Bienvenue chez les Di Marzio

Il y a une question dans "je t'aime" Qui demande "et m'aimes-tu, toi ?

Zack était retenu par deux brutes épaisses. Ces gorilles faisaient à peut près sa taille mais devaient peser le triple de son pois chacun. Ils le ruaient de coups. Mais le blond n'en avait que faire, sa bien aimée se faisaient battre elle aussi, par son père. Ce dernier la giflait et tirait sa chevelure de feu. Ce spectacle était insoutenable pour le jeune homme. Il ne cessait de se débattre, il fallait la sauver, l'éloigner de ce monstre sans coeur. Hélas pour lui, les deux gardes du corps le retenaient trop bien, et serraient tellement ses bras que les os de ces derniers commençait à craquer. Malgré la douleur, le blond continuait de se battre contre ses agresseurs afin de voler au secoue de sa bien aimée. Tout cela n'avait pas l'air de déranger Angelo, qui continuait de frapper sa pauvre enfant comme si c'était naturel.

- Sale gamine.

Sa voix était cruelle, et ses coups devenaient plus forts. Le professeur savait qu'il fallait faire quelque chose, la pauvre Céleste n'allait pas résister bien longtemps face à cet homme. Réussissant à se libérer légèrement, le blond se rua sur l'italien et le plaqua au sol. Il se mis à le ruer de coup comme il le faisait avec sa fille. Pourtant adepte de la non-violence, l'allemand oublia tous ses principes à cet instant précis. Ses  coups n'étaient peut être pas forts mais ils l'étaient assez pour garder Angelo plaqué au sol. Zack avait l'impression de gagner, mais soudain il faut pris d'un violent malaise, ses forces l'abandonnaient petit à petit, ce qui ne manqua pas d'échapper à Angelo. Ce dernier put assez aisément se dégager de l'emprise de Zack. Le blond n'arrivait même plus à se relever et était pris de violents tremblements, les gardes du corps d'Angelo avaient du le droguer pendant qu'il cherchait à s'échapper.

- Céleste... Fuyez...

Cela semblait être une cause perdue, il savait bien que la jeune femme ne partirais jamais, mais le jeune homme ne voulait plus qu'elle reste ici. Elle devait se cacher, sa survie était plus importante que la sienne, qui sait ce que le mafieux lui réservait comme sort. L'allemand était si faible que ses ravisseurs pouvaient faire de lui ce qu'ils voulaient.

H.S : vive les patates

Amusons nous sous le soleil italien !

Voir Zack se faire ruer de coups devenait insoutenable. Céleste avait beau essayer de se de gager, aucun des molosses ne daignaient la libérer. Ses cris de rage n'avaient aucun impact sur eux. Soudainement, Angelo se rapprocha d'elle, un sourire de psychopathe aux lèvres. Immédiatement, la rousse se tue. La jeune femme était terrorisée. Tout ses membres tremblaient, la pauvre adolescente tenait à peine sur ses jambes. Hurlant de douleur à chacun des coup que lui portait l'homme. Zack était enragé, il se débattait de toute ses forces. Si bien qu'il réussi finalement se libérer, et fonça à toute allure vers Angelo. Il le frappait sans retenue, bien que ses coups n'étaient pas aussi puissant. Tout en chancelant, Céleste se dirigea vers la table du salon, afin d'y rendre du papier et un stylo. Maintenant qu'elle avait de quoi se venger, l'adolescente n'hésiterait pas à leur faire payer leur arrogance. Alors qu'elle commençait à écrire une scène, où l'un des mafieux tombait et s'étouffait sur la moquette -bien sûr, la demoiselle précisa que cette inattention ne fut point mortelle, Zack s'écroula au sol, et fut prit de violent tremblements. Non, il l'avait drogué...

- Zack !

Céleste ne pouvait plus bouger, voir son petit-ami dans u tel état lui fendait le cœur. De plus, ce dernier la suppliait de s'enfuir... Non, elle ne pourrait jamais faire ça... Même si le fuite lui permettrait d'user pleinement de son pouvoir. Ne sachant pas quoi faire, la rousse fit en sorte que les molosses s'emparent d'Angelo et se rua vers son professeur, en serrant sa main :

- Tenez bon... Je suis là, je vais leur faire payer... Je vous le promet...

