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Sujet: Bye bye cabane 10 {Piercy} Mer 14 Oct 2015 - 0:18
Bye bye cabane 10 - Piercy Je poussais la porte de la cabane 10 à grand coup d'épaule et larguais mes sacs à la porte de ma chambre. Il y avait déjà un certain nombre de cartons entassés dans le fond de la pièce, mais la majorité de mes affaires étaient encore plus ou moins bien rangées. Je regardais cet incroyable bazar en soupirant accoudée au mur. Il y avait toujours la boîte contenant les lettres de ma mère. Peut-être étais-je finalement l'occasion rêvée de s'en débarrasser? Un an que j'entassais ces torchons. Je ne pourrais même pas dire pourquoi je les gardais. Après tout, je les lisaient rarement, et quand c'était le cas, ça me mettait dans un état pas possible. D'un autre côté, c'était un de mes rare souvenir d'elle…
Quoi qu'il en soit, ce n'était pas le moment de se poser la question. Piercy n'allait pas tarder et il fallait encore que je me change. "Le décolleté, j'ai donné pour aujourd'hui" songeais-je en repensant à sa réflexion sur mon maillot de bain. J'ouvrais mon placard, sélectionnant un habit pratique et confortable dans lequel je pourrais emballer mes affaires en toute simplicité. J'optais ainsi pour une tunique à manches courte beige et un leggin noir que je revêtis dans la salle de bain au cas où Monsieur se décide encore à rentrer en douce et lâchais mes cheveux. Il se serait retrouvé bien embêté s'il était entré pendant que je me changeais tiens… Avant de retourner à ma chambre, je préparais deux tasses de thé tonifiante. On en aurait bien besoin. De retour dans mon espace, je posais les mugs sur mon bureau et m'attaquais à mes sous-vêtements en premier - histoire que ce fétichiste de la lingerie française ne tombe pas dessus. J' en avais empilé la quasi-totalité quand je commençais à me demander ce qu'il faisait. Lance avait sûrement du faire du forcing pour le faire rester. Assise à côté de mon carton, je fixais la fumée se dégageant de la seconde tasse d'un air rêveur. J'avais beau lui avoir dit que je pourrais bien me débrouiller seule avec Kei, j'avais quand même bien envie de le voir arriver. Pas parce que j'avais besoin d'aide, mais parce que je n'avais pas vraiment envie d'être seule aujourd'hui. La cabane était incroyablement vide, avec Dhak et Chan à la sortie de Lance et les autres en balade. Ca faisait un moment que ça n'était pas arrivé.
C'est à ce moment que quelques coups raisonnèrent dans toute la cabane. Je me relevais lentement, surprise de constater que mon camarade avait finalement découvert l'utilisation de la porte. Je traversais l'appartement en vitesse pour ouvrir la porte à mon camarade.
- T'as réussi à te sortir du filet de Lance, fis-je remarquer en invitant le brun à entrer.
Nous traversions la pièce principale et une fois dans ma chambre, je lui tendis le mug. Le liquide avait dû descendre à une température avoisinant les quatre-vingt degrés et il s'en dégageait toujours une odeur de romarin et d'orange qui chatouillais les narines.
- C'est vraiment sympa de venir, le remerciais-je en m'assoyant sur mon lit.
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Sujet: Re: Bye bye cabane 10 {Piercy} Ven 23 Oct 2015 - 23:25
Avec mon poing dans un tel état, je ne pouvais pas me permettre de me présenter à Leann dans cet état, je la voyais déjà sautiller autour de moi s’exciter dans tous les sens pour un simple bobo. Je soupirais déjà agacé par la scène à venir. Je devais faire une halte dans ma chambre. J’y déposais mon sac, sans oublier pour autant le précieux cadeau, un saut à la salle de bain afin de panser mon poing. Je ne m’étais pas raté… Je fis phaser légèrement mes bandages à travers ma peau pour cacher mes blessures, ni vu ni connu. Il ne fallait pas que je les oublie, ça risquerait de s’infecter bêtement.
