LIVE. LOVE. SURF. ✌ ☺ || PV Artus

SURF

Chaud, chaud, chaud. Il faisait chaud. Tellement chaud que c'en était insupportable; impossible de rester à l'intérieur. C'était pour ça qu'en cette belle journée de juillet, j'étais à la plage depuis au moins 10h du matin avec des amis. Mais maintenant, il était quatre heures de l'après midi; plusieurs étaient repartis et la chaleur était encore pire. Je me promenais sur le bord de la plage, le vent chaud et humide me traverse, j'ai pas froid, c'en est chiant à force. Et puis on commence à s'emmerder. Donc je marche, bouteille de Jack Daniel's à la main et planche de surf sous le bras, j'ai pas vraiment froid, dans mon t-shirt et mon bas de maillot de bain. Parce que oui je surf. Mais avec la température habituelle ici, tu peux pas en faire souvent, de plus, la mer est quasiment toujours glaciale malgré la température qu'il fait dehors. Puis c'est pas juste ça. Déjà, je sais pas vraiment surfer et je peux pas m'améliorer en me pratiquant quasiment jamais et avec personne parce que les seuls surfeurs qu'il y a ici sont aussi nuls que moi pour ne pas dire pire.

Donc je me dirige vers la mer. Et j'aperçois. THE bg. Blond, 1m85, qui surf là-bas au fond. En plus, il surf bien. Et il a des tablettes, hihihi. Donc je l'observe de loin, m'approche de lui dès qu'il finit.

-Hellooo. Je t'ai jamais vu ici, tu viens souvent ? Tu surf bien à ce que je vois. Sourire. Technique de drague 101 pls. Non mais. Il surf bien, ok. Cey vrai je dis pas ça pour faire genre.

Hello t'es sexy. Dis moi que t'es au même pensionnat que moi, hein, sinon je te tape. T'es obligé. Je plante ma planche de surf à côté de moi et le regarde.

-Moi c'est Holly ou Katelyn, mais tu peux m'appeler Kate. J'suis à Prismver, et toi ? Alleeez, dis que tu vas m'aider à surfer, hein que tu vas m'aider ? Ceci est une excuse pour passer du temps avec toi.

✖ SALT IN THE AIR SAND IN MY HAIR U'RE SEXY CAN I KISS YOU

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HOLLY & ARTUS

Immobile, tu te sens comme une méduse échouée sur la plage, le dos brûlé par le sable, la rétine agressée par le soleil. Tu souffles, ton avant-bras venant s'écraser sur tes yeux, dans le vain espoir de te protéger. Quelques minutes que t'étais là. Et tu n'en pouvais déjà plus. Dans un grognement, tu finis par te redresser, balayes les alentours du regard. Cette plage, habituellement, tu n'y vas jamais. Et tu comprends mieux pourquoi, maintenant. T'aurais pu te contenter de te foutre dans ta cabane, de brancher un ventilo et de suivre le mouvement comme un con – en gros, comme l'été précédent. Mais non. T'étais là, seul, avec ta planche de surf. Un regard pour cette dernière. Tu la saisis sans plus attendre, et t'enfonces finalement dans l'eau.

Silencieux, tu guettes tout d'abord la mer, assis sur ta planche, tes mains plongées dans l'eau te faisant avancer à une lenteur plus que respectable. Et tu trouves bien vite satisfaction. Tu t'allonges donc pour pouvoir user de tes bras, commences à ramer, et lorsque tu te sens soulevé par la première vague, tu esquisses un sourire. Dans des gestes maîtrisés - plus ou moins -, tu te redresses sur ta planche, les jambes fléchies, et glisses sur l'eau sans problème. Un véritable plaisir. Un rapide coup d’œil à la plage, et tu aperçois un groupe de personnes d'à peu près ton âge, plus loin. Aussitôt, tes sourcils se froncent.

