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 [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam

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MessageSujet: Re: [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam   [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam - Page 3 1400359500-clockMer 2 Aoû 2017 - 21:56

j'aimerais te connaître par cœur, savoir tout sur le bouts des doigts. j'aimerais apaiser ta douleur ; que tu n'ais aucun secret pour moi

-- oh, et puis tu sais quoi, tais-toi et embrasse-moi.





S
es lèvres répondent immédiatement aux tiennes alors qu'il écoute patiemment chacun de tes mots sans avoir pu retenir une petite moue et quand tu te décales pour légèrement reprendre la parole, c'est un sourire pas peu fier qui s'esquisse sur sa bouche.

j'assume entièrement ! et c'est un nouveau baiser qui vient ponctuer cet entrain. et puis, je suis à toi comme tu es a moi, c'est le principe, non ? mais c'est une question réthorique qui n'attends pas de réponse ; ça sera ainsi pour lui et pas autrement -- il ne le permettrait tout simplement pas.

t'inquiète pas, je me désaperai plus en publique, et il rigole, tout simplement ; légèrement, sans qu'aucune arrière pensée ne vienne ternir cet instant.

Alors ses lèvres glissent sur la commisure des tiennes avant de s'écouler sur ta mâchoire, puis sur ton oreille avant de terminer son chemin dans ton cou ; y inscrivant pour finir une dernière marque violacée comme pour clore sur le fait que tu lui appartenait - et c'était là la somme de son trait envahissant et peut-être plus désespéré que possessif, car il y imposait son passage sans te demander ton avis, il prenait et puis c'est tout.

Il y inscrivait le réel du bout de sa langue, d'une caresse de ses dents et d'une succion peut-être plus douloureuse qu'elle ne l'aurait du.

bon, puisque qu'on ne va pas faire l'amour maintenant, on fait autre chose ? fit-il ensuite en redressant la tête et une partie de son corps alors que ses deux mains venaient se déposer sur tes épaules.

Le dire sans détour te prouvait que c'était bien lui et qu'il avait aussi eu pleinement conscience de ce qui aurait pu arriver ; plus que ça, il l'assumait complètement sans la moindre gêne. Peut-être aurait-il pu s'endormir tout contre toi et sûrement, à son air blafard et à ses yeux fatigués en avait-il besoin ; l'envie n'y était pas cependant. Il savait qu'il dormirait peu, qu'il finirait par cauchemarder ou attendre que l'aube se lève et plus que tout, il savait que l'instant si serein, si calme, si loin de tout finirait par s'envoler après avoir rejoint Morphée.

Il se sentait mieux avec toi et peut-être même aurait-il pu affirmer qu'il se sentait bien ; à présent. Mais demain, il pensera au reste, aux autres, à tout ce qu'il traverse ; jusqu'au soir, tout comme maintenant, où il serait trop épuisé pour pouvoir ruminer dans son coin.

Il se redressa plus franchement sans pour autant te quitter, se retrouvant assis sur ton ventre alors qu'il s'étirait comme un chat, les bras levés et les yeux fermés avant de s'affaisser à nouveau et de repositionner ses prunelles dans les tiennes -- dans ce gris immuable qui lui plaisait tant.



et grâce à toi il respirait normalement.
_____







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MessageSujet: Re: [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam   [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam - Page 3 1400359500-clockVen 4 Aoû 2017 - 23:28

Listen to me
feat. Ezéchiel Prince - date. fin juillet







Il assume, qu'il te dit, et ça te fait rire. Puis ton rire se calme, disparaît et tu le regardes avec un peu plus de sérieux. Tu es à lui comme il est à toi, et il est à toi comme tu es à lui. Cet échange, cette appartenance mutuelle te fait sourire, heureux. C'est quelque chose que tu n'as jamais partagé avec quelqu'un, quelque chose que tu n'as jamais eu, jamais reçu et jamais pu donner non plus... et ça te rend heureux de pouvoir lui donner, lui montrer tout cet amour que tu lui portes, tout cet amour que tu ne comprends pas pleinement, que tu n'arrives pas à délimiter vraiment.

Tu fais ce que tu veux, j'ai confiance en toi.

Puis un baiser, qui se termine en suçon, qui te fait te mordre la lèvre et fermer les yeux, qui te fait resserrer tes doigts sur ses hanches. Parce que ça te donne terriblement envie de lui, Killiam. Parce que ça te donne envie de lui faire la même chose, parce que ça te donne envie de lui prouver que toi aussi, t'en as eu envie, que toi aussi, tu le veux de cette façon aussi. Et peut-être que tu n'arrives pas encore à mettre des mots sur ça. Tu n'arrives pas à le définir pleinement, coucher ensemble te semble trop peu intime pour ce que vous êtes, pour tout cet amour que tu lui portes... et faire l'amour te paraît tellement niais que tu n'oserais jamais le dire vraiment.

