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 I don't know where our reality is •• harsène

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MessageSujet: I don't know where our reality is •• harsène   I don't know where our reality is •• harsène 1400359500-clockJeu 18 Sep 2014 - 23:08

Ca durait déjà depuis quelques temps. Ce manège, ce voyage entre deux univers, ce jeu malsain de plaisirs et d’intérêts. T’avais pas l’habitude de ça. Ce genre de choses, c’était pas pour toi, ça l’avait jamais été, t’avais toujours considéré ça comme les actes d’un autre monde. Un monde qui n’était pas le tien. Et pourtant, t’en avais visité des mondes, pourtant, t’avais vu des choses que personne ne pouvait se vanter d’avoir observé autrement qu’au travers d’un écran et de quelques couches de montage. T’avais expérimenté des choses Hadès, mais celles-ci étaient peut-être les dernières auxquelles tu espérais avoir à faire. Mais, étrangement, ça ne s’était pas révélé déplaisant. Tu t’étais découvert un certain plaisir, une certaine addiction ; t’avais réveillé une autre part de toi. En réalité, il serait plus judicieux de dire qu’elle avait réveillé cette part de toi.

Chicago Arsène Peters. Elle faisait tant parler d’elle, malgré son statut de professeur, que ton cerveau avait trouvé les informations à son sujet presque instantanément. Enseignante en B, t’avais compris seulement en la croisant dans le couloir pourquoi tu avais de la chance de ne pas l’avoir. Elle avait cette attraction Arsène, cette magie contre quoi le plus puissant des cerveaux ne pouvait rien. Tu sais pas vraiment ce qui t’avait motivé à combattre ça, peut-être le fait de voir le contrôle de ton corps s’échapper, peut-être le fait de ne pas dominer cette bataille intellectuelle contre tes propres instincts - t’en savais rien. Ce qui est sûr, c’est que tu avais décidé une chose, dès lors que vous aviez passé ces premiers instants ensemble, dans cet échange charnel indescriptible : tu ne laisserais jamais Zelda approcher de cette femme.

Pourtant, t’avais tenté des choses. T’avais posé des limites, décidé de jouer sur ton propre terrain. Transportés dans le monde parallèle que tu connaissais par coeur, loin de tout dérangement, libre d’exercer ta propre juridiction, t’avais écouté ses revendications, ses désirs, cette envie de changer. T’avais bien compris qu’elle cherchait l’intérêt et que ça n’irait pas au-delà, fait barrière à ton côté primate dans l’espoir d’être imperméable à chacun de tes désirs. Elle avait beau être une professeur de maîtrise de pouvoir, tu savais que ton intelligence pouvait t’arrêter avant que les choses déparent. Le pouvoir de la logique, au-delà de celui des désirs.

Mais cette envie s’était révélée plus forte que tout.
T’avais beau y faire, cette attraction était irrésistible. Elle caractérisait l’humanité que tu t’efforçais de repousser, les faiblesses qui surpassaient toute cette logique à laquelle tu te fiais. C’était l’unique variante dans l’équation de ta vie, l’unique chose qui était en mesure de te faire déraper. C’était ce que tu craignais depuis toujours, et ce qu’elle arrivait sans aucune peine à exploiter. Elle semblait y prendre plaisir et, à la longue, t’avais fini par arrêter de lutter. Ce désir sans nom qui allait au-delà de ton anxiété, ces longs moments indescriptibles qui menaient à mal ton cerveau et te rendaient si ordinaire. Si humain. Si banal. T’avais l’impression d’être un parmi tant d’autres, et ça, c’était quelque chose que t’avais pas pu accepter.

« C’tait rapide, je me savais bogoss, mais là… »

Des mots susurrés dans un élan d’ironie, un sourire narquois pour ponctuer cette profonde frustration. Vous étiez sûrement les deux éléments à mettre ensemble, tant vous étiez similaires. Tu maudissais ces moments d’égarement, t’efforçais en vain de rester maître à chaque instant, pourtant incapable de sacrifier ce plaisir. Et puis il y avait ces souvenirs, ces secrets qu’elle avait commencé à énumérer, et ça t’avait redonné contenance. Le seul à savoir. Et ça devait rester ici.

Tu t’étais senti revivre, comme unique, indispensable, important, et ces moments avaient prit une autre tournure. Un autre sens. Humour, sympathie, une once de lien, peut-être, au-delà de vos intérêts respectifs. Avec elle, tu étais humain.

« J’suis même pas sûr que t’aies besoin du pouvoir. » glisses-tu avec un sourire entendu en ôtant ta veste.

