"Perhaps it's better for one to die alone than to live life in an eternal purgatory."

Tu es en A. Tu es Anglais. Tu t’appelles Alvin. La force du A est avec toi ; tu aurais tout pour être Awesome. Quel dommage que tu portes une conception si erronée à propos de la musique. Envie de te trucider, violemment ; voila ce que ressent Alec lorsque tu affirme avec conviction que faire du violon, c’est taper bêtement sur des cordes. Dénué du moindre gout artistique ; la sensibilité du monoclard à ce propos est cruellement aiguisée, trop pour qu’il laisse passer cet affront. Première source de conflit. En second lieu, on peut évoquer ton imprévisibilité. Lui qui se targue de pouvoir deviner la façon d’agir des gens bien avant qu’ils ne donnent des preuves détectables par le reste du monde, Alec ressent de grandes difficultés sitôt qu’il se penche sur ton cas.
Dommage que ce genre de choses vous séparent ; sitôt que vous faites un effort, vous parvenez à mener des conversations relativement intéressantes, classe A oblige. Mais cela ne dure guère longtemps avant que monsieur Wellsenstein revienne troubler le calme qui t’es si cher. Histoire d’alterner ; dans ces moments précis, c’est toi qui a envie de le tuer, et non l’inverse.
Il y a cependant une chose qui l’intrigue davantage encore que tout le reste. Une chose qui le perplexifie. Ton bras. Il est LOUCHE. Bordel. Il est trop louche, y'a un truc. MAIS QU'EST CE QUE C'EST?! Pourquoi tu portes jamais de manches courtes et toujours des gants?! T'inquiète pas, va. Il trouvera. IL TROUVERA.

La meilleure blague de tout Prismver. Sérieusement. Qui oserait envoyer un LMS haineux à Alec Wellsenstein lui-même, à part toi ? Personne. Qui lui dirait que c’est une diva botoxée, juste parce qu’il utilise un vocabulaire un peu trop riche pour le reste de la plèbe, à part toi ? Personne. Qui resterait, envers et contre tout, persuadé qu’il a raison alors que son argumentation ne tient pas la route, à part toi ? Personne.
Un être à part, c’est le cas de le dire. Un sous-A dans toute sa splendeur. Intimement persuadé que tu es juste empli de ressentiment face à tous ceux qui ont obtenu ce qui t’a évidemment échappé, à savoir l’admission dans le meilleur niveau de l’établissement entier, Alec tente de rester calme. Et pourtant, tu as le chic pour le pousser à bout en quelques mots. Tout ce qu’il te demande, c’est de rester loin de lui, avec tes grands airs de pseudo-messie persuadé de répandre la bonne parole alors que tes phrases ne sont qu’un ramassis de sornettes ; moins il te voit, moins il a envie de te refaire le portrait. La logique s’applique aussi à ton lézard, bien que ce ne soit nullement sa faute s’il est forcé à véhiculer des messages ab-so-lu-te-LY ridicules.
Il faut reconnecter ses neurones, de temps en temps, Lim.

Au fond, il t’apprécie. Surement. Qui aime bien chatie bien ; Alec a beau détester ce genre de phrases préfabriquées juste bonnes à être réutilisées par des gens en mal d’intellect, il l’applique lui-même. Il te pique tes affaires ; mange tes carottes ; se moque de toi au moindre faux pas ; pique tes peluches le reste du temps ; en un mot, se gausse de ta personne toute entière, sourire aux lèvres et regard hautain, sans relâche. Aucun répit ne t’est accordé ; et pourtant tu continues de sourire.
Sans doute parce que tu sais que malgré son côté revêche, il n’hésitera pas une seconde à faire voler les dents de ceux qui viennent te chercher des noises. Ce qu’ils te feront, il le leur rendra au centuple. Tout ceux qui te rackettent parce que t'as une bonne bouille, il leur explose la leur sans sommation. Plus qu’un garde du corps, monsieur Wellsenstein se pose en grand frère. Ce petit air de ressemblance qu’il y a entre vous n’y est sans doute pas pour rien… En grand frère, oui ; parce que vous avez beau avoir le même âge, il y a tout de même beaucoup à gérer chez toi, suffisamment pour oublier cet état de fait.
Le problème, par rapport au garde du corps payé pour faire cordialement son métier, c’est que le grand frère peut être sarcastique. Très sarcastique. Alors qu’au fond, il ne déplore qu’une seule chose ; être incapable de te protéger contre toi-même. Ses petites piques n’ont jamais réussi à faire disparaitre ton effarante maladresse. Mais Alec ne perd pas espoir. Pas plus qu’il ne s’arrête de combattre ton affolante naïveté. Peur du noir, peur de braver le plus insignifiant point du règlement, peur de se faire gronder... T'es pire que le pire des gosses. Mais il s’acharne. Persuadé qu’il est si extraordinaire qu’il parviendra à te changer.