— Bon, puisque qu'on ne va pas faire l'amour maintenant, on fait autre chose ?

Et il le dit, sans hésitation, sans que ça te semble niais quand tu l'entends sortir de sa bouche. Il le dit, parce qu'il était pleinement conscience de ce qu'il s'était passé, de ce qui aurait pu se passer. Il le dit, comme si c'était normal, comme s'il n'y avait aucune honte à avoir, et ça te rassure un peu, ça te rassure et ça te détend, parce que tu n'as pas cette impression d'avoir profité de lui, d'avoir profité de cet instant de faiblesse, de son besoin d'être raccroché à la réalité, et en même temps, de la fuir le plus possible. Tu ouvres la bouche, la refermes alors qu'il s'installe un peu plus sur ton ventre et tu t'appuies sur tes coudes, te redressant à peine. Tu le regardes après qu'il se soit étiré, cherches les mots avant de lui dire – et tu disais de plus en plus les choses, depuis qu'il était rentré, comme s'il disparaîtrait si tu ne disais pas les choses :

Je t'ai pas arrêté parce que j'en ai pas envie, tu le sais ? Je t'ai arrêté parce que genre, t'es... pas dans ton état normal ? Enfin genre, j'veux pas que...

Tu hésites sur les mots à employer, sur ce que tu dois dire vraiment. Tu l'as arrêté parce qu'il est triste, et parce que tu n'as pas envie de profiter de cet état là, parce que peut-être qu'il n'en aurait pas spécialement envie dans son état normal, parce que peut-être qu'il n'en avait pas envie du tout dans son état normal et tu n'avais pas envie de gâcher ça. Non, tu n'en avais vraiment, vraiment pas envie.

J'veux dire, reprends-tu après un court instant de silence, j'ai envie, j'en ai envie, mais j'ai pas envie que tu te forces ? Ou que t'aies envie de le faire juste parce que t'es pas bien, ou quoi. Enfin, tu vois ?

Et tes mots sont un peu décousus, pas vraiment dans le bon ordre et sûrement incompréhensible. Tu n'arrivais juste pas à lui dire que tu n'avais pas envie de profiter de lui, parce que c'est quelque chose qui te fait peur depuis qu'il te l'a jeté à la face, c'est quelque chose à laquelle tu fais attention. Et surtout, la première raison de toutes, du pourquoi du comment tu l'as arrêté, c'est parce que Clara est là, qu'elle est toujours là, et que tu ne veux pas qu'il la balance sans être prêt à le faire.


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MessageSujet: Re: [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam   [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam - Page 3 1400359500-clockSam 5 Aoû 2017 - 0:51

j'aimerais te connaître par cœur, savoir tout sur le bouts des doigts. j'aimerais apaiser ta douleur ; que tu n'ais aucun secret pour moi

-- oh, et puis tu sais quoi, tais-toi et embrasse-moi.





C
'est en te redressant qu'il redispose ses deux mains sur tes épaules sans te quitter du regard, comme s'il n'arrivait pas à se détacher de toi, comme si un automatisme singulier le poussait à rester accroché --

-- comme si l'idée de s'éloigner de toi lui était absolument inconcevable ; ou plutôt insupportable.

je t'ai pas arrêté parce que j'en ai pas envie, tu le sais ? je t'ai arrêté parce que genre, t'es... pas dans ton état normal ? enfin genre, j'veux pas que...

Il fouille dans ton regard, il explore, il s'interroge et sans le vouloir son palpitant s'accélère dans un tambourinement étrange et pourtant si familier à tes côtés. Tu en avais envie. Evidemment que c'était réciproque, évidemment que c'était toujours réciproque, que l'ardeur persistait comme une flamme qui jamais ne s'éteignait. C'était un garçon, un adolescent de surcroît, avec une libido en bonne santé, qui se trouvait dans ta chambre, sur ton ventre et pas besoin de vous faire un dessin sur les milliards et milliards de scénarios et fantasmes obscènes qui parcourait ses pensées à longueur de journée jusqu'à le suivre dans son sommeil.

Le fait est, que depuis son départ et son retour, il n'avait plus eu cette approche envers toi, n'y même le culot d'y penser ; le fait est, qu'à présent, là, ici et ce soir, il se sentait bien, il se sentait lui et Ezéchiel pensait toujours à ça. Amoureusement, il était d'une niaiserie à faire peur, telle une petite diva qui clamait haut et fort que tu étais l'amour de sa vie, que vous auriez quinze enfants et un chien qui s'appellera Fripouille. C'était un cliché, une caricature de lui-même d'un mec trop amoureux, avec cette exubérance qui lui suintait à la peau et cette suffisance qui marquait ses traits. Si paillettes et petites fleurs le guidaient dans cet état qu'on aurait pu qualifier de mignon ou d'agaçant, la vérité était tout autre.