Et pourtant si, plus que jamais. Parce que dès lors que la magie cessera de te faire tourner le cerveau, tu serais capable du meilleur comme du pire. Au-delà de toute cette illusion d’attachement que vous avez créé - ce monde, comme ces envies. Cette affection.
PV. Arsène • Début septembre • mediumpurple
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MessageSujet: Re: I don't know where our reality is •• harsène   I don't know where our reality is •• harsène 1400359500-clockVen 19 Sep 2014 - 19:33


I don't know where our reality is
Lust. C’est le surnom que l’on t’avait attribué, que tu t’étais attribué. Tu ne sais plus très bien exactement quand tout cela a commencé. Quand le monde a commencé a changer, quand t’as commencé à tanguer. A couler doucement pour mieux t’élever. Tu évolues au milieu des autres, si visibles et pourtant, si transparente. Tu te force à garder la place que tu as décidé de prendre. Tu t’obliges a ne pas baissé les yeux de ce point que tu t’es décidé à atteindre. Il est la, ton monde. Il est la et il respire le fantasme, la passion, le mensonge. L’indifférence. Entends-tu le tintement des parois de verres à chaque petit pas en dehors ? Sens-tu ce vent dangereux qui fait trébucher les funambules ?  Plaque le rouge sur ces lèvres qui ne savent pas embrasser, défroisse la jupe qu’ils ont abîmée. Cache les bleus que tu t’es vu infliger.

Tu t’en fiches, tu t’en moque. Bientôt ils viendront en redemander.
T’es ridicule, Arsène.

Redeviens la femme forte. Redessine illusion que tu crois maitriser. Tu vas parfaire un nouveau décor. Tu as rendez vous avec l’absence. Tu vas recadrer l’univers sur une version bien plus parfaite de ta petite personne. Hadès, Hadès. Vient, on va arranger tout ca. Ne demande rien. Pas une question. Soit juste là. Soit juste l’échappatoire qui devient chaque jour un peu plus indispensable. T’avais monté un nouveau plan, t’avais façonné un nouveau projet. Et il avait était la clef de celui-ci. Tu avais battues des cils, tendrement. Tu avais souris, doucement. Et tu avais déclenché les passions. L’attraction. Viens Hadès, je vais te montrer. Viens Hadès, je vais t’apprendre. Viens, découvre, et dévore. La raison ne te sera d’aucune aide. Les barrières n’ont pas lieu d’être, les barrières n’ont même jamais existé. Alors Installe confortablement tes mains sur mes hanches, je vais te le prouver.  C’était un début comme tant d’autre début a tes cotés. Pas les prémisses d’une histoire d’amour. Rien de toutes ces choses la, juste une distance à réduire entre lui et toi. Juste un manque a atténué jusqu’au prochain jour ou vous vous posséderez.

Créer pour moi Hadès.

C’est un rôle particulier, une demande sans trop de sens. Un pouvoir que tu lui as donné. T’as formulé les choses avec un ton bien moins calme que tout ce qui peut pourtant te concerner. C’était le avant, c’était l’enfance loupé. La femme abimée que tu voulais délaisser. Il était l’aide dont tu avais besoin pour y arriver. Pas de pitié, pas de tape dans le dos, pas de baisé amoureux sur l’oreiller. Rien de tout ca, juste des ordres a exécuté. Prend mon corps Hadès, jette l’esprit. C’est ça le contrat qu’on a inscrit. Il y a moyen de s’arranger non ? Jusqu’ou tu peux aller. Jusqu’ou je peux aller. Qu’est ce que l’on peut vraiment se donner. T’as presque jeté les photos sous son nez. Pas de nostalgie à afficher, ca reste la accroché a ton cœur. Ca reste la. Et ca fane ton être. C’est bien pour ça que tu dois faire appel à lui. T’as pas envie que tes doigts glissent trop longtemps sur le papier plastifier, elles sont déjà trop ternis, ces images la. Ca suffit comme ça. T’aurais même jamais du les sortir de cette foutue boite a chaussure, ca réanime presque ce cœur que tu a pourtant su achever.  C’est le passé Hadès, j’en veux plus. Mais j’peux pas m’en séparer. J’arrive pas. Les bruler ça suffire pas. T’aurais put demander, aide moi, Hadès. Mais les gens de ton rang ça ne demande ces choses la. Et ceux du sien n’écouterais pas. C’est pas un gentil petit service. Non. On s’apprivoise. On se sert l’un de l’autre. On s’aide pas. On s’aime pas. C’est comme ça que l’on peut encore avancer. Compter sur personne. Jamais. C’est la règles, toi aussi tu le sais, pas vrai ?

C’est presque sentir l’odeur de bruler qui sort du four. C’est presque entendre la voix de ton père. La déception qui arrivera dans quelques années. Te revoilà, putain d’enfance, vous revoilà, les belles années. Bienvenue, putain d’innocence.