Qu’y a-t-il de bon à tirer de toi ? Rien. Qu’y a-t-il a tirer de toi, tout simplement, d’ailleurs ? En bon comme en mauvais ; rien. Déchet humanoïde ; voilà la façon dont Alec parle de toi. Et encore ; il ne le fait que lorsque c’est strictement nécessaire. Il préfererait occulter ton existence vraiment. Niveau culturel ? Zéro. Niveau de conversation ? Zéro. Potentialités d’actions constructives ? Zéro. Conséquence ; niveau d’intérêt ? Moins soixante-neuf. Connaissant à peine dix mots que tu alignes péniblement pour formuler des phrases bancales, ivre quand tu n'es pas défoncé, e fait que tu sois en E est évidemment loin d’arranger les choses. D’une platitude absolue, regard vide, tu te traines dans ta vie comme dans les couloirs ; le dos rond, la démarche lente, les épaules voutées. Et s’il y a bien une chose que le monoclard méprise davantage encore que les drogués –ce que tu es, de surcroit- ce sont les inutiles satisfaits de cet état de fait. Fier lorsque tu frappe quelqu’un, comme pour prouver une pseudo-puissance que tu ne possède pas ; ce serait effectivement tellement plus impressionnant si tu évitais de choisir tes cibles parmi les gosses qui ont cinq bonnes années de moins que toi…

« Elémentaire, mon cher Gautier ».
Effectivement, s’il fallait comparer votre relation à un autre duo célèbre, ce serait Sherlock Holmes et John Watson, et ce sans la moindre hésitation. T’affublant parfois –souvent- de ce surnom appréciateur, Alec est en effet persuadé qu’il a trouvé en toi son digne assistant. Un niveau de déduction qui te fait surpasser dans son estime de nombreux A, il se demande même ce que tu fais chez les tomato-ketchup. Ce fut difficile, mais il a fini par comprendre et surtout accepter que ce n’était qu’une question de flemme ; dommage.
Votre passion commune efface ce léger problème de la mémoire du monoclard. Incapables que vous êtes de résister à l’appel d’un bon mystère, de laisser une énigme irrésolue, rien ne vous résiste. Que les problèmes soient sérieux… Ou non. Il arrive plus souvent qu’on ne pourrait le croire qu’ils ne le soient pas du tout, quand Alec ne les monte pas de toute pièce juste pour rire de ton expression perplexe. Question de formation ; tu as le potentiel, lui t’apprend à l’exploiter. L’investissement des deux protagonistes est total –enfin, presque. Le duo choc des détectives de Prismver. Vous avez la classe ; peut-être même plus que les originaux (on peut rêver).
Holmes et Watson dans la légende du 69 ; mieux qu’une belle expression, ca pourrait être le titre d’un best-seller. LEUR best-seller. Qui ferait un carton dans toutes les librairies. Une adaptation cinématographique est d’ores et déjà à l’étude.

Toi. Le prof que personne ne veut avoir. Et Alec encore moins que tous les autres. En soi, être surnommé Alecnounet est relativement supportable ; que ce soit par son enseignant d’anglais, celui-là même qui a au même moment une expression perverse gravée sur le visage, c’est déjà nettement plus dérangeant. A donner des frissons dégoutés à monsieur Wellsenstein, à lui faire redouter ta vision, à lui offrir des cauchemars sur un plateau.
Mais évidemment, si c’était là le seul problème qu’il rencontre avec toi, ce serait trop simple et Pirsmver ne serait pas Prismver. Plus collant qu’une moule à son rocher lorsque tu décide de t’acharner sur lui ; inutile pour le jeune homme de courir lorsque tu t’es décidé à lui faire un câlin. Srsly. Un prof qui fait un câlin à son élève ; why so louche. Il a tout essayé pour éviter cette torture ; la fuite discrète par la porte de secours, le demi-tour précipité quand il entend ta voix, le lancer d’autre élève pour te dégoter une autre cible avant que tu ne t’acharne sur lui.
Il a même poussé l’effort jusqu’à acheter des galettes pour faire diversion (franchement, quelle personne saine d’esprit aurait une telle obession ? HEIN ? Personne, c’est ça la réponse que vous cherchez). Rien à faire. Impossible d’avoir la paix. Tu ne comprends rien ; ou ne veux rien comprendre. Et les rumeurs commencent à circuler. ARGH. Même pour Alec, il est dur de démentir, surtout quand tu lui saute dessus au beau milieu d’un couloir. Victime d'un pédophile, qu'il est.
Qu’a-t-il fait pour mériter ça ? Probablement été trop radin au moment d’acheter des dictionnaires.