Au bout d'une trentaine de minutes, tu regagnes la plage, planche de surf sous le bras, ta main passant automatiquement dans tes cheveux humides - bah, ils sècheront vite. Et à peine redresses-tu la tête que tu croises le regard d'une brune, juste en face de toi. Surpris, tu hausses un sourcil.

« Hellooo.
- 'Lut.
- Je t'ai jamais vu ici, tu viens souvent ? Tu surf bien à ce que je vois. » Ok, elle te regardait. Hum. Doucement, ta tête se penche sur ta droite, avant que tes lèvres ne s'étirent en un large sourire. « Non, jamais. Et merci. »

Tu l'observes planter sa planche dans le sable, la détaillant sans retenue. T'as comme une impression de déjà vue. Alors tu cherches dans le peu de mémoire dont tu disposes, t'humectant les lèvres. « Moi c'est Holly ou Katelyn, mais tu peux m'appeler Kate.
- Artus. » Pas la peine de préciser que ton second prénom, c'est Théodore.
« J'suis à Prismver, et toi ? »
Tu as ta réponse. A la simple entente du mot prismver, tu redresses la tête, et souris d'une manière clairement enthousiaste. Il faut dire, elle semble plutôt sympathique comme fille - et elle est loin d'être repoussante, m'enfin.

« Aussi, en classe E. Et toi? » Plus qu'à espérer que ce ne soit pas une A chieuse et obnubilée par la hiérarchie des classes, prête à te cracher dessus parce que t'es dans la pire - cliché, mais en général, t'apprécies pas des masses les A -. « Et tu surfes aussi, apparemment. » Tu indiques brièvement sa planche du menton, reportant ton regard sur elle. « Tu débutes, ou...? »

SURF

-Aussi, en classe E. Et toi?
-D.

Un E. Au moins, maintenant, on est sûrs que ce sera pas un chieur qui va tout rapporter en mode porte-panier. Et même si ça l'était, personne le croirait. #BAM Oui oui, parce que quand je connais quelqu'un, cette personne doit au moins supporter toutes les bêtises que je fais, sinon ça marche pas hein on s'entend. C'est pas pour rien que je me tiens généralement qu'avec des D ou des E. (Comment ça mauvaise influence ?) Mais je dois avouer que certains A sont plutôt sympa, comme Crystal ou encore Victoria. (tagged: FEMME, wifey, parfaite, nous=mariées, parfaite, femme de mavi, parfaite.) - Malgré ça je soutiens mon argument, la plupart se croient supérieurs; juste parce qu'ils contrôlent mieux leur pouvoir.

-Et tu surfes aussi, apparemment.
-Enfin, avant. Là je reprends, doucement. Mais avec la température d'ici, hein..

C'est pas comme chez moi. C'est pas comme à Miami. Ici, il pleut, il neige ou il fait super chaud d'un seul coup, comme aujourd'hui -pas de in between.- Mais on se plaindra pas, au moins aujourd'hui on peut profiter de la mer, on se gèle pas le cul dehors et l'eau est bonne. Et tu te plaints pas quand tu rencontres un blond comme ça. Bon okay, ma gueule. J'avoue que je ma plaindrai pas dès qu'il y a une forme de vie quelconque ayant des couilles dans mon champ de vue.

-Par-contre, toi, je suppose que t'en fais depuis un bout, non ? Sourire jusqu'aux oreilles, battements de cils comme dans les dessins animés, je prend ma planche devant moi et penche légèrement la tête. -Doooooonc tu pourrais m'apprendre, non ? alleez dis oui. Je te tiendrai pas longtemps, tu pourras partir après. À moins que tu t'en ailles maintenant. Mais personne ne part dans cette chaleur. C'est juste pour lui laisser l'occasion de fuir s'il veut. Avant qu'il ne soit trop tard, que je devienne pote avec et le harcèle tous les jours. Fille gênée et réservé que je suis. lol.

Je tiens pas 20 secondes sur ma planche. Hihi.