Pas besoin de pouvoir hein ? Elle a toujours besoin de son pouvoir, Hadès. Toujours. Parce qu’elle n’est pas désirable une fois le charmes rompu, elle n’a plus rien d’une femme. Elle n’est plus que la gamine qu’elle va te faire rencontrer. T’es prêt à visiter ? Viens rencontrer les horizons, on va parfaire cette maison. Tout enfermer. A tout jamais. Elle te laisse les clefs d’un monde qu’elle a anéanti, pierre par pierre. Tu vois, c’est le chemin jusqu'à cette image d’elle qui se niche dans tes bras. Qui embrasse ton cou.

«  Tu crois, Chéri… ? »

Et c’est le don que l’on active de plus belle alors que les doigts remontent sur le torse. Elargi le sourire, Arsène. Oublis le malaise que provoque ces lieux. Hadès, son don, c’est sa sécurité, son don, c’est le poison qu’elle infiltre dangereusement dans tes veines. Pour que tu ne partes jamais. Elle a besoin de toi, Hadès. Alors reste-la. C’est ça qu’elle fait couler sous ta chaire. Possède-moi.

«  C’est a moi de dire bienvenue, tu crois ? On en été ou la dernière fois. Faut arranger tout ça. Encore. »

Laisse tes bras entourés sa nuque, Arsène, laisse le jeu se mettre en place. Ouais Hadès, porte pas trop ton attention sur ce qu’il y a autour de vous. Assemble pas encore tout le puzzle, d’accord ? Tu attrapes sa veste et la fou sur tes épaules, lorsque tu te détaches de lui. Pas besoin de don hein ? Suis la .

Tournes lui le dos Arsène, pour demander ce qui te brule un peu trop la gorge.

«  …La gamine, sur les photos. Tu l’as «  inventé » aussi ? …. »

Cette gamine la. Moi. Qu’est ce que t’en a fait dans ce putain de décor. Est-ce que tu lui as mit des étoiles dans les yeux ? Est-ce que tu lui as fait un cœur plein de rêve ? Raconte Hadès, comment t’as composé l’être que je te livre un peu plus a chaque fois.



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MessageSujet: Re: I don't know where our reality is •• harsène   I don't know where our reality is •• harsène 1400359500-clockVen 19 Sep 2014 - 21:37

Le revoilà, ce monde qu’est le sien, ce monde qu’elle a voulu revoir. La revoilà, cette maison des tourmentes, ce refuge à souffrances. T’y avais consacré toute ton attention et ton intelligence, mais t’avais toujours pas réussi à comprendre ce qu’elle cherchait. T’avais toujours pas réussi à savoir ce que renfermaient ces souvenirs de si spécial pour qu’elle en vienne à te baiser. Au fond, c’était peut-être une logique qui te dépassait, une cicatrice guidée par des sentiments trop lointains pour que tu arrives à les cerner. Elle était fragile Arsène, et ça n’était pas un secret pour toi, certainement parce que tu l’étais autant qu’elle. Et pourtant, dans chaque visite vous n’étiez que deux, à chaque nouveau monde, vous vous découvriez un peu plus dans vos faiblesses respectives, dans l’entièreté de vos êtres.

Deux âmes brisées, essayant de se reconstruire ensemble.

Alors, t’avais fini par ne plus t’intéresser à l’intérieur, à cette maison qui symbolisait autant son passé que les souffrances qui avaient fait d’elle ce qu’elle était. Tu le savais Hadès, tu savais que tu pouvais comprendre tout ça. Tu savais que ta logique, jusqu’à un certain point, saurait reconstruire les rouages de sa vie, retrouver les morceaux de l’humanité qui avaient façonné les expressions sur les visages de ces photos de jeunesse. T’aurais bien voulu savoir, sans doute pour être en mesure de sourire avec arrogance, la toiser d’un air assuré, prédateur, lui faire comprendre l’étendue du contrôle que ces informations pouvaient bien t’octroyer.

Pourtant, une part de toi se refusait à admettre la réalité. Une part se poussait à rejeter cette humanité qui faisait ombre à la tienne, qui menaçait tes désirs. Une part de toi, égoïste, gardait tes yeux rivés sur elle, forçant ton regard à éviter toutes ces vestiges qui vous entouraient. Tu voulais garder ça, ce plaisir malsain, qu’importe où cela vous menait, qu’importe à quel point tout ça pouvait être faussé. T’avais pas besoin de tout ça Hadès, pour la désirer. Au fond, un croisement avec ses iris à couleur de l’océan, un sourire échangé avec ce visage enfantin, ça aurait suffit à faire plier les désirs qui s’emparaient de toi. Au fond, il suffisait d’une pichenette, et ce pouvoir coupait court à toute réflexion, t’enchaînait avec ces envies irrésistible et inassouvies.