Tu es un artiste. Vraiment. On pourrait croire que c'est normal, étant donné que tu enseignes l'Art Plastique, mais toi... Tu sais vraiment tout faire. Peinture, sculpture, dessin? No problem, en deux secondes, tu sors une oeuvre d'art devant les yeux ébahis de tes petits élèves. On pourrait croire que c'est d'une simplicité enfantine.
Et rien que cet état de fait suffit à t’assurer un statut particulier au sein de la gent professorale.
Mais Alec a beau épier le moindre de tes gestes avec une attention des plus soutenues -et sans doute des étoiles dans les yeux qu’il ne peux faire disparaitre- dès que tu t'engages dans la voie de la création, il n'arrive pas à comprendre comment tu fais –preuve s’il en est qu’il n’y guère de mode d’emploi valable pour obtenir ce genre de capacités. Plutôt que de la jalousie face à sa propre incapacité dans le domaine artistique, il croit ressentir quelque chose comme de... L'admiration. Oui, lui, il admire quelqu'un. Cette énorme blague, wahou. C'est pas facile à assumer, alors il la boucle, mais il n'empêche que oui, il t’admire.
En cours, il se pose au fond de la salle, il se tait, il observe. Silencieux et discret, il demande juste qu'on lui fiche la paix, parce qu'en art il est... Un complet incapable. Ouais, il a de grandes connaissances à propos de ce qui se fait dans ce domaine, imbattable en histoire de l’art n’étant pas qu’une hyperbole lorsqu’on parle de lui, mais il est COMPLETEMENT incapable d'en produire lui-même –ou bien beaucoup trop exigeant pour reconnaitre comme acceptable ce qu’il peut fournir. Apprenez-moi monsieur, que demandent ses yeux braqués sur toi au moindre mouvement que tu execute. Mais plutôt crever que de laisser ces mots franchir ses lèvres. Si jamais un jour tu lui pose la question, il ne te répondra que d'un rire condescendant.
Parce que c'est son orgueil qui est en jeu, hu hu hu.

Camarades de classe et bien mieux encore ; lorsque vos ennemis communs se profilent à l’horizon, vous formez soudainement un duo inébranlable. Soutien mutuel en cas de conflit ouvert oblige. Gentleman en haut-de-forme et bad boy tatoué ; de quoi mettre tout le monde d’accord. Cynique et indifférent l’un comme l’autre ; des conversations blasées à l’appui, vous vous rendez compte que vous partagez plus qu’une salle de classe. Quelques points communs ; suffisamment pour qu’Alec se permette de te taquiner.
T’appeler « petit saule » malgré tes deux centimètres de plus que lui –sans doute n’assume-t-il pas d’être dépassé de si peu ; t’asséner avec conviction que la cigarette, c’est mauvais et l’alcool tout autant ; chercher le moindre prétexte pour te lancer une remarque acide dont il a le secret.
Rien ne semble te pousser à bout ; peut-être même cela t’amuse-t-il ? Tant mieux. Il a beau ne pas apprécier tes tatouages, monsieur Wellsenstein a fini par estimer celui qui les porte. Dans la maigre portée qu’il est capable de donner à ce mot, évidemment. Mais après tout… Tu es un A. Et puis il faut bien avouer que ton côté froid en permanence attise sa curiosité.
Dommage qu’il ne t’accompagne pas en soirée ; il aurait percé le mystère depuis longtemps. Se serait-il lassé aussitôt ? Peut-être. Qui sait.

CE PUTAIN DE CAUCHEMAR AMBULANT. [U.C]
Je suis celui qui pénètre votre cerveau. Je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien. C’est moi qui décide aujourd’hui ce que vous allez vouloir demain. L’idéal, serait que vous commenciez par me détester avant de détester l’époque qui m’a crée. Mais je ne vais pas travestir la vérité : je ne suis pas un gentil garçon, je suis une grosse merde. Un héros moderne, quoi.