Je pris la route vers sa cabane. J’avais encore des restes de ce coup de sang brutal. Au lieu de phaser tel une furie chez elle, je frappais, assez, un peu trop, voir trop, fort à sa porte dans l’espoir de dissiper les dernières vapeurs de rage qui polluaient mon atmosphère. La bouille de Leann derrière la porte eut, à ma grande surprise, le don de me calmer aussitôt. Soulagement. Filet de Lance ? Je ne lui ai pas vraiment laissé le choix… « Tu penses qu’un simple filet pourrait me retenir captif ? » lui demandai-je feintant d’être vexé. Comme dirait Hadès, même une masterball ne pourrait m’arrêter. J’entrais dans la cabane. Elle me remerciait de ma venue. Je soupirais agacé. « Tu n’as pas à me remercier patate, c’est la moindre des choses, un déménagement est la dernière des choses à faire seul. » j’attrapais sa tasse. Chaud… Je ne bronchais pas, à l’odeur je reconnus le romarin et un agrume, le romarin était trop fort je n’étais pas sûr du fruit… Sûrement l’orange le plus courant en thé… Le romarin… Je n’aime pas ça en infusion… Je bus d’une traite sans broncher. Je m’étais très certainement brûlé la bouche et l’œsophage mais tant pis. Je m’adossais contre un mur de sa chambre, songeur. Des réminiscences de sa venue dans ma cabane, et ma sieste sur ses jambes et de Kei et le gâteau dans mes cheveux fauchèrent mes pensées. Pourquoi pensais-je à ça maintenant ? … Peut-être le gâteau que j’ai mangé d’un coup pour ne pas subir le goût et ne pas vexer Leann… Puis je sorti de mes pensées dans lesquelles j’étais profondément perdu. Et je sortis la fameuse boîte d’une de mes poches. « Tiens c’est à toi il me semble. » lui dis-je tout en tendant la boîte vers elle avec un sourire en coin.
« Par où commence-t-on ? » demandai-je en observant autour de moi. « Tu as pris le soin de ranger tes sous-vêtements… » dis-je faisant mine d’être déçu. « Ce que je te propose c’est qu’on prenne un maximum de carton en un ou deux aller-retour, puis je m’occuperai d’apporter les cartons restant pendant que tu ranges tranquillement tes affaires dans ta nouvelle chambre. Ça te va ? »
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Sujet: Re: Bye bye cabane 10 {Piercy} Sam 24 Oct 2015 - 15:26
Bye bye cabane 10 - Piercy - Tu n'as pas à me remercier, patate ! Fit-il en arrivant dans la pièce.
C'était drôle de l'entendre sortir de telles expressions. Elles sortaient complètement de son personnage à la tendance froide et raisonnable.
- C'est la moindre des choses, un déménagement est la dernière des choses à faire seul. - Je ne suis jamais seule, fis-je remarquer pensive.
Il avala le contenu de son mug en une fraction de seconde. C'était pas la première fois qu'il faisait ça, et à force de le voir faire, j'avais appris que quand il se hâtait de finir comme il venait de le faire, c'est qu'il n'aimait pas. Ma tarte pomme chocolat du début d'année me l'avait bien fait comprendre. Je pinçais ma lèvre inférieur en me demandant si je devais lui proposer autre chose. Peut-être que lui faire la réflexion le mettrait de mauvaise humeur. Il s'était donné la peine de faire comme s'il appréciait et ruiner son effort ne le ravirait peut-être pas.
- Tu as l'air assoiffé, fis-je naïvement. Si tu as encore soif, il y a encore plein d'autres parfum dans la cuisine.
Je le regardais avec un sourire franc, essayant tant bien que mal de cacher ma fierté d'avoir trouvé ce moyen détourner de lui proposer autre chose, sans le contrarier. Il s'était adossé contre le mur, l'air pensif. Ses yeux bleus étaient plongés dans le vide. Plutôt rare… Il sorti tout à coup de ses pensées et j'en profitais pour détacher mon regard de son visage, faisant mine de réfléchir à ce à quoi je pourrais m'attaquer par la suite.
- Tiens, c'est à toi il me semble.
Il avait sorti la petite boîte bleu de sa poche et la tendais vers moi. Je ne pu m'empêcher d'afficher une expression réjouie sur le visage. Probablement que mes joues avaient prient une couleur un peu rosée, mais je m'en fichais pas mal. J'accouru pour récupérer le paquet je plaçais bêtement devant moi, observant avec une attention toute particulière le ruban bordeaux qui l'ornait.