✖ ALL I KNOW IS WE SAID HELLO

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HOLLY & ARTUS

Une D. Énorme soulagement. Qui est tout simplement flagrant, trahi par ton sourire plus large que de raison. T'aimes bien les D. C'est la classe que tu fréquentes le plus, si l'on exclue les E. Tu es donc on ne peut plus satisfait. Et elle ne tarde pas à enchaîner sur le fait qu'elle reprend doucement le surf, en faisant allusion au temps et aux températures de merde d'ici. Tu ne peux qu'approuver ces dires, étant donné que te prélasser au soleil régulièrement te manque un peu. Ça, et le réseau. Non, vraiment, Prismver est mal foutu.

« Ouais, c'est pas évident, l'emplacement de l'île est assez merdique. » Ça venait du cœur. « Par-contre, toi, je suppose que t'en fais depuis un bout, non ?
- Si on veut.
- Doooooonc tu pourrais m'apprendre, non ? alleez dis oui. Je te tiendrai pas longtemps, tu pourras partir après. À moins que tu t'en ailles maintenant. »

Tu l'observes, surpris. Tu ne t'attendais pas à ce qu'on te demande ce genre de service un jour. Alors tu esquisses un bref sourire, et émets un léger rire, amusé à l'idée de t'improviser professeur de surf. Haussement d'épaules.

« Pourquoi pas, je suis pas pressé. Mais franchement, » doucement, tu commences à t'avancer vers la mer. « je suis pas un pro, donc pense pas le devenir avec moi. »

C'est on ne peut plus clair. Mais tu préfères ne pas la laisser espérer devenir une véritable championne avec toi comme enseignant. T'es déjà pas des plus doués en terme d'explications, alors en sachant que ce n'est pas spécialement ton domaine – plutôt la boxe et l'escrime –, tu ne pourras pas faire de miracles. Une fois les pieds dans l'eau, tu te tournes vers elle, et te contentes d'un mouvement de tête évasif, lui intimant de te rejoindre.

« Montre moi déjà comment tu t'en sors sur une planche. »

Elle s'exécute, et tu te contentes de l'observer. Ton sourire figé. Bon. Étant donné qu'elle en a déjà fait, tu ne pensais pas qu'elle galérerait autant. Et pourtant, c'est bien elle qui vient de s'écraser dans l'eau, à l'instant. Quelques secondes de silence. Et tu éclates de rire, sans la moindre retenue. T'es pas du genre à faire dans la dentelle. Alors tu chevauches ta fidèle planche de surf et vas la rejoindre, ton plaisir non dissimulé. Une fois près d'elle, tu lui adresses un petit sourire railleur mais néanmoins amical. « T'es nulle en faite. » Ça, c'est dit. Tu lui tends une main et l'aides à remonter sur sa planche.

« On essaie de s'en prendre une à deux, ok? »

SURF

-Montre moi déjà comment tu t'en sors sur une planche.
-OKAY.

Well, shit. Comment dire; ça fait euh, environ deux ans que j'ai pas touché cette merde alors bon. FINE. Je prends ma planche et m'avance un peu dans l'eau plus profonde, puis je prends mon équilibre et me lève. 15 secondes. Well, ok j'ai oublié UN PEU comment faire. D'accord, je sais plus rien faire. Mais ça va revenir. Je remonte à la surface de l'eau et agrippe ma planche de surf de mes deux mains en toussotant et en recrachant l'eau que j'avais ingurgitée en tombant.

-Fucking hell.
-T'es nulle en faite.
-En effet. Sourire en coin, je met ma main sur mon front pour me faire de l'ombre. Putain c'est que ce soleil est chiant en fait. J'agite ma planche et la ressors un peu de l'eau -TU VOIS, ÇA ? J'y ai pas touché depuis au moins deux ans. Y'a encore les tags dessus. Je pointe les écritures sur la planche -oui c'est un souvenir- des prénoms, des messages, et un gros "MIAMI 2011-2012" en rouge et en plein milieu, sont inscrits. Le surf ça a jamais été une passion non plus. Juste un passe-temps, que tu pratiques surtout si t'habites près de la mer comme moi, avant. De toute façon, je préfère mieux la boxe et la danse.