Je suis celui qui pénètre votre cerveau. Je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien. C’est moi qui décide aujourd’hui ce que vous allez vouloir demain. L’idéal, serait que vous commenciez par me détester avant de détester l’époque qui m’a crée. Mais je ne vais pas travestir la vérité : je ne suis pas un gentil garçon, je suis une grosse merde. Un héros moderne, quoi.

Une team du roxxor qui tue. Elle déchire tout sur place : la plus invulnérable équipe de tout Prismver, le duo choc et surtout le plus classe de tous les temps. Vous puez littéralement la classe à des kilomètres à la ronde. Quand la team Alec-Lemon arrive, elle fait flipper sa race à la future victime, pire que toute la classe de E réunie. Parce qu’elle est tellement pluuuuus crédible. Vous l’insultez, il comprend rien, Alec lui fait perdre la mémoire, il est foutu, tu l’accables d’ordres aberrant, il est mort. Pour snober les gens, ensemble, vous êtes juste trop forts, et c’est ce qui vous rapproche. En plus de tes cookies.
Les rumeurs courent ; mais jamais vous n’envisageriez de former le couple empli d’amour que les gens croient parfois voir en vous. Preuve s’il en est besoin ; vos meilleurs cibles d’entrainement ne sont autre que vous-même. Stage de perfectionnement au snobage en interne ; c’est exactement cela. Les phrases cassantes fusent, le mépris, s’il est complètement feint, n’en est pas moins présent. Une remarque sur son monocle, réponse avec ta robe bleue why-so-cheap, enchainement avec une moquerie à propos de son haut-de-forme, conclusion sur ta petite taille. Le moindre prétexte est bon pour prétendre qu’entre vous il n’y a que de la haine ; et pourtant, ce sont autant de preuves de votre excellente entente actuelle. Le jour ou vous n’exprimerez pas votre estime mutuelle de la sorte, il faudra sérieusement s’inquiéter ; ce sera le signe que l’un de vous est malade, gravement.
Super potos de la mort qui déchirent tout ; Alec&Lemon, Lemon&Alec, rien à rajouter. Vous vous suffisez à vous-même.

« C’est Alec, m’sieur. »
T’entend-il prononcer d’autres mots ? Oui, mais jamais autant que ceux-ci. Quel que soit le sujet abordé, quelle que soit la personne qui parle, parfois même avant la fin de la phrase. « Mon poisson rouge dépériiiiiiiiit T_T » « C’est la faute à Alec. » « J’ai perdu mon stylo, fais chier. » « Tout ca c’est à cause d’Alec, t’façon. » « Qui est-ce qui aurait u… ? » « Alec. »
Lassant ; surtout lorsqu’on vient voir le monoclard pour lui demander pourquoi les fourchettes ont quatre dents. Comme s’il en était responsable. Il sait pas ; est-ce qu’il y a marqué ‘’préposé aux couverts’’ sur son front ? NON. Les plus jeunes pensionnaires qui lui demandent les larmes aux yeux pourquoi il a fait mourir leu poisson rouge alors qu’il n’a jamais vu la bestiole en question de sa vie ; amusant au départ, mais rapidement blasant.
« Qui est volontaire pour la dissection de l’œil de cheval ? » « Alec, m’dame ! »
Heureusement pour les nerfs du principal concerné, il arrive que tu te fasses prendre à ton propre jeu. Il faut un binôme pour les travaux pratiques, n’est-ce pas ? Tu es la victime toute désignée. Comme pour la chasse aux souvenirs de Monsieur Wellsenstein ; a défaut de posséder les siens, il fait la collection de ceux des autres, des tiens notamment. Tu trouve ça louche ; tu cherche, tu observe, tu veux comprendre le mobile qui anime ce hobby si étrange. C’est simple ; plus il a de souvenirs, plus il a de pouvoir sur toi. Ton regard scrutateur à l’affut ne suffit pas ; le don d’Alec est d’une nature soigneusement gardée secrète.
Frustrant, agaçant, sans doute, d’être encore au point zéro après tout ce temps. Sans doute est-ce pour cela que tu essaie de le corrompre avec des cookies ; il ne lâche pas le morceau mais avale volontiers les friandises. Muffin pas muffin.

