l'impression que tu as. Tu passes tes soirées à pleurnicher dans ton lit en te questionnant sans cesse "Pourquoi ceci...Pourquoi cela" pourquoi il fallait que tu sois trop jeune pour lui, pourquoi il fallait que tu ne sois qu'une élève, cela t'attristait tellement.
Ton amour te ronge tellement que tu finis par te détruire, par te rendre malade, tu as beau le cacher tu fais tout de travers aujourd'hui, tu t'en veux tellement, et lui va s'en vouloir si il te voit ainsi, mais tu n'as plus la force de te contenir ainsi alors tu te laisse basculer sur le sol, les larmes aux yeux.
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Dim 3 Nov 2013 - 10:32
Même cet échappatoire finira par être compliqué...
Bon sang... Enma avait finit par quitter la tente de la voyante en arguant simplement que penser à son avenir ne serait pas une si bonne décision que cela. Je ne su pas si je devais être heureux ou, au contraire, m'en vouloir. Décidément, même cette journée allait être compliquée, je le sentais... Quoi qu'il en soit, cela ne m'empêcha pas de saluer poliment la voyante et de m'excuser avant d'accompagner la jeune fille au dehors. La rue Est était bondée, tout le monde partant faire du lèche vitrine ou même rentrer dans les boutiques à dispositions. J'allais d'ailleurs proposer cela à Enma mais celle ci fut prise d'un étrange malaise et celui ci ne sembla pas être simulé. Par sécurité, je restais auprès d'elle, lui tenant doucement la main pour ne pas qu'elle ne fasse une mauvaise chute. Le problème est que je n'avais pas penser que ce geste pouvait être mal interprété : peut être augmentais je la douleur de la jeune fille en lui tenant la main ? Mais je ne n'allais pas la laisser chuter tout de même ! Après elle s'excusa d'être une élève encombrante, ce à quoi je répondis, dans la seconde qui suivi :
Lloyd : « Enma.... Je vous interdit de dire cela et même de le penser ! Vous n'êtes pas une élève encombrante ! Vous êtes une jeune fille comme les autres qui a simplement besoin d'un peu plus d'attention c'est tout. Si vous vous excusez pour cela alors je dois moi même m'excuser d'être un adulte irresponsable puisque je vous ai demandé de m'accompagner tout en sachant les sentiments que vous ressentez pour moi et dont je ne peux malheureusement pas répondre. Enfin... Je ne dis pas cela pour remuer le couteau dans la plaie... »
Tu sais quoi Lloyd, si j'avais un conseil à te donner, là, tout de suite, ce serait simplement « ferme là ! » ou « ta gueule ! ». Ce n'était pas ce qui était à la pointe de la politesse mais c'était exactement ce que j'avais envie de me dire à ce moment là. En plus qu'est ce qui m'avais pris de dire ça alors qu'Enma était actuellement entrain de faire un malaise ? Décidément j'étais le roi des goujats en cet instant ! Doucement alors, je fis ce qui me paru le plus juste pour réparer ma maladresse : prendre doucement la main de la jeune fille et l'emmener un peu plus loin s'assoir sur un banc pour qu'elle se repose en lui expliquant d'un ton que je voulais rassurant :
Lloyd : « Nous avons encore toute l'après midi devant nous alors prenez le temps de vous reposer, nous irons dans les magasins quand la foule se sera dissipée et... Oh ! Pardonnez moi je pense avoir oublié quelque chose dans la boutique que nous avions précédemment visité. Puis je vous demander de m'attendre ici ? Ne vous inquiétez pas, je n'en ai pas pour longtemps je vous assure. Puis je également vous confier ma mallette ? Il y a des livres à l'intérieur et aussi mon lézard, Irish, apparemment. Connaissant l'animal il doit encore être entrain de dormir mais si quelque chose ne va pas, dites le lui et il saura me trouver »