Il est vrai que le pouvoir de Céleste était assez contraignant, puisqu'elle devait avoir à portée de main du papier et un stylo pour s'en servir cependant, il était relativement puissant. Un peu trop pour une gamine paumée. Bien sûr, cette dernière serait incapable de tuer, ou de blesser mortellement un individu, même son père. Mais, elle pouvait leur faire regretter leurs actes, amèrement. La pauvre Flavia était complètement perdue, celle-ci ne savait ni quoi faire, ni comment réagir. Angelo la battait, elle ne pouvait rien faire pour les aider. Céleste le savait. La jeune fille se contenta donc d'hisser le blond sur son dos, en essayant de l'emmener hors de portée des hommes de son père, qui n'allait pas tarder à lâcher prise. Et qui sait ce qu'ils feront lorsqu'ils seront libérés de l'étonnant pouvoir de la rousse. Allongeant Zack sur son lit, afin d'éponger les goûtes de sueurs qui perlaient sur son front, Céleste lui serra les mains aussi fort que possible, afin de lui faire comprendre qu'elle resterait à son chevet.

H.S : SI T'A UN TRUC A RAJOUTER

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Zack ouvrit péniblement les yeux. Il avait apparemment perdu connaissance à cause de cette maudite drogue. Le monde autours de lui tournait un peu. Il chercha naturellement Céleste du regard, mais il ne la voyait pas. Ou pouvait elle être ? Tout en se massant les tempes, le jeune homme perçu des paroles. Elles étaient comme brouillée mais on pouvait discerner avec certitude le timbre de voix d'Angelo. Que faisait il dans la chambre du blond ? Et ou était Céleste. Malgré sa faiblesse, Zack se leva et se dirigea vers les voix. En plissant les yeux, on pouvait bien voir la silhouette de l'horrible italien. Mais que faisait il ?

- Voyons si tu es aussi bien bâtie que ta catin de mère.

Qu'importe à qui il parlait, ce langage était inadmissible. Le jeune homme n'eut pour solution que de saisir le vase situé sur la table d'à côté et de l'exploser sur la tête du monstre. Ce vas devait certainement couté plus chers que dix ans de salaires du jeune professeur mais qu'importe. C'était si jouissif de voir cette ordure gire au sol. S'aidant du mur pour marcher, notre ami s'approcha de la frêle victime. Même si l'univers était flou, on pouvait clairement distinguer la chevelure de feu de cette dernière. Mon dieu, cet homme était vraiment un être abjecte, sa propre fille.

- Céleste...

Dans un dernier effort, il attrapa le petit corps tremblant de céleste pour la serrer contre lui, lui servir de bouclier. Cet endroit était trop dangereux pour elle, elle ne devait plus jamais retourner ici.

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Céleste se débâtait du mieux qu'elle pouvait. Elle criait aussi fort que possible, afin de percer les tympans d'Angelo. Cependant, l'italienne ne pouvait fuir, celle-ci était prise au piège. De plus, cette petite merde insultait encore sa mère. D'un regard noir, et d'une voix rude, la demoiselle s'exclama :

- Qu'est qu'elle t'a fait ? Si tu ne voulais pas de moi... Pourquoi être venu me chercher ?!

L'étudiante cherchait la réponse à cette question depuis bien longtemps. Quitter Naples, et sa mère l'avait abattue. Angelo se plaignait si souvent d'elle,  ou lui faisait comprendre que sa place n'était pas au manoir. Quel homme étrange. Alors que la rousse tentait de repousser les avances de pedobear, Zack vint éclater un vase sur le crâne de celui-ci, qui s'écroula au sol, telle une larve. Sautant au cou de son professeur, la jeune femme le serra fermement :

- Je ne veux plus rester là... Allons dans un hôtel...

Doucement, la rousse attrapa la main du philosophe, et l'entraîna à l'extérieur. L'air et l'atmosphère y était beaucoup plus agréables. Souriant légèrement à son professeur, Céleste lui proposa de l'accompagner faire quelques boutiques, avant d'aller réserver leur chambre. Tout en fixant le blond, la demoiselle espérait qu'il passerait une soirée plus calme qu'au manoir, qu'ils pourraient se démontrer leur amour sans être dérangés. C'est pour cela que l'italienne lui avait proposé d'aller acheter des vêtements, quoi de mieux qu'un compliment de votre petit-ami.

- J'ai utilisé mon pouvoir aujourd'hui... J'espère que vous allez pas me punir~

Les pensionnaires n'avaient pas le droit d'utiliser leur pourvoir en dehors des cours. Si Zack le souhaitait, il pouvait sévèrement réprimander la jeune femme. Mais, celle-ci usa d'une voix douce et charmeuse, afin de l'amadouer, et d'obtenir une punition moins lourde.