Besoin d’argent. Ca arrive même aux meilleurs. Alec avait effectivement besoin de prism ; et qui pouvait lui en prêter ? Oh. Toi.
Camarade de classe estimée naïve, gentille, bref, cible facile au premier coup d’œil. Exactement les raisons pour lesquelles le monoclard ne t’avait parlé jusqu’ici ; mais cette fois, cet obstacle à la communication entre vous faisait de toi la cible idéale pour étendre ses ficelles. Jouant les manipulateurs avec toi-même dans le rôle de la marionnette, il lui fallait théoriquement peu d’afforts pour obtenir ce qu’il voulait.
D’autant que le destin, prenant le visage de votre professeur, lui a filé un sacré coup de main : amorcer le contact fut bien plus facile une fois que vous vous êtes retrouvé en binôme pour les besoins d’un exposé. Agacant et inutile, sujet trivial à traiter, mais au moins, Alec a pu profiter de cette opportunité pour mieux te cerner. Mieux et surtout plus rapidement. Puis apprendre au passage que tu étais anglaise. Anglaise. God save the Queen. And the tea.
La similitude vous a rapproché ; tu as eu de la chance, il s’est avéré moins pénible que prévu pour Alec de jouer au gentil. Sans trop se forcer, il continue ; et récupère ainsi lots davantage, évidemment. Trop gentille, tu fais ses devoirs lorsqu’il a lui-même la flemme ; tu lui prête des prism s’il n’a pas l’audace de t’en demander trop . Peu à peu, il s’est mis à t’apprécier ; tant et si bien qu’il te demande désormais davantage si tu veux aller voire un thé avec lui à la fin des cours que si tu peux lui donner des trucs random.
Mais ce n’est pas pour autant qu’il s’arrêtera d’essayer de profiter de toi. Au sens chaste du terme, évidemment.

Instant de faiblesse ; s’ils sont rare, une seule fois suffit. Alec s’est laissé aller à l’un d’entre eux, et il a fallut qu’une fille aux longs cheveux roses choisisse cet instant pour débarquer. La demoiselle en question étant toi, évidemment. Ce n’est pas faute d’avoir tenté de s’isoler le mieux possible, pourtant ; mais les tours de passe-passe de ce genre, étant donné ta phobie, tu dois les connaitre mieux que personne. Difficile à supporter pour sa réputation, et pourtant ce n’est pas ce à quoi le jeune homme a pensé en premier lieu. Adolescent désœuvré, il est allé jusqu’à t’expliquer la cause de son malaise ; difficile à supporter au quotidien, son amnésie.
Suffisamment délicate pour rester discrète ; le problème ne venait pas de toi, mais rapidement, monsieur Wellsenstein n’a pas assumé. Effacer tes souvenirs de cet humiliant évènement fut l’histoire de trois secondes ; être pris de regrets… Une petite semaine. Oui, Alec lui-même, ce monoclard prétentieux, a été pris de regrets. Evénement suffisamment rare pour être souligné. Te rendant en mode ninja ce qu’il avait pris ; plus qu’une capacité à mettre sa fierté de côté, ce fut cette fois une besoin. Celui d’enfin pouvoir assumer qu’il reste un gosse paumé dans sa vie. Avec au moins UNE personne. En la suppliant de rester très discrète à ce sujet.
Que la dépendance ne reste pas unilatérale ; lui aussi t’écoute lorsque tu as besoin de parler d’une chose qui te gâche la vie plus que tout le reste. Ton ochlophobie, évidemment. Difficile à porter, il s’en doute.
Mais il ne faut pas croire que vous passez votre temps à chouiner sur les problèmes que contiennent vos vies, non. Vous restez des A, narcissiques et diablement intelligents. Capable de soutenir des conversations over-complexes ; tellement que personne d’autre que vous n’est en mesure de les comprendre une fois que vous êtes lancés. Sooooo classious. Toujours plus que l’est Alec lorsqu’il s’enfuit face à ta baguette de bois.