- Merci encore, le remerciais-je en posant la boîte sur mon bureau.
Je l'aurais bien mit sur le moment, mais je préférais attendre d'être seule pour ne pas me ridiculiser en essayant désespérément de régler le fermoir sans que mes cheveux viennent s'y emmêler… Puis ma tenue ne mettrait clairement pas en valeur son présent. En tout cas, je me sentais beaucoup plus à l'aise que tout à l'heure. Probablement parce que Kei s'était enfin décidé à se taire? Il semblait être comme réglé pour ne ramener sur la table que les sujets auxquels je préférais éviter de penser.
- Par où commence-t-on? Fini par demander mon camarade en scrutant la pièce d'un air sérieux.
Je fis de-même : le seul meuble encore plein était ma grosse commode. Il y avait tout un tas de pelotes de laines et de tissus, patrons de coutures et bobines de fil d'un côté et des sachets de plantes à souhait, huiles essentielles, et une boîte avec ce que j'avais déjà préparé à partir de tout ce joyeux bordel relativement mal organisée… Mais pas le temps de rester sérieuse deux secondes :
- Tu as pris le soin de ranger tes sous-vêtements…
Je levais un soupire en soupirant. Mes iris vertes posées sur son petit sourire en coin, j'essayais de faire comme si sa blague ne me touchait pas. Pourtant, ça m'empêchait pas de rougir.
- Come on… Ce genre de blague n'a-t-il pas assez duré? Ou cacherais-tu vraiment une âme de pervers derrière cet air blasé?
- Ce que je te propose, c'est qu'on ramène un maximum de cartons en un ou deux aller-retour, puis je m'occuperai d'apporter les cartons restant pendant que tu ranges tranquillement tes affaires dans ta nouvelle chambre. Ca te va?
J'acquiesçais, contente de revenir à un sujet moins embarrassant. La plus part de mes affaires étant prêtes, on serait prêt à partir d'ici quelques minutes et à trois paire de bras, on pourrait tout transférer en un seul aller-retour.
- Parfaitement, approuvais-je en ouvrant les deux portes de la commode et en en vidant nonchalamment le contenu dans des cartons.
Les pelotes rebondissaient les unes sur les autres, formant un paquet plein de couleurs. Collant les amas de cotons autant que possible pour pouvoir ajouter le matériel de couture avec, je pensais que j'avais quand même de la chance d'avoir un ami comme Piercy. Pendant ce temps, Kei était chargé de s'occuper de mes plantes. En moins d'une minute, l'affaire était dans le sac. Enfin… dans trois boîtes.
- D'ailleurs, qu'est ce que tu compte faire pour la fête de Lance? Tu vas y retourner? Demandais-je pour entretenir la conversation en lui tendant un carton de linge.
J'étais sur le point de lui proposer celui contenant mes sous-vêtements si ça pouvait lui faire plaisir quand je remarquais quelques chose sur sa main. Un bandage, sans aucun doute. Il n'avait pas ça, à la plage, si? Je m'arrêtais soudainement dans mon élan, ancrant mon regard interrogateur dans les siens. Je n'avais pas besoin de prononcer la moindre phrase pour faire comprendre que j'attendais des explications. Comment avait-il pu lui arriver une chose pareille? J'étais presque plus agacée qu'inquiète. Presque… Enfin, j'aurais voulu l'être. Je ne l'imaginais mal se blesser lors d'une mauvais chute avec son pouvoir. Le seul moyen pour que cela puisse lui arriver, c'était qu'il se batte, non?
- Qui? Me contentais-je de demander l'air aussi convainquant que je le puis. Ne me dis pas que c'est Lance. Pitié.
Après tout, qui d'autre? Il avait l'air plus fâché que nécessaire tout à l'heure, et ça n'avait pas manqué de mettre le blond sur les nerf. Peut-être que le fait que Piercy parte en cours de route était la goûte d'eau qui aurait fait déborder le vase, et le C aurait voulu le rattrapé. Peut-être qu'ils étaient un peu en froid ces derniers temps et que la tentative de Lance de retenir Joshua avait fait exploser le brun. "Tu penses qu'un simple filet pourrait me retenir?" … et il avait bien été retenu par quelque chose, vu le temps qu'il avait mit. Je pouvais pas m'empêcher de faire défiler ce scénario catastrophe devant mes yeux.