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Le blond retrouva peu à peu ses esprits. Ils étaient à présent dehors. Heuresement que ses sens étaient de nouveau éveillés, il aurait été bien dommage de ne rien voir de la ville. Elle était grandiose. Le soleil commençait à se coucher, les lumières s'allumaient. Si on oubliait les épisodes précédents, on aurait pu penser que le décor était tout droit sortir d'un film de Woody Allen, tout était beauté. Et la jeune femme était assortie à ce décor. Le blond pris la main de la rousse et la serra tendrement. Il fallait faire comme si de rien n'était. Pour changer les idées de sa petite amie, le philosophe entraîna la jeune fille dans les rues de Milan. Comme dans un film, il fit tournoyer Céleste autour de lui, entendre son rire était une vraie bénédiction. Tout en lui apposant un léger baiser sur les lèvres, il lui proposa d'aller dîner.

- Jai hâte de découvrir ce que la cuisine italienne me réserve.

Les rues étaient remplie de restaurants, petits ou grand, tous paressaient alléchants, mais il fallait surveiller les prix, notre ami ne roulait pas sur lit non plus. Après plusieurs minutes de recherche, ils entrèrent dans un petit restaurant, le menu était classique, mais le cadre était idyllique. L'allemand laissa la rousse demander une table. En bon gentleman, il tira la chaise de son aimée. Ils purent ainsi commander.

- Certains mots sont transparents, mais je vous avoue avoir un peu de mal avec l'italien. Une chance que j'ai fait latin quand j'étais jeune !

Les yeux de la jeune fille petillaient, comme les siens. À ce moment, une idée traversa l'esprit du blond; cette femme était faite comme lui, et c'était dans un cadre comme celui la qu'il aimerait la demander en mariage. Mais en grand timide, il garda bien entendu cette intention pour lui.

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Zack trainait Céleste dans les rues de Milan, un petit sourire aux lèvres. A les voir ainsi, on aurait pu croire que les événements passés ne s'étaient jamais déroulés. La jeune femme était un peu inquiète de l'état de santé du blond mais, à le regarder, celui-ci semblait aller mieux. Heureusement... La roues ne détachait les yeux du ciel, n'ayant pas vu depuis de nombreux mois me soleil italien. Il était si beau, elle ne s'en lassait pas.

D'ailleurs, cette dernière était impatiente de voir quel restaurant son professeur allait choisir. La jouvencelle avait beau être habituée aux mets raffinés, cela ne la dérangerait pas le moins du monde d'aller dans un établissement plus modeste. Après avoir réservé une table dans un petit restaurant, la demoiselle s'installa en face du philosophe, tout en le fixant, d'un petit sourire. Le cadre était idyllique pour une demande en mariage. Pour taquiner Zack, l'italienne s'écrira, d'un un air sérieux :

- Vous n'avez rien à me dire ?

Tout en venant tenir sa tête, la demoiselle poursuivit :

- Vous m'accompagnerez faire les boutiques ? J'ai besoin de nouveaux vêtements ?

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Lui dire quelque chose ? Le blond se mis à rougir. Avait elle entendu ses intentions ? Impossible, son pouvoir ne lui permettait pas de lire dans les pensées mais de... Mais oui ! Son pouvoir, il est vrai qu'elle l'avait utilisé tout à l'heure alors que c'était formellement interdit. Mais après tout, elle lui avait sauvé la vie grâce à ce dernier.

- Vous savez... Vous m'avez sauvé. On verra quand on rentrera au pensionnat, je ne suis pas votre professeur ici. Peut être vous mettrais-je une heure de colle, avec moi évidement.

Soudain, la jeune fille attrapa son visage entre ses mains, la température du jeune homme grimpa d'un coup. Surement un effet secondaire de la drogue, mais aussi une réaction à la grande beauté de la jeune femme. Il avait toujours eu un petit faible pour les rousses, il avait vraiment trouvé la petite amie parfaite. Elle était drôle, intelligente, rousse et belle. Il ne la connaissait pas encore assez pour connaitre ses vrais défauts, mais après tout, tout le monde en a. Le jeune fille le sortit de ses pensées en lui proposant d'aller faire les boutiques. Cela ne dérangeait pas le blond, mais il ne pourrait très surement rien lui offrir. Peut être un petit châle, mais encore... Ah ces couturiers, ils sont si fous.

- Très bien, j'espère qu'ils me laisseront rentrer dans les boutiques.

Il ria légèrement. Peut être que lui de son côté pourrait trouver une petite boutique qui propose de beaux articles, avec des prix raisonnables, afin de faire plaisir à Céleste. ils payèrent leur repas, non sans mal. En effet, le professeur eut du mal à donner les bons billets à la pauvre serveuse, ce qui eut don de faire rire la rousse. Pas évident de payer quelqu'un quand on ne connait pas les chiffres, et en bon gentleman, il ne voulait pas que la jeune femme ait quoique ce soit à voir avec le payement du repas. Après avoir bien rit, ils partirent du restaurant.