Grand méchant de blockbuster américain ; Alec aurait pu l’être, probablement. Il a le charisme, la prestance et surtout l’égoïsme qui en feraient un bon ; mieux, il a le côté manipulateur et cynique qui en ferait un excellent. Attachant et détestable dans le même temps.
Toi ce n’est pas en méchant que tu le vois ; plutôt en personnage de conte. Rares sont les gens qui ont le courage et surtout le gout nécessaire pour s’habiller comme monsieur Wellsenstein ; qui aurait aujourd’hui l’audace de porter un monocle ? Surtout avec autant d’aplomb ? Personne, à part lui. Du moins à Prismver. Voilà qui est suffisant pour attirer ton attention et te permettre de déployer à ce sujet des trésors d’imaginations, le transférant d’un air rêveur dans des histoires pour enfant.
Monsieur ne se demande pas ce qu’il lui vaut cette attention toute particulière ; il se demande quelle raison valable choisir parmi les dizaines qui lui viennent en tête. Se doutant que son accoutrement est why-so-classe en plus d’être immédiatement cataloguable à part, il a fini, petite enquête personnelle à l’appui que ton intérêt à son sujet venait de là. Mais il n’a guère les détails, et d’ailleurs, tant que tu l’admire, il s’en contrefiche. Satisfait d’avoir enfin rencontré quelqu’un avec suffisamment de gout pour reconnaitre que son style pue l’awesomance, il ne cherche pas plus loin ; d’autant qu’il a un peu de mal à te cerner.

Fangirl ; Alec connait la définition du mot, plus rarement a-t-il l’occasion d’en rencontrer ; mais c’est encore moins souvent qu’il a eu l’occasion d’en croiser dont il était la cible –normal. Et te voilà arrivée dans sa vie. Charismatique, intelligent, à ce qu’il parait, il t’impressionne dans le sens positif du terme.
Evidemment, ce sale narcissique de monoclard adooooooore avoir une admiratrice qui considère la moindre de ses actions avec admiration. Ca flatte son égo déjà bien fourni, ce qui est loin de lui déplaire. Allant à l’encontre de ses principes pour faire davantage encore plaisir à sa fierté en te donnant des raisons supplémentaires de l’admirer, le monoclard t’a même fait une démonstration en règle de son don. Comptant sur ta discrétion pour éviter que tout le pensionnat ne soit au courant, évidemment ; sinon c’en est fini de son impunité et les cibles d’entrainement extrascolaire seront plus difficiles à exploiter impunément.
Mais bien sûr, grande fan implique grandes responsabilités. Comportement irréprochable à l’appui, il masque son côté le plus sombre ; égoïsme et vantardise, pour ne montrer que son côté gentleman sitôt que tu es dans les parages. Manipulation positive pour te prouver que tu as eu raison d’intégrer son fanclub et que tu lui fasse de la pub. Awesome, veut-il te montrer qu’il est ; en plus de maitriser son don à la perfection.
S’il t’utilisait au départ uniquement pour se mettre en avant, peu à peu, il a cherché à comprendre ce qui se cachait derrière ton côté impassible en permanence ; il t’estime d’ailleurs en premier lieu pour cette capacité impressionnante que tu possède de ne laisser filtrer quasiment aucun expression sur ton visage. Alec aime relever les défis, surtout lorsque ceux-ci touchent à un domaine ou il excelle et rencontre donc rarement de difficultés ; chercher à comprendre ce qui se passe en réalité sous ton crâne est devenu un passe-temps fort intéressant. Enthousiasmé par la conception si particulière de la vie que te donne ta religion qu’il est somme toute rare de croiser au pensionnat ou par les expériences que tu fais dont il se fait un devoir d’expliquer les ratés, le monoclard te trouverait presque… Attachante.

Ce n’est guère pour cela qu’il s’y est inscrit, évidemment (plutôt pour profiter des locaux en toute impunité) ; mais le club de musique permet aussi de faire des rencontres. Parmi toutes les salles disponibles, il y en a une qu’Alec préfère ; et il a fallut qu’un jour, ce fut celle-ci que tu choisisses pour jouer du piano. Evidemment, il s’avérait difficile de protester, monsieur Wellsenstein a donc fermé son grand caquet. Il s’est contenté, sans émettre le moindre bruit, de t’écouter jouer. Même s’il ne s’en souvient plus, il a toujours adoré cet instrument.
Ne semblant pas détester toi non plus le violon, le monoclard a joué de l’archet. Ecouter vos qualités respectives de musiciens –et elles sont étendues, c’est un fait- fut une expérience fort intéressante ; votre discussion suivante l’était tout autant. De vastes connaissances en musique des deux côtés ont donné lieu à une conversation riche et plaisante, surtout pour l’ennuyé chronique que reste Alec. Une possibilité d’amitié s’esquissait à l’horizon. Dommage qu’une remarque de travers sur tes ongles de la part de ce grand dadais de monoclard fuse. Assortie à ta susceptibilité quasiment maladive, ca ne pouvait que poser un problème majeur à la construction de quoi que ce soit de positif.
Tragique incident ; et pourtant, Alec jugeait si important pour une pianiste d’avoir une manucure impeccable… Pendant quelques jours, la moindre tentative de renouer le dialogue était vouée à l’échec ; tu changeais de couloir dès que tu voyais son ombre y apparaître. Hallucinant.
Trop fier pour s’excuser, d’autant qu’il ne jugeait pas être en tort et avait plutôt tendance à s’en ficher complètement, il a laissé couler. Jusqu’au moment ou il avait besoin d’une pianiste pour l’accompagner sur un nouveau morceau. Il eut beau chercher, il n’en connaissait pas de meilleure que toi à Prismver ; et c’est bien connu, Monsieur Wellsenstein ne prend que le meilleur. Les excuses eurent du mal à passer du stade ‘’pensé’’ au stade ‘’prononcé’’ ; mais pour le bien de la musique, il a fait cet effort considérable.
Et au moins, vous avez pu jouer ce fameux morceau.
Maintenant, vos relations sont probablement qualifiables de… Cordiales.