-On essaie de s'en prendre une à deux, ok ? Il me tend la main pour que je remonte. J'hoche la tête.

J'essaie de tenir debout alors que les vagues se font de plus en plus puissantes, je perds l'équilibre plusieurs fois et je retombe; mais chaque fois après plus de temps jusqu'à ce que je puisse bien tenir un bon deux-trois minutes. CEY TRÈS BIEN COMME ÇA OK. Et c'est comme ça que, sans qu'on s'en rende compte, il était déjà cinq heures.. Pourtant j'aurais juré que ça ne faisait même pas une demi-heure qu'on était là. Bon okay j'avoue, j'ai une notion du temps complètement merdique mais bon. Maintenant, j'avais faim et mon estomac me le faisait savoir en se manifestant -sous la forme du son qu'une baleine échouée sur la plage émet. lul.-

-Oh mon dieu, il est déjà cinq heures. J'ai faim. TU VIENS ? On va s'acheter une glace là-bas. Je pointe le stand de glaces au loin. -Non en fait, je vais nous acheter des glaces & t'es obligé d'accepter. Sourire qui montre toutes mes dents bien blanches, je le prends par la main et je le tire jusqu'au stand de glaces. Arrivés devant, je fais volte face et je le regarde. -Hum. Tu choisis d'abord. Me connaissant, ça va me prendre trois ans à choisir alors hin. Après qu'il ait prit ce qu'il voulait, je reste encore deux minutes à faire mon choix. Menthe-chocolat ou caramel écossais ? VANILLE FRANÇAISE OU SORBET AUX FRUITS ? Cornet en gaufre-chocolat ou gaufre-vermicelles ? oh mon dieu, pourquoi. Enfin de compte je me décide à filer un billet de cinq au vendeur pour payer les deux glaces, j'ai fini par prendre la glace au caramel en me demandant vraiment si j'ai fait le bon choix. NE TE RETOURNE PAS HOLLY. Si je me retourne, je vais regretter et aller en racheter une autre je me connais. nooo. Je viens déposer ma planche par-terre et m'assois dessus en tapotant la place à côté de moi pour inviter Artus à venir faire de même. So classy me direz-vous. MAIS CHERS PAYSANS, sachez qu'à la plage on ne trouve pas de meubles. Je vous apprends un truc hin ?

-Alors alors alors. TU APPRÉCIES LA PLAGE ? TU APPRÉCIES TA GLACE ? LE COUCHER DE SOLEIL ? D'après ton accent, t'as l'air américain. T'ES D'OÙ ? tell me more 'bout uuu baby. Oui, je dois bien dire quelque chose, sinon le gros silence awkward va s'installer et on pourra plus rien y faire sous peine de rendre ça encore plus malaisant.

Putain, c'est qu'il commence à faire un peu froid tout à coup. C'est surtout quand t'es encore mouillé et que ça te refroidit dessus. J'ai froiid.

✖ COLD HANDS WARM HEART ♔♚

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HOLLY & ARTUS

Elle t'a pris la main et vous avez surfé. Au début, t'essayais de la maintenir sur sa planche lorsqu'elle commençait à se balancer un peu trop dangereusement. T'as vite arrêté en constatant que tout ce qui se passait à ce moment là, c'est que vous tombiez tous les deux comme des cons. Donc tu t'es contenté de lui donner les directives, tranquillement assis sur ta planche pour plus de sécurité, étant donné que tu agonisais de rire à chaque chute. En gros, t'as ri tout le long. T'avais beau gueuler la manière dont elle devait se lever, t'entendais toujours son corps rencontrer violemment la mer. Jusqu'à ce qu'elle arrive à tenir une à deux minutes debout. Mine de rien, c'était déjà pas mal. Alors tu esquisses un sourire, limite fier de toi, alors qu'au fond, toi même tu sais que t'as été que moyennement utile - ouais bon t'as fait de ton mieux.

