Le monde d'une geek [Séona L. MacAlister]

Un beau samedi matin où j'aurais aimer faire autre chose que de réparer un ordinateur dans un club vidéo. mon ami qui y travaillais le week-end avait cassé son ordi de travail. dès que j'y fût je poussais mon ami, fit craquer mes doigts et me mit a taper. Il avait réussi à faire planter tout l,ordinateur et effacer tout les programmes. Je lui foutu une claque derrière la tête et commençais à réparer l'ordi du club vidéo. Comment il avait fait pour faire cette connerie, je ne le savais pas et je voulais pas le savoir. tout ce que je savais c'est que ça pourrais me prendre trois jours à réparer tout ça et ramener tout les dossiers du club vidéo en place et lui éviter la catastrophe. Marmonnant en gaélique plein d,insulte s'adressant au connard qui n'arrêtait pas de me remercier d'être venue. Je levais les yeux un moment et vit un homme qui ressemblait étrangement au professeur de maîtrise de pouvoir. Arrêtant de regarder l'écran et de taper sur le clavier j'ouvrit ma bouche d’écossaise et dit:

« Monsieur Wargrave ? »

En espérant recevoir une réponse je continuais a fixer l'homme qui semblait cherché un film.

Quand je le vit ce retourner et dire mon nom avec un peu d’hésitation je fit un infime sourire et lui dit :

« C’est en effet mon nom !»

Mon regard était brillant mais mon visage de marbre. C’était quelque chose de normal chez moi, je devais répondre ainsi à ça deuxième question qui était sois mon job ou de l’aide bien vite je lui est répondue que c’était que je portais secours à mon imbécile d’ami qui ne savais pas comment utiliser un ordinateur et qui l’avais simplement briser. Tout en lui disant ceci je fini par réussir à réparer l’ordinateur, mais remettre les dossiers en place allais être plus dur.

« Je crois que si vous voulez des films il va falloir attendre un peu … »

Mon visage restait inexpressif et mes yeux rivé sur l’écran. Il fit un regard déçu et me dit à quel point il avait hâte de regarder ses dvds. Un soupir d'énervement m’échappas  et je tournais un regard sévère vers le professeur. Stoppant mes doigts sur le clavier avec claquant mes ongle sur le comptoir, je ne fit que lui dire cette petite phrase:

« Ne faites pas ce regard déçu ça n'arrangeras aucunement les choses. Normalement ses choses demande un temps fou ... »

Reprenant mon sac à main et mon ordinateur portable je dit à mon ami que j'avais terminer. Lui donnant un câlin je portrait un dernier regard inexpressive à ce professeur et lui dit:

« En passant vous avez des films en retard .. »

Puis je partie sans me retourner. Un bon samedi tout à fait normale je suppose.