Elle me proposa un autre verre, j’avais l’air assoiffé qu’elle dit. Je la regardais du coin de l’œil sans rien dire. Elle acquiesça à mon plan. Je l’observais, elle finissait de ranger son matériel dans le sac. Je me levai du mur contre lequel j’avais pris appui. Je me dirige vers ses cartons. Je pris celui qu’elle me tendit et deux autres que je fis phaser les uns dans les autres, je répétai l’opération pour trois autres cartons. Je l’écoutais parler sans répondre, faisant mine d’être concentré dans mon empilement de carton. « Je ne sais pas encore. Et toi ? » Sans faire attention en phasant les cartons entre eux, le bandage incruster sous l’épiderme se mit à dépasser, et le silence brutal imposé par Leann était lourd de sens.
Avant même qu’elle ne me posait la question, agacé, je tirai sauvagement sur mon bandage ne phasant qu’à moitié, arrachant pas mal de peau, et quelques lambeaux de chairs. Je soupirais longuement. « Je ne suis pas un animal. Je ne cogne pas le premier venu. » répondis-je froidement, agacé, car je me battais contre moi-même pour ne pas hurler à la moindre question conne, ne pas cogner au premier mot de travers. Je lutte comme jamais. Penser ça de moi... Je pris le premier bloc de trois cartons, puis le deuxième, ils étaient vraiment lourds, bien que le volume était divisé par trois, la masse quant à elle était restée inchangée. Je vais vous épargner le cours de physiquement sur l’intangibilité et le défaut de masse des atomes. « Bungalow 2 c’est ça ? », c’était le chiffre qui me venait à l’esprit quand je me suis demandé où déposer ces cartons, mon instinct ne me trompe jamais. Flash, oui elle m’en avait parlé sur la plage, je m’en souviens. « Oui c’est bien ça. Je vais déposer tout ça là-bas. » Sans même prendre la peine de phaser, je sortis de sa chambre, et j’ouvris la porte de la cabane habilement avec le bout de mon pied. Direction le bungalow, réglons ça au plus vite.
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Sujet: Re: Bye bye cabane 10 {Piercy} Mer 11 Nov 2015 - 23:39
Bye bye cabane 10 - Piercy Joshua me toisa d'un air accusateur. Visiblement, il n'avait pas apprécié ma remarque, ce qui voulait dire que ma théorie était fausse. D'un côté, ça me rassurait, de l'autre, ça voulait aussi dire que je m'étais terriblement trompée et que j'avais fait une réflexion plus que déplacée. Evidemment, qu'il allait m'en vouloir. Je me mordis immédiatement la lèvre inférieur en réalisant ma confusion tandis qu'il arrachait le bandage de sa main.
- Je ne suis pas un animal. Je ne cogne pas le premier venu.
- Je sais bien ... Je ... Désolée... bégayais-je en plongeant mon regard sur le parquet.
Il attrapa ses cartons fusionnés et fit volte face en vérifiant sa destination. Il avait l'air incroyablement agacé. C'était de ma faute, encore une fois. J'avais décidément le don pour le mettre hors de lui. Je sentais mon estomac se nouer en le voyant passer la porte de ma chambre. Je restais là, quelques secondes, à serrer le poing en me disant que j'étais la dernière des idiotes. Pourtant, il fallait que je fasse quelque chose. Et sans même que je m'en rende compte, je m'étais mise à courir jusqu'à la porte. Aussi vite que possible. J'avais l'impression de rater un truc, que de le laisser filer et attendre qu'il revienne soit une autre terrible erreur. Je fis le tour de la cabane en un temps recors pour mes petits muscles de rats de bibliothèque. Il n'était pas très loin. A quelques mètres.
- Attends !!
En quelques secondes, je l'avais rattrapé. Ma main sur son hoody, j'espérais pouvoir le retenir. Combien de fois m'avait-il montré que ça ne servait à rien?
- Attends... répétais-je plus doucement. Je suis désolée. C'est pas ce que je voulais dire.
Mes excuses étaient pathétique, et il n'en avait probablement rien à faire.