Ezéchiel est un obsédé en mal d'amour, en mal d'histoire de princesse et de prince charmant qui se marient et ont beaucoup d'enfant ; et s'il en était l'héroïne, il serait la catin du château qui crierait d'aller toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus vite. Sans tabou, sans retenu, dans l'excès le plus total, parce qu'il aimait l'amour qui fait mal, l'amour douloureux et bienheureux, il aimait quand ça griffe, quand ça mord, quand on souffre un petit peu ; il aimait la douceur à faire peur, les caresses pleines de tendresses. Tout et rien à fois, sa façon à lui de vivre l'instant, de vivre intensément, de vivre et d'en mourir.

Alors il t'observe chercher tes mots, il t'écoute comment formuler tes pensées avec toute la difficulté du monde et bien qu'il te trouve adorable dans cette galère dans laquelle il te laissait, sans te couper la parole en voyant pertinemment que tu n'avais pas terminé, il y avait toute cette histoire qui n'y avait pas sa place, qui en était déplacé.

Oh oui, il souffrait comme jamais d'une plaie qui peut-être jamais ne serra fermée mais le bonheur qu'il vivait à l'instant était bien plus puissant, bien plus fort et intransigeant que cette peine au cœur décrite comme la pire des horreurs.

j'veux dire... oh, et il sait très bien ce que tu veux dire. j'ai envie, j'en ai envie, mais j'ai pas envie que tu te forces ? ou que t'aies envie de le faire juste parce que t'es pas bien, ou quoi. enfin, tu vois ?

j'ai envie de le faire parce que tu es mon copain et que ça fait dix ans que je me languis de mettre mes mains dans ton pantalon et que tu le veuilles ou non, dans ma tête on l'a déjà fait des centaines de fois. et sache que c'était très bon, alors t'inquiète, je me force pas, killiam, je me force pas du tout.

Et c'est un baiser impérieux qu'il t'impose, qu'il prends sans ton accord comme si c'était sa façon à lui de ponctuer sa phrase mais aussi, son attention toute particulière pour ne pas à avoir à répondre à ses phrases qu'ils savaient, d'expérience, trop franches et déstabilisantes. Ce baiser fait écho au tien, à celui que tu lui as volé, c'est un baiser sans douceur et sans brutalité, c'est un baiser qui prends sans donner, c'est un baiser qui donne sans recevoir, c'est un baiser comme une claque et comme une caresse, comme s'il voulait te baiser et te faire l'amour, comme s'il voulait t'aimer et te détester.

je suis pas bien, c'est vrai... et cette fois-ci il se détache tendrement, à peine seulement tout en te regardant dans les yeux. je vais mal, killiam et tu le sais. mais c'est pas pour ça que je vais m'empêcher de t'aimer.


et il pourrait carrément te déshabiller.

_____







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MessageSujet: Re: [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam   [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam - Page 3 1400359500-clockSam 5 Aoû 2017 - 15:26

Listen to me
feat. Ezéchiel Prince - date. fin juillet







Il ouvre la bouche au moment même où tes lèvres se ferment. Et il parle, parle, et t'explique... et tu rougis, un peu. Tu ne rougis pas, d'habitude, mais bordel comme il pouvait te faire rougir souvent, à dire les choses telles qu'il les pensait, sans honte et sans hésitation. Ça te gêne comme ça te fait plaisir de savoir qu'il fantasme sur vous, qu'il imagine ce genre de chose, qu'il y pense souvent, même, peut-être autant que toi si ce n'est plus. Il ne se force pas à avoir envie, il ne se force pas à tout ça – et tu l'aurais frappé si c'était le cas, sûrement – et ça fait battre ton cœur plus vite, ça te donne envie de l'embrasser, de le serrer contre toi, de lui dire toutes ces choses que tu n'arrives pas à dire, de lui dire à quel point tu l'aimes, sans t'arrêter, et le lui répéter, encore et encore.

Il t'embrasse. De cette même façon tendre et violente, de ce même besoin viscéral que tu as eu tout à l'heure, de cette même envie puissante, et tu te redresses sur tes coudes pour approfondir ce baiser, pour laisser vos lèvres jouer ensemble, se chercher, se combler, pour laisser vos langues s'emmêler, se confondre. Et bordel que c'est bon, Killiam, que ça fait du bien de partager ça, que c'est bon de savoir qu'il n'arrête pas de t'aimer, qu'il t'aime encore, qu'il ne partira pas, qu'il restera avec toi. Puis il se recule un moment, et tu te rappuies un peu plus sur tes coudes, l'observes alors qu'il prend la parole.

— Je suis pas bien, c'est vrai... Je vais mal, Killiam et tu le sais. Mais c'est pas pour ça que je vais m'empêcher de t'aimer.
Et c'est pour ça que c'est une mauvaise idée, répliques-tu.