Confier un lézard fainéant à Enma ? Ce n'était peut être pas l'idée du siècle mais je lui avais bien assuré que j'allais rapidement revenir non ? En tout cas, m'excusant une nouvelle fois auprès de la jeune fille, je partis vers le magasin occulte, précédemment visité. Heureusement, je repérais assez rapidement le quelque chose que j'avais « perdu » dans la boutique. La talisman qui semblait tant plaire à Enma. J'hésitais quelques instants au vue du prix mais comme je ne voulais pas laisser la jeune fille toute seule, je finis par le prendre, osant demander à la vendeuse de me l'emballer dans du papier cadeau. D'ailleurs, ce geste me fis légèrement rougir : heureusement que Enma n'était pas là pour me voir parce que... Et bien quoi, ce n'était pas tous les jours qu'un professeur faisait un cadeau à ses élèves ? Finalement, quelques instants plus tard, je retrouvais la jeune fille :
Lloyd : « Me voici. Excusez moi pour l'attente, merci de m'avoir attendu et d'avoir veillé sur mes affaires. Tenez, Enma, j'ai quelque chose pour vous. Ne vous emballez pas trop, ce n'est que trois fois rien... »
Je tendis donc, à la jeune fille, avec un embarras certain, le fameux talisman emballé dans le papier cadeau
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Dim 3 Nov 2013 - 16:21
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
Semi-consciente tu ne comprenais plus ce qui se passe autour de toi,tu comprenais qu'une seule chose qu'on te tient la main, qu'on te parle mais tu n'arrives pas à bien comprendre, tu as le souffle saccadé. Tu as mal au coeur, il bat si vite mais ta l'impression qu'il va s'arrêter. Tu savais que c'était le professeur a côté de toi mais dés qu'il te parle c'est comme un tambour dans ta tête, t'aimerais qu'il s'en rende compte mais tu ne peux pas sortir le moindre mot de ta bouche. Le son dans tes oreilles grésillent, ta vision est troublée de points...Tu sens que tes fesses sont posés sur quelque chose, un banc ? Tu comprends ceci "Toute après-midi" "devant nous" "attendre ici" "mallette" "Irish".
Ce n'est que plusieurs minutes plus tard que ton état redevint normal. Vu la situation des choses tu supposés que tu devais attendre le professeur, ou a t'il pus aller ? Tu n'en sais rien mais tu espères qu'il reviendra très vite...Que faire ? Sa mallette t'a toujours intriguée, l'ouvrir ? Oui pour t'occuper tu vas jouer avec son lézard.
Tu ouvres la caverne d'Ali-Baba et tu découvres la petite bestiole en train de roupiller tu lâches un "Awwwww~" comme si c'était un chaton. Seul le lézard de Lloyd est mignon pour toi, uniquement lui. Tu laisses un de tes doigts lui grattouiller le ventre, il se tortille, se roule, et vus la façon dont il te regarde on dirait qu'il t'apprécie. Tu continues de le grattouiller avec amusement, puis tu lui poke les joues tout doucement. Ce lézard est si attendrissant..
Tout doucement il se met sur patte bien réveiller, sort de la mallette lentement et grimpe le long de ton bras avant de donner un coup de langue furtif sur ta joue. Tu lâches un petit rire enfantin, et la créature part se faufiler sur ton chapeau haute couture. L'amusement prends fin lorsque tu aperçois l'enseignant revenir vers toi avec un papier cadeau ? Attendez...un cadeau !? POUR TOI !??? Tu sursautes, ton visage devient écarlate, et ton cœur se met à battre rapidement fou d'amour. Pourquoi ceci ? Parce qu'il t'aimait ? Non il faut que tu arrêtes de te faire des films.
Lentement tu prends le papier entre tes mains, tu retires le ruban rouge qui empêcher de l’ouvrir, et la...tu mis une main sur ta bouche à la fois ému de voir que ce cadeau est le talisman que tu voulais tant depuis tout à l'heure...L'objet en main tu ne contrôle pas ta vive émotion et te précipite dans les bras de l'enseignant en frottant ta tête contre son torse.
Je vous remercierai jamais assez Darling~ ! Eum je veux dire Lloyd...Enfin...professeur...je..je..vous pouviez me le mettre s'il vous plait ?