- Je veux dire, j'étais juste inquiète. Toi comme moi savons très bien que tu ne t'es pas fait ça en tombant. Je te laisse juste trente secondes et tu revient avec ... la main en sang. A ma place, tu aurais pensé quoi? Les gens ne s'écrasent pas les poings sur ... je ne sais pas... les murs ?
Vu son état d'énervement, j'étais à peu près sûre qu'il s'était passé un truc dans ce genre là. Depuis ce matin il avait l'air d'avoir les nerfs à vifs. Si j'avais pensé en être la cause toute la matinée, je m'étais peut-être trompée. Quelque chose d'autre le mettait de mauvaise humeur.
- Tu ne dis jamais rien quand ça ne va pas... Tu sais, j'ai toujours cette sensation que j'arriverais à rien sans toi alors que je te suis parfaitement inutile. Pourquoi est-ce que tu ne me dis jamais rien? Si tu en a juste marre de me voir m'affoler tout le temps, je comprends. Mais dis-le. Je ne veux pas être une gêne.
Je lâchais son haut mollement, croissant mes bras contre ma poitrine. J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure. Sûrement le contre-coup de ma course. Je me sentais encore plus coupable de lui dire des trucs pareil. Piercy détestait ça. C'était pas assez rationnel pour lui, c'était pas logique. Puis c'était pas son genre de venir se confier.
- Oublie ça, je t'ennuie encore plus que ce que je le faisais déjà... Enfin, si tu veux parler de quoi que ça soit ou que t'as besoin de crème, hésite pas. Je t'embêterais plus avec ça...
Je me dirigeais lentement vers la porte en soupirant. J'avais tellement envie de l'aider, et pourtant, il n'y avait absolument rien que je puisse faire. Comme d'habitude.
InvitéInvité
Sujet: Re: Bye bye cabane 10 {Piercy} Mar 17 Nov 2015 - 20:09
Elle me hurle de l’attendre, je l’ignore, sa main sur ma capuche, je m’arrête. Elle se confond en excuse, je pince mes lèvres, je lève les yeux au ciel. Je l’écoute. Blablabla mon poing… Comment ? Pourquoi ? Quand ? « Un arbre. » je prends sur moi, et tente de répondre le moins froidement possible. Et c’était reparti pour une tirade sur ma pudeur. Enfin c’est comme ça que je l’interprétais. Elle avait cette impression de ne rien pouvoir faire sans moi, alors que moi j’étais absolument indépendant. Elle lâche mon hoodie, et croise les bras, trahissant son malaise. « Si tu étais une gêne, je ne serais pas là. »
Elle me demande d’oublier ce qu’elle venait de dire avant de me proposer de la crème pour mon poing. « Désolé. J’ai du mal à parler. A m’ouvrir… Je n’y arrive pas, ce n’est pas facile pour moi… Quelque chose ne tourne pas rond avec moi, j’ai une petite idée. Une affaire à régler. Tu n’y es pour rien. Je … suis désolé. » ces montées de colère, cette rage bouillonnante ce n’est pas normal. Je suis supposé saint d’esprit, j’ai fait des tests. Juste surdoué. Rien d’autre. Pas d’hallucination auditive, ni visuelle. La raison était magique. C’était mon intuition, et mon instinct qui me chuchote depuis quelques jours « Nova ». Il fallait que je me renseigne. Mais je ne vois pas ce que je pouvais faire, à part lutter, et m’éloigner d’elle au plus vite, heureusement que l’été arrive à grand pas. Elle se dirige vers la porte de sa cabane en soupirant. Je soupire à mon tour, et je me fais violence. J’interpelle Leann. « Attends… » je pose les cartons au sol, je me concentre et j’en sors un avant de le lui tendre. « Tiens… Prends-ça… Je me suis surestimé. » faux, mais je ne pouvais l'avouer, excuse crédible comme geste prouvant ma bonne volonté.... Je reprends les cartons au sol. Et je me dirige vers le bungalow 2.