Toi. A la masse. La sale chieuse. Oui, voilà, toi.
Le genre de sympathique qui va se jeter sur Alec au détour d’un couloir pour lui enfoncer de force une serviette hygiénique dans les mains en ricanant comme une forcenée. Avec la petite phrase qui achève de ruiner TOTALEMENT la réputation du monoclard. « Tiens, bébé moule, c’est pour tes fuites. ». Quel est le problème principal, dans cette phrase ? Je vous laisse choisir entre le mot « bébé », « moule », ou « fuites ». Surtout fuite, en réalité ; le jeune homme vire paranoïaque, parce que bientôt, tout le monde va croire qu’il est VRAIMENT atteint de problèmes urinaires ce qui, soyons franc, est franchement humiliant avant soixante ans.
Méfies-toi. Cette façon que tu as d’entacher sa crédibilité, tu pourrais la payer en mangeant des serviettes usagées bien dégoutantes. Incapable de les toucher lui-même tellement l’idée le répugne ? Alec trouvera bien quelqu’un pour t’imposer cette souffrance à sa place.
Non. C’est une blague. S’amusant à te surnommer Carmina Burana, si tu agaces Alec, c’est sans doute parce qu’il te considère comme une sœur. Une petite sœur moule, voila. Même s’il te tape (personne ne le croit quand il dit que c’est toi qui commence, alors il a arrêté d’insister…), même si tu as beau lui demander 15 fois par jour, il refuse toujours de faire tes devoirs, il t’aime ; et après tout, tu es sa meilleure alliée dans la quête de la reconnaissance de la suprématie moulière sur la force huitrière. Sisi, tu peux pas test.
De toute façon, le premier qui vient te faire chier ira ramasser ses dents –celles-là même que monsieur Wellsenstein aura fait voler.

Honnêtement. Est-ce que quelqu’un aurait pensé une seule seconde qu’Alec te laisserait le surnommer « super détective Alecosmos » ? Non. Et pourtant, les faits sont là. Toujours aussi franchement, est-ce qu’on aurait pu imaginer Alec se prendre pour une licorne et répandre du coeurcoeurcoeurlovelove sur Prismver ? Seriously ? Nooooon. Ca ne colle pas avec le personnage, évidemment. Ils auraient eu raison, ceux qui auraient ri au nez de l’imprudent ayant l’outrecuidance de formuler des hypothèses aussi saugrenues. Monsieur Wellsenstein non plus n’y aurait pas cru. Et cependant.
La team Espace existe bel et bien. Faut-il t’appeler Laxia ou « très respectée détective poney Galaxia » ? Peu importe. Le monoclard se demande encore comment il a pu se laisser embrigader là-dedans. Disposant sûrement d’arguments plus solides que ce que tu en as l’air, tu l’as convaincu. Il faut croire que cela passe le temps, de pourchasser des monstres –plus ou moins- imaginaires. Même s’il a probablement l’air ridicule, peu importe au jeune homme ; l’essentiel étant que cela fasse passer plus vite les heures durant lesquelles il s’ennuie. Problème récurent chez lui.
Sauver le monde de gros monstres hideux n’est pas compliqué en soi ; ceux-ci courent les couloirs de l’établissement. Ils ne prennent pas la forme qu’on leur donne dans les libres pour enfants, verts et pleins de pustules, oh que non (quoique, pour les pustules…). Mais plutôt la forme d’humanoïdes moches qui s’habillent sans aucune classe et qui, parfois, PUENT. Quelle horreur ; impossible pour Alec de supporter cela sans essayer d’intervenir. Ce qui vous fait déjà un boulot monstre. Parce que ce que tu appelles culture licornesque, ca peut être du gros délire rose bonbon en mood licorne, mais ca peut aussi être l'enseignement des bases du bon gout. Enfin, en ce qui le concerne.
L’équipe est supposément trop géniale ; là-dessus, vos avis s’accordent. Mais quant à être un duo top secret… Alec est pris d’un doute. Mais peu lui importe ; ca roxx et basta. Pas de discussion possible sur ce point du débat. Il t’apprécie sincèrement ; tu as beau voir la vie en rose bonbon, lui qui ne supporte ordinairement que difficilement les gens niais là ou son intelligence du monde est exacerbée, il t'apprécie justement pour cela. Sympa tu l'es; et avec toi, il s'amuse sans se prendre la tête. C'est... Reposant, parfois, de jouer les abrutis. Pas trop non plus, je vous voie venir. Alec reste Alec.