Tu lui faisait une de tes têtes adorable qui le faisait craquer, tu te retourne contre son torse maintenant ton expression de petite fille, les larmes aux yeux, il t'a fait un cadeau et tu en étais heureuse...peut être un peu trop pour maintenant pleurer de joie. Tu es vraiment compliquée..en plus ta son lézard sur ton chapeau qui a manquée de voltiger à la Superman sur le coup.
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Dim 3 Nov 2013 - 21:32
Un simple cadeau alors que j'aurais tellement voulu faire plus...
La réaction de la jeune fille était à prévoir mais, au moins, cela me faisais plaisir de lui offrir ce cadeau. En plus, n'avait elle pas rivé ses yeux à l'entrée dès qu'elle est entrée dans le magasin ? Peut être étais je simplement trop gentil pour refuser quoi que ce soit à qui que ce soit... Il y avait sûrement un peu de cela aussi... Enfin du moment que la jeune fille était heureuse d'avoir un tel présent, cela me convenais parfaitement. Cependant, je devais avouer que sa réaction était un peu trop exagérée, selon moi. En effet, ce n'était peut être pas la peine de se jeter carrément dans mes bras pour une telle attention, si ? Enfin, dire que je n'étais pas ému de sa réaction était un mensonge parce qu'on aurait dit une enfant qui a enfin eu le cadeau dont elle rêvait depuis des années, même si, évidemment, j'exagérais un peu la situation donc je laissais Enma faire, m'amusant à entendre la jeune fille se perdre dans ses mots, surtout quand elle prononçait mon nom, s'embrouillant à me surnommer « Darling » ou encore « Lloyd » ou plus simplement encore, « Professeur », avant de lui caresser légèrement la tête et prendre la parole :
Lloyd : « Inutile de me remercier pour si peu, c'est un cadeau et cela m'a fais plaisir de vous l'offrir vu que vous sembliez tellement l'apprécier dans la boutique. C'est bien peu je sais, mais c'est malheureusement tout ce que je peux faire pour vous, même si j'aurais vraiment aimé faire bien plus... Et bien sûr, je vais vous le mettre si vous m'autorisez à poser les mains sur vous évidemment »
Je ne pouvais malheureusement faire que lui offrir ce talisman en cadeau même si je savais que la jeune fille attendait bien plus de moi. D'ailleurs, plus j'y pensais plus je trouvais que c'était un crève cœur donc je me forçais à éviter de trop y penser. Enfin, heureusement que la jeune fille m'avais demandé de lui mettre le talisman autour du cou. Cependant, je craignais de faire quelque chose de travers et de provoquer une nouvelle fois une réaction imprévue chez la jeune fille mais je m'étais engagé quelque part et – comme j'étais un homme qui prônait l'honneur - je n'allais pas revenir sur mon engagement. Lentement donc, je pris le collier qui se terminait par le talisman en forme de pendentif et me mis derrière Enma pour l'accrocher autour de son cou, avec des gestes mesurés, avec la peur panique que mes mains dérapent involontairement. Ce fut donc nerveusement et fébrilement que j'attachais le collier autour du cou de la jeune fille avant de me mettre en face d'elle :
Lloyd : « Vous voilà parée de ce bijou Enma et je dois avouer que j'ai l'impression qu'il a été fait pour vous car, sincèrement, il vous va à merveilles. J'aimerais vous poser une question : ai je été long ? Vous ai je fais attendre longtemps ? »
Une simple question de routine en fait, pour m'assurer que je n'avais pas été très long à faire attendre la jeune fille qui, apparemment, au vu de ma mallette ouverte, avait assouvi sa curiosité. En étais je offusqué ? Pas le moins du monde, j'en souriais même presque : après tout, tous les moyens étaient bons pour passer le temps, non ? Par contre, alors que je voyais que mes livres étaient bien à leurs places, quelque chose manquait cependant à l'appel :
Lloyd : « Excusez moi de vous demander cela Enma mais... Auriez vous vu Irish par hasard ? »
Oui, effectivement, c'était mon lézard qui manquait à l'appel
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Mer 6 Nov 2013 - 15:49
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Ft.Professeur.Lloyd
Tu laissais le professeur attaché convenablement ton talisman sans broncher, même.. savoir que c'était lui qui s'y prenait te faisait rougir d'avantage. Ton petit cœur d'adolescente folle amoureuse bat toujours si fort en sa présence, et passer du temps avec lui comble ton vide. Vide qui malheureusement une fois qu'il n'est plus avec toi revient en force...Il te complimente, tu lui souris en grattant ta joue nerveusement, tu es flattés, charmé, heureuse de ce compliment. Ce talisman te va à merveille, il ne va qu'a toi, toi et toi seule. Après tout, toute les choses que tu veux ne vont qu'a toi. Tu es orgueuilleuse, hautaine, pimbêche avec les autres mais avec lui tu es comme une petite fille adorable qui essaye malgré elle de faire preuve de maturité et de te comporter comme une adulte pour qu'il t'aime réciproquement sans avoir peur de te faire quoi que ce soi peut importe les conséquences derrière. Mais c'est impossible...impossible...Ces pensées te rendaient triste, mais il fallait mieux éviter d'y penser et profiter de ce moment présent avec le professeur.