- Ces lasagnes étaient merveilleuses, je n'en ai presque jamais mangé d'aussi bonnes.

Si, celles de sa mère étaient tout aussi parfaites, mais il ne pouvait plus les manger. Le jeune homme perdit légèrement son sourire, mais il essaya de ne pas le montrer à le jeune femme. Allons Zack, tu as pourtant fait ton deuil depuis longtemps. Il fallait croire que non. Pour se consoler, il attrapa la main de Céleste et la serra délicatement. La chaleur qui s'en émanait était si rassurante. Apposant un léger baiser sur les lèvres de la rousse, le professeur se laisser trainer dans les rues de Milan.

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Celéste ne pu s'empecher de rire lorsque Zack rougissa. Cette couleur écarlate lui allait à ravir. D'ailleurs, ce dernier changea immédiatement de conversation, et lui parla de l'utilisation de son pouvoir. La demoiselle n'espérait pas vraiment récolter une heure de colle mais, autre chose. La jouvencelle vint jouer avec l'une de ses mèches de cheveux, avant de lancer un air agguicheur au joli blond :

- Et... Que feront nous durant cette heure de colle..?

Soudainement, la rousse prit le visage de Zack dans ses mains, et le fixa longuement. Il avait tout du petit ami parfait, celui-ci était passionné par la littérature, l'art, et n'était pas dénué de charme. Loin de là. Le philosophe était l'homme idéale pour l'italienne, bien qu'il devrait parfois faire face aux avances de cette dernière. L'adolescente lui proposa de l'accompagner faire quelques achats, afin de récolter quelques compliments de la part du blond. Zack accepta mais, n'était pas sur se pouvoir entrer dans les boutiques. Dans un petit rire, Céleste répondit :

- Ne vous en faite pas, je ferais en sorte que vous puisiez entrer...

Lorsque le professeur eut payer le repas, la rousse le traîna dans les rues de Milan, à la recherche de sa boutique favorite. Elle n'attendait aucun cadeau de la part de son petit ami cependant, elle comptait bien lui en faire un. Un jean, probablement. Il n'en avait pas beaucoup, mais cela lui allait à ravir. Regardant Zack d'un air amusé, la donzelle se mît sur la pointe des pieds, et essuya la sauce tomate au coin la lèvre de son petit- ami :

- A croire que ses lasagnes étaient si délicieuses...

Après quelques minutes de marche, les deux tourtereaux arrivèrent à la boutique préférée de Céleste. Les articles étaient hors de prix, mais peu n'importe lorsque l'on a la carte de crédit de son père. L'italienne essaya de nombreux vêtements, en espérant qu'ils plaisent à son professeur. Elle voulait être la plus jolie possible pour lui. La rousse profita de l'inattention du philosophe afin de lui acheter son jean, le sourire aux lèvres.

- Y'a t-il un endroit en particulier que vous voudriez voir ?

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Le jeune homme se mis à sourire, il est vrai que se retrouver seul en colle avec la jeune fille était tentant, mais il fallait rester professionnel.

- Nous ferrons des lignes pendant cette heure de colle, à quoi pensiez vous ?

Il caressa délicatement sa joue, amusé de l'avoir un peu déçu. Évitant son regard implorant, il se mis à réfléchir à un endroit où ils pourraient aller pour faire les touristes. Ce n'était pas évident, Milan regorgeait de lieux aussi beaux les uns que les autres. Il fronça légèrement les oursins et pensa. Machinalement sa main s'était perdue dans la longue chevelure de la jeune fille; ses doigts s'entortillèrent autours de ses mèches couleur feu.

- J'aimerais bien visiter le Dôme, c'est un site très intéressant, et ce style gothique ! J'adore !

Et au moins avec la jeune femme, il pourrait s'exprimer comme il le voudrait, laisser ses sentiments prendre le dessus ! Enfin une jeune fille qui comprenait ce que représentait l'art ! Il sourit de plus belle à Céleste, il avait hâte de se faire guider dans les rues de la ville à son bras. Peu à peu, le jeune homme retrouvait son âme d'enfant. Les enfants, c'était quelque chose dont il n'avait jamais vraiment pensé, mais peut être que quand Céleste aura fini sa scolarité, ils pourraient essayer d'en avoir. L'allemand avait cependant peur d'aborder ce sujet avec sa belle, de peur de la brusquer ou de l'effrayer. Jamais il n'avait pensé à l'avenir comme ça, mais la rousse était celle qui lui était destinée.

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