Tu te mords la lèvre. Non, ce n'était pas ce que tu voulais dire, alors tu restes là, sans bouger, presque allongé, appuyé sur tes coudes et reprends sans pouvoir passer dans un geste nerveux ta main dans tes cheveux :

C'est pas que c'est une mauvaise idée. Enfin j'en crève d'envie, okay ? C'est juste... j'en sais rien, y'a un truc qui me dit qu'il faut pas tu vois ? Genre, que je dois pas profiter de toi comme ça. Parce que, genre, tu l'aurais sûrement pas fait si, genre, avant, tu l'aurais pas fait, tu vois ? Ce que je veux dire c'est que... putain.

Et ça te gêne, de parler de ça, ça te gêne de mettre des mots sur ça, parce que t'as l'impression que tous tes doutes sont minimes, que t'as pas le droit d'en avoir, pas en ce moment, alors qu'il a besoin que tu sois sans. Sans doutes, sans hésitations, sans peurs. Tu baisses les yeux un instant, fuis son regard pour tenter d'y voir clair, mais tu n'y arrives pas, parce que tu n'as aucune raison de lui refuser, tu n'as aucune raison de le repousser, il avait le droit d'avoir envie, il avait le droit d'oublier Clara, il avait le droit et le devoir de continuer à vivre. Alors tu n'as pas le droit, non, tu n'as clairement pas le droit de lui refuser ça, surtout qu'il a l'air d'en avoir envie autant que toi.

Ton regard trouve de nouveau le sien et tu te redresses un peu plus, une de tes mains glissant sur sa nuque alors que l'autre te maintient redressé. Tu l'approches de toi et l'embrasses de nouveau. Tant pis. Tu n'as plus envie de réfléchir, tu n'as plus envie de te poser des questions. Tu vas juste prier pour qu'il ne regrette pas et espérer que tu sois pas le pire coup de la terre entière.


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MessageSujet: Re: [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam   [FINI] LISTEN TO ME ft. killiam - Page 3 1400359500-clockSam 5 Aoû 2017 - 17:48

j'aimerais te connaître par cœur, savoir tout sur le bouts des doigts. j'aimerais apaiser ta douleur ; que tu n'ais aucun secret pour moi

-- oh, et puis tu sais quoi, tais-toi et embrasse-moi.





S
es prunelles ne peuvent s'empêcher de se plisser sensiblement quand tu lui voles la parole pour répliquer. Il ne comprends pas où tu veux en venir et à la terrible impression que tu cherches des excuses pour te dérober.
c'est pas que c'est une mauvaise idée. enfin j'en crève d'envie, okay ? c'est juste... j'en sais rien, y'a un truc qui me dit qu'il faut pas tu vois ? genre, que je dois pas profiter de toi comme ça. parce que, genre, tu l'aurais sûrement pas fait si, genre, avant, tu l'aurais pas fait, tu vois ? ce que je veux dire c'est que... putain.
... killiam, je veux que tu profites de moi. chuchote-t-il sans oser en dire plus en te détaillant avec attention tandis que tu fuyais son regard comme pour organiser tes pensées.

Il aurait pu en dire plus, te dire que non, killiam, ça n'a rien avoir mais il décide de se taire pour te laisser le choix, le temps et la liberté de dire oui, la liberté de dire non. Alors quand ce sont tes lèvres qui viennent ravir les siennes, que ta langue glisse contre sa jumelle, que tes doigts se pressent toujours plus fort contre lui ; comme pour te dire, pour te crier, te gueuler, je balance le tout aux orties !

C'est cette flamme que tu allumes, ce besoin insatiable qui se créée et ses doigts se glissent sur ta nuque, caresses tes cheveux et sa tête se penche légèrement pour mieux recevoir, pour mieux offrir. C'est son corps qui se presse contre ton torse et son cœur qui recherche le sien, c'est ses mains qui se fourent dans tes cheveux, qui se glissent, qui caresses, qui font de ce baiser un baiser plus pressant, plus envieux, plus désireux.

Il ne pensait à rien, ne pensait à rien si ce n'est à ton corps contre le tien, à ta chaleur, à tes mains, ton odeur, ton poul qui battait son plein, à tes lèvres et à tout, tout le reste.

Il avait envie, il avait peur, il était anxieux et non habitué mais il ne pensait à rien, à rien si ce n'est à toi et rien qu'à toi ; il n'y avait rien d'autre, rien de plus que ce désir et cette envie, ce besoin de se lier à toi, de t'accrocher à lui et non plus de t'emprisonner mais de se donner. C'était un échange, un partage, un mélange et si lui était perdu, il savait que tu l'étais bien plus encore.

alors il prit les devants et te bascula sur le lit.


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