Me...Merci Professeur ! Rassurez vous j'ai su m'occuper et passer le temps avec votre lézard, l'attente n'a pas été trop longue. Vos compliments...me..me touche beaucoup.
Abasourdi, rouge écarlate, tu ne savais comment réagir...en réalité tu ne savais jamais vraiment comment t'y prendre avec lui, alors tu es toute gentille, tu passes ton temps à le complimenter ici et la voire à t'excuser tout le temps pour rien. Tout le contraire de ton comportement habituel de Primsver. Par ailleurs le temps commence à se couvrir et les rues se font de plus en bruyante et nombreuses, chose qui t'éxaspère un peu intérieure mais restons aimable. De toute façon rien n'est prévue pour foutre ta journée en l'a-...Nyeh ? Irish ? Lézard ? Pas dans mallette ? OH PUTAIN NON ! OU QU'IL EST LUI !! LEZAROUTAI LEZAROUTAI LEZAROUTAI OUTAI OUTAI LEZARD OU TAI. Restons calme Enma ! Comment a t'il bien pus se tirer de la alors qu'a ta sauter dans les bras du prof ? Ouais bon p'tet qu'il a dut faire superman finalement...Mince. Peut être qu'a cause de toi il est blessé ! OH MON DIEU. Comment tu vas pouvoir annoncé ceci a Lloyd si tu le trouve tout mort ? Bon garde ton sang froid. Réfléchit, soit calme, forte, intelligente. Explique les choses franchement pour pas qu'il s’énerve contre toi, parce que si ce machin adorable sur patte à disparu c'est entièrement de ta faute.
Honnêtement Professeur...J'ignore ou bien votre lézard peut bien se cacher...Alors que j'étais même pas quelque seconde avant en train de jouer avec...Enfin peut importe il suffira juste de chercher un petit peu et on le trouvera hein ? HEIN PROFESSEUR ?
Tu te dis direct qu'il faut que tu retrouves la créature le plus possible, car voir le prof fâcher t'éffraie, tu as surtout peur qu'il te déteste et de le perdre. Quelques gouttes de pluies commence a tomber...C'est bien votre veine aujourd'hui. Tu décides de commencer tes recherches sous le banc, peut être que tu la fais tomber. Tu t'accroupis bêtement sous ce banc, offrant une vue assez...ambiguë à l'enseignant..Oui car aujourd'hui tu es en robe et même si elle est longue...Et bien il peut voir tout de même la jolie culotte noire en dentelle que tu portes. Ahlala....Pourquoi il fallait que tu paumes ce lézard franchement ? Angoissée tu te met à dire
Iiiiiirrrriiiiissssh ? Mais bon dieu ou tu es enfin !? C'est pas le moment de faire une blague ! Je t'aime bien mais cache-cache ça pousse un peu loin comme jeu, c'est pas drôle ! Reviens !