« Oh mon dieu, il est déjà cinq heures. J'ai faim. TU VIENS ? On va s'acheter une glace là-bas. Non en fait, je vais nous acheter des glaces et t'es obligé d'accepter. »

C'est fou comme une heure semble énorme pour elle. Mais toute réflexion se stoppe lorsqu'elle évoque la nourriture. Ok. PAS DE SOUCI. Elle parle même de payer le tout. Ok. ...PAS DE SOUCI. Non, tu es un parfait gentleman, merde. Un gentleman fauché, certes. Et quelque peu profiteur dans certaines circonstances. Comme celles-ci. Soit.

« C'est bien parce que t'y tiens hein. »

Et si convaincant avec ça. Elle te sourit - et tu réalises que les publicités pour dentifrice ne sont pas truquées. Et sans que tu ne t'en rendes vraiment compte, tu arrives devant le stand. « Hum. Tu choisis d'abord. ». Au diable le gentleman, tu n'essaies même pas de la convaincre du contraire. Alors tu parcours les divers parfums des yeux. Et tu prends citron. Avec une originalité de folie. Certes, mais ça rafraîchit au moins. Et t'emmerdes le monde. Ta glace servie, tu t'apprêtes à jeter ta langue dessus, mais là, c'est le drame. Elle hésite. Deux minutes. Et ces deux minutes, tu les as passé à fixer ton sorbet avec des yeux qui veulent dire "bordel ça foooonnnnd". Parce que tu pouvais au moins faire preuve de bonne manière une fois dans la journée. Son choix fait, tu entames avec une rapidité déconcertante ta glace, et t'affales à côté d'elle, sur sa planche allongée dans le sable.

« Alors alors alors. TU APPRÉCIES LA PLAGE ? TU APPRÉCIES TA GLACE ? LE COUCHER DE SOLEIL ? D'après ton accent, t'as l'air américain. T'ES D'OÙ ? tell me more 'bout uuu baby. »

Tu t'arrêtes net, tournes la tête vers elle. T'as jamais été si peu bavard. Tu commences à comprendre pourquoi les personnes à qui tu parles le sont tout autant. C'est impossible d'en caser une. Alors tu daignes lâcher la bouffe quelques instants. « Tu parles putain de vite. ». Non, vraiment, c'est impressionnant. C'est comme se rencontrer en version féminine. À quelques détails près. Alors tu souris, simplement.

« Bon j'ai assimilé que ta dernière question, tu m'en voudras pas. Je viens des États-Unis. Dans un coin paumé, pas trop loin de Washington.. Je suppose que t'es américaine aussi? Y a que de ça, de toute façon. »

80% de la population prismverienne est américaine, le saviez-vous. ...Cette domination, ohoh. Mais alors que tu jubiles à cette idée, ton regard se pose sur le bras de la brune. La chaire de poule la trahi comme elle t'a toujours trahi. Fourbe. « T'as froid? ». Silence. « Ok, question conne. ». Silence². « Ah mais ouais, attends! ». Tu te relèves en toute hâte, manques au passage de te prendre la planche, et reviens au bout de cinq minutes étrangement sans glace - la pauvre n'aura pas fait long feu, mais avec un t-shirt, certes ensablé, ainsi qu'un jeans dans le même état.

« Je sais que c'est décevant mais je suis pas venu sans fringues. ». Un petit sourire, et tu lui lances ton haut, haussant les épaules. « C'est pas une veste en cuir super confortable et réchauffante, mais c'est mieux que rien. ». Cette scène est d'un romantisme à toute épreuve. Et elle le serait encore plus si elle te sortait que elle, par contre, en avait une à deux pas de là. Comme quoi, il peut toujours y avoir pire.

hrp ; omg le retard. pardooon ;w;