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Sujet: Re: Bye bye cabane 10 {Piercy} Sam 21 Nov 2015 - 21:03
Bye bye cabane 10 - Piercy Un arbre. Il avait écrasé sa main sur un arbre. Je levais les yeux, retenant un "Comme si ça me rassurait." Il tenta tout de même de me rassurer un peu. Comme si j'en avais besoin. Je n'étais pas spécialement inquiète sur ce point-là. C'était peut-être d'ailleurs la seule chose qui ne m'inquiétait pas vraiment. Alors que j'avançais d'un pas lourd vers la porte de la cabane, il reprit la parole.
- Désolé. J'ai du mal à parler. A m'ouvrir… Je n'y arrive pas, ce n'est pas facile pour moi..
Je m'arrêtais à ses mots, les bras le long du corps, mon regard perdu sur mes ballerines. Je savais déjà tout ça. Et pourtant, j'avais cette impression qu'il en avait besoin. Pourtant, le pousser à le faire ne mènerait à rien.
- Quelque chose ne tourne pas rond avec moi, j'ai une petite idée. Une affaire à régler. Tu n'y es pour rien. Je … suis désolé. - Tu n'as pas à t'excuser, soupirais-je. Je sais que tu agis toujours comme ça. Je ne t'en veux pas, au contraire. Ca… fait partit de ton charme, en quelques sorte?
Je me tournais vers lui, un petit sourire aux lèvres. Il avait vraiment l'air sincère. Pourtant, je n'arrivais pas à me sortir de l'esprit qu'il y avait peut-être quelque chose que je pourrais faire pour l'aider. Il n'allait vraisemblablement pas bien. Mais je comprenais parfaitement son besoin de garder ses soucis pour soi. J'étais la première à faire de-même. Alors qu'est ce qui m'énervait autant dans son silence? Je tournais les talons et allais pour retourner dans ma chambre quand il me demanda d'attendre. Il posa son carton (enfin ses ? Le concept était plutôt difficile à expliquer) et m'expliqua qu'il s'était surestimé et n'arrivait pas à porter tous les paquets.
Il m'en tendit un que j'attrapais avec le sourire. Je fis mine de ne pas remarquer que ses mains n'étaient visiblement pas rougies par l'effort du port des boîtes, qu'il ne transpirait pas et n'avait même pas pris la peine de poser ces paquets pourtant "si lourds" pendant que nous discutions. Trouves une vraie excuse, la prochaine fois. Pourtant, ça me faisait plaisir de voir qu'il se souciait vraiment de ce que je pensais. La boîte contre mon buste, je le suivais jusqu'au bungalow deux.
- Du coup, si tu as un truc à régler, j'imagine que tu ne vas pas retourner à la fête de Lance? Demandais-je après quelques secondes de silence. Je pensais y rester plus longtemps ce matin, mais au final, je me dis qu'il n'y aura pas grand-chose de plus à y faire.
Et la situation était surtout devenu un peu embarrassante.
- Je ne me vois pas rester toute la journée sous le soleil de toute façon. Surtout vu le coup de chaud que j'ai pris ce matin ! Continuais-je en ricanant. Encore désolée pour ça, d'ailleurs. Ca t'as causé des ennuis.
Charme ? Moi ? Je ne me suis jamais posé la question… Elle prend le carton que je lui tends. Et me parle de la fête de Lance. « Je ne sais pas… Je ne pense pas non. Il y a trop de monde là-bas. ». Je repris la route vers le bungalow 2. Je repensais à Lance qui allait me faire la gueule pour un moment. Mais ça m’était égal, ses niaiseries et sa légèreté commençaient à me gaver. Alexis qui espérait m’y voir… Elle est bien accompagnée, on aura d’autres occasions de se voir. Et puis non l’ambiance est trop enfantine à mon goût et la moitié des gens n’était pas encore arrivée. Sans parler de Lhym qui règle ses problèmes d’amour et hurle sur le pauvre Warren… Les seules fois où je la vois, elle hurle, elle bouge dans tous les sens. Elle est fatigante. Rien que d’y penser je suis fatigué. Non je n’y retournerai pas. « Nous y sommes. Tu veux que je reste avec toi ? Pas que je t’aide en fouillant dans tes affaires personnelles, mais que je reste comme … soutient moral ? » J’ouvris la porte du bungalow… Personne. Je la laisse passer tel le gentleman que je suis. Je fis de même avec la porte de sa nouvelle chambre. Facile à reconnaître. Je posais le tas de carton sur son bureau que je séparais lentement et soigneusement, en veillant à ne rien oublier. « Et voilà. Alors que dois-je faire ? Rester ou rentrer ? ». Je m’adosse contre le mur à côté de la fenêtre, je croise les bras. Je la regarde faire. C’était calme, il faisait beau, tout le monde était de sortie. L’école était plutôt vide. C’était assez plaisant. Je regarde par la fenêtre… « Mais avant toute chose, allons manger. En ville, c’est ton anniversaire. Choisis c’est moi qui invite. Offre non négociable. »
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Bye bye cabane 10 - Piercy US'il ne retournais pas à la fête non plus, je n'avais définitivement aucune bonne raison d'y aller à nouveau non plus. Lhym était en train de s'expliquer avec Warren et je n'avais pas spécialement envie de déranger. Quant à Lance et Chan, relancer la conversation risquait d'être un peu compliqué. Au final, les seuls personne que je connaissais que j'avais vu n'étaient pas vraiment disponible et rester seule sur la plage, juste pour faire acte de présence, c'était pas spécialement la définition que je me faisais d'une fête.