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie Mar 12 Nov 2013 - 15:54
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A la Recherche du Lézard Perdu
Je devais faire attention à mes paroles parce que je savais qu'avec Enma je marchais toujours sur la corde raide. Cependant, cette situation était difficile à supporter dans le sens où je n'étais pas habitué à autant chercher mes mots pour parler à la jeune femme. Je pris alors une grande inspiration pour lui mettre le talisman autour du cou mais les compliments étaient sortis tout seul. Cela l'avait touché : c'était évident n'est ce pas ? Je m'étais ensuite excusé du fait de l'avoir fait attendre en lui demandant bien si elle n'avait pas trouvé l'attente trop longue. Elle m'expliqua alors que non, étant entrain de s'amuser avec mon lézard, elle n'avait, effectivement pas vu le temps passer. Cependant, il y eut tout de même un petit incident à déclarer : en effet, mon lézard avait disparu et lorsque je posais la question à Enma, lui demandant si elle ne l'avait pas vu, la jeune fille eut un instant de panique, arguant qu'il fallait simplement chercher pas très loin d'ici puisqu'il avait certainement dû se cacher. J'eus un petit sourire attendrit avant de prendre la parole :
Lloyd : « Vous devez certainement avoir raison, Enma mais, personnellement, je pense que cela ne sert à rien de commencer déjà à paniquer. Il me semble qu'il serait plus efficace de nous mettre à le chercher mais dans le calme. Connaissant Irish il n'a pas dû aller bien loin en plus »
Oui parce que l'animal préférait toujours se trouver un coin confortable pour dormir mais, apparemment, sa disparition toucha Enma qui se démenait pour le retrouver. C'était attendrissant de sa part avec ardeur, ce qui me rendis encore un peu coupable d'ailleurs : devrais je également l'aider ? En même temps c'était de mon lézard qu'il s'agissait donc oui, l'aider à le chercher paraissait quelque chose de logique. Soudain, je sentis quelques gouttes : tiens, il pleuvait c'était bien notre vaine... En plus, je n'avais rien amener qui pourrait nous protéger de la pluie et je ne voulais pas que Enma ne rentre au pensionnat trempée. J'allais avancer vers elle lorsque mon attention fut attirée par autre chose. En effet, un peu plus loin, un jeune couple fut également surprit par les gouttes de pluie et le jeune proposa directement sa veste à la jeune femme qui alla directement se blottir dans ses bras. Ils avaient l'air heureux ensembles et je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'à cause de ma fonction, je privais Enma d'un tel bonheur. Je hochais alors la tête, comme si j'avais pris une décision. Après tout, si j'assumais mes actes et si je prenais mes responsabilités, je ne faisais rien de mal, si ? J'approchais alors de la jeune fille bénissant ma veste que je pus enlever facilement pour la mettre délicatement sur les épaules :
Lloyd : « Le temps se gâte Enma, prenez donc ma veste pour vous protéger de la pluie. Je m'en voudrais terriblement si vous tombiez malade en rentrant au pensionnat. Attendons que le temps s'arrange, Irish pourra attendre. De toute manière, s'il n'est pas loin, nous le retrouverons bien assez vite et il n'est pas idiot, il trouvera bien comment se protéger de la pluie. Venez avec moi »
Je pris délicatement sa main dans la mienne et me dis que le temps avait passé parce que je sentais que l'air se refroidissait et j'avais peur que la jeune fille ne prenne froid. D'accord, on avait beau être bien loin des gelées mais je ne voulais prendre aucun risque tout simplement parce que Enma était sous ma responsabilité et que je devais la ramener en bonne santé au pensionnat et je doutais que ma veste ne parvienne réellement à la réchauffer alors je l'emmenais se réfugier dans le magasin d'objets occultes que nous avions précédemment visités. Heureusement car, une fois que j'eus fermé la porte, la pluie augmenta en une importante averse :
Lloyd : « Et bien c'était moins une ! Allez vous bien Enma ? Si vous avez froid malgré ma veste vous pouvez venir contre moi si vous le souhaitez »
J'étais embarrassé de ma proposition mais en même temps, j'étais sincère : j'avais envie de faire plaisir à cette jeune fille et si, après tout, son bonheur se trouvait avec moi, je devrais être honoré de lui rendre ce service
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Sujet: Re: Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie
Trois heures dans les magasins mais en belle compagnie