La question revient, le même surnom affectif. C’est tout un rôle Arsène, toute une façade qui la protège de toi. Ce sont comme des chaînes qui te maintiennent, une garantie pour sa protection. T’as bien compris tout ça Hadès, et pourtant tu sais bien que sans ça, tu l’aurais bien aimé - t’aurais simplement eu aucun scrupule à marcher sur tes propres sentiments. Mais c’était simplement devenu une addiction, c’était devenu trop fort pour lutter - c’était magique, et ça allait au-delà de ton contrôle. C’était devenu un besoin, une drogue irremplaçable que tu craignais de voir s’envoler - alors t’avais accepté Hadès, t’avais accepté de l’aider. T’avais accepté de servir ses intérêts, de faire dans la normalité, car c’est bien tout ce qu’il te restait.

« Tu crois, Chéri… ? »
« J’crois que tu sous-estimes ton sex-appeal naturel. »

Et c’était difficile de dire jusqu’à quel degré, mais c’était sincère. Les yeux de braise, le sourire que ce don lui scotchait sur le visage, les mots murmurés sous cette épaisse couche d’envie. Tu le sais Hadès, où va ta réalité, tu sais simplement pas si, sans ce don, tu pourras t’empêcher de la détruire. Ta première année ici t’a fait mémoriser cette leçon, celle de ne jamais se délaisser pour les autres. Mais pourtant, ce détachement te semble impossible quand cette nouvelle vague te parvient. C’est un cran au dessus, comme le verrouillage supplémentaire d’une barrière déjà inviolable. Elle ne comprend pas Arsène, qu’il ne suffit que d’elle-même pour le faire plier. Elle ne voit pas, qu’à chaque cran, cette attirance est un peu plus faussée. Alors sa voix fait l’effet d’un chant de sirène, une douce mélodie qui guide ton cerveau déjà éteint par cette magie sans fin - et tout te paraît tellement clair.

Peut-être qu’en définitif, ce don n’était pas l’éveil de tes envies, mais simplement leur prolongement.

«C’est a moi de dire bienvenue, tu crois ? On en été ou la dernière fois. Faut arranger tout ça. Encore. »
« On a au moins un plan de travail.»

Regard posé sur le lit, bien vite absorbé à nouveau par ses prunelles bleutées. Tu penses Hadès, que cet instant t’appartient, que ce deal t’arrange. Tu penses que ces échanges sont tiens, mais tu sais parfaitement comment sont les choses - et c’est seulement quand elle se détourne que la lucidité te revient. Tu rives ton regard sur le plafond, te laisse tomber sur le lit, t’appuyant sur tes mains. Tu l’observes. Même détourné, rien ne change - cette courte distance te permet cependant de souffler quelques instants. Ta langue glisse sur tes lèvres un instant, tes yeux se baissent sur ton pantalon et tu hausses les sourcils devant une réaction maintenant habituelle. Boarf, ça n’a plus rien d’étonnant - tu préfères autant penser que c’est la taille naturelle.

« …La gamine, sur les photos. Tu l’as «  inventé » aussi ? …. »
« Vraiment, j’ai l’air d’un type inventif maintenant ? Désolé, j’agis avec logique et je me base sur ce que tu me dis, si tu veux tout savoir. J’ai pensé chaque millimètre de cet endroit, chaque pixel de ces photos par rapport aux informations que j’avais. C’est mon cerveau qui comble les morceaux manquants du puzzle, et j’ai plutôt confiance en lui. »

Sûrement parce qu’il est ta seule fierté. Tu soupires, lui laisse quelques instants pour observer la place. Autant que possible, tu as été fidèle à la réalité et tu as reconstruit son monde - ce sont non seulement les informations données, mais toute l’observation que tu lui a consacré qui t’a épaulé dans cette confection. T’as mémorisé, analysé, déduit et construit - et quand bien même une part des choses présentes auraient été inexactes, tu savais que la perfection n’était plus très loin. Tu te lèves, vient te poser derrière elle et glisse une main dans cette cascade de cheveux roux, en humant le parfum. Ton visage se glisse lentement près du sien, ton regard posé devant toi - une manière de lui rappeler ta présence, et tu lui murmures à l’oreille.

« J’espère que toi aussi, autant qu’au reste de mon corps. » Sourire amusé. « Si tu me donnais toutes les pièces du puzzle, je pourrai tout reconstruire d’une traite, pas seulement cette chambre… »

Mais bien toute ta vie. Et pourtant, cette phrase ne se ponctue que d'un baiser sur la joue, tes mains venant entourer son corps. Ce désir qui brûle, brûle sans limite, incendie lentement ta raison.
PV. Arsène • Début septembre • mediumpurple
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