- Je trouve aussi…
Nous ne prononcions pas un mot de plus de tout le trajet. Piercy m'ouvrit les portes vers ma nouvelle chambre une par une et posa son/ses cartons sur mon nouveau bureau. La chambre était définitivement plus spacieuse et lumineuse que la précédente. Ma chambre était plutôt orientée nord-ouest, ce qui faisait que la pièce était toujours dans l'obscurité. Quoi qu'il en soit, j'aimais déjà l'endroit. Plus qu'à espérer que mes colocataires soient agréables.
- Nous y sommes. Tu veux que je reste avec toi? Pas que je t'aide en fouillant dans tes affaires personnelles, mais que je reste comme…. Soutien moral? - Je n'ai pas vraiment besoin de soutien moral ou quoi que ça soit, contrais-je un peu vexée par sa remarque. Je ne suis plus une gamine, je peux passer ça toute seule.
Kei ne tarda pas à arriver à son tours avec le reste de mes affaires, posant les boîtes près de la porte.
- Tu mettais du temps à revenir, je me suis dit que ça pourrait t'être utile… Mais je dois avouer que j'espérais arriver en plein milieu d'un moment embarrassant.
Je levais les yeux au ciel, agacée par la remarque de cet esprit suiveur. Ne me laisserait-il jamais tranquille avec ça? Visiblement pas. Pendant ce temps, le brun avait séparer les cartons les uns des autres.
- Et voilà. Alors que dois-je faire ? Rester ou rentrer?
J'étais relativement confuse. A vrai dire, je ne savais pas vraiment quoi lui répondre. Il n'y avait pas cinq minutes, Piercy m'avait dit avoir des affaires à régler et je n'avais clairement pas envie de le déranger dans ses plans. D'autant que je pouvais vraiment faire sans sa compagnie, j'étais plutôt habituée à passer du temps seule.
- Je voudrais pas te retenir, t'avais des trucs à faire, non?
- Avant toute chose allons manger. En ville, c'est ton anniversaire. Choisis, c'est moi qui invite. Offre non négociable.
Je jetais un coup d'œil à ma montre. Il était presque deux heures, et au final, l'un comme l'autre n'avions presque rien avalé.
- Arrête avec cette histoire d'anniversaire. Ca porte malheur.
Je soupirais. Evidement, ça ne portait pas vraiment malheur, mais cette date m'avait apporté plutôt que des mauvaises choses et je préférais ainsi éviter de la fêter autant que possible.
- En plus, j'ai eu ma première paye du Sprit Dove, et je compte bien m'en servir. Tu en a déjà fait assez.
J'allais à la recherche de son cadeau dans un carton et lui montrait ce dont je voulais parler.
- Ca a dû te coûter suffisamment cher comme ça, surtout pour quelqu'un qui m'avait déjà fait mes cadeaux pour l'année…
Je soulevais légèrement le couvercle pour admirer le pendentif une nouvelle fois. D'un geste timide, je soulevais la chaîne et enfilais le collier avec un sourire satisfait.
- Mais va pour aller manger un bout, je dois avouer avoir un petit creux. N'importe où fera l'affaire!