Trop fragile pour durer, ca va vous péter à la gueule incessament sous peu. Obligatoire et joué d’avance. Sur certains points, vous vous ressemblez trop pour avoir une relation saine, quelle que soit la force de la musique qui vous a rapproché à la base. Elle est capable de prouesses, elle adoucit les mœurs ; tout ceci est vrai, mais il y a des limites à tous les miracles.
Des caractères houleux en opposition, qui manquent souvent de s’accrocher. Effort de volonté qui jusqu’ici a empêché l’explosion. Et pourtant, on peut aisément affirmer que vous n’êtes pas faits pour vous entendre. Pour conserver ce sentiment chimérique de bonne entente que vous avez cru ressentir autour du piano ; miracle musical. Mais pour combien de temps serez vous prêts à consentir des efforts, et surtout, de quelle envergure maximale seront ceux-ci ?
Tout ceci ne tient qu’à un fil. Tout ceci renvoyant à quelque chose de si fragile qu’il en est cristallisé. Aucune évolution positive possible, une attention de tous les instants. Sachant qu’une fois que le cap sera franchi, plus rien de bon ne pourra ressusciter des cendres de l’explosion ; l’un comme l’autre trop fiers et incapables de faire le premier pas vers une quelconque réconciliation.

Cherry. Tu es… Le genre de fille qui ne mérite pas ce qualificatif. Grossière, agressive, dénuée de toute classe ou de la moindre distinction. Aussi peu élégante que futée, tout juste bonne à agresser les gens et rêver en secret de se taper des profs. Oui, parce que si tu te crois discrète, petite gérontophile, à tourner autour du prof d'art plastiques avec des yeux de biche en rut, tu te fourre le doigt dans l'oeil, et jusqu'au coude s'il vous plait. Il parait que tous les gouts sont dans la nature et qu'il faut faire preuve de tolérance, mais... Beurk. Juste ça. Beurk.
Comment te dire ça, Cherry chérie? C'est perdu d'avance, parce qu'en plus d'avoir des manières de camionneur alcoolique, tu n'es même pas belle... Dommage pour toi.
Y’a-t-il besoin d’en rajouter une couche ? Alec peut s’en donner à cœur joie si c’est necessaire.
En plus, tu n'as tellement rien à faire de cette vie que tu vas sans doute finir dans un caniveau parce que tu es bel et bien incapable d'en faire autre chose, que tu l’attends à la sortie des cours. Pour parler poésie et organiser votre prochaine soirée, évidemment.
Srsly, qui y a cru, à cette grosse blague ?
Inévitablement, ca part en live. Dès que vous vous voyez, la tension monte d’un cran, comme dans les mangas, on voit vos auras qui s’accrochent. Peut-être qu'un jour même tu en viendras aux poings, qui sais ? Ce que sait le monoclard, c'est que, fille ou pas fille, il répondra avec le même mode d'expression. Pour l'instant, vous vous contentez de mots, il n'empêche que c'est tout aussi violent. Vos battle verbales valent souvent le détour, parfois vous avez même des spectateurs ou amusés ou choqués. Parce que même si en apparence, monsieur garde son calme, elles peuvent être très tranchantes.
Au fond, peut-être que vous aimez ça. Il doit y avoir une raison pour que vous vous acharniez à vous cracher à la gueule comme ça. Parce que l’autre ne se laisse pas faire, que vous trouveriez un plaisir jouissif si enfin il la fermait, tout simplement ? Parce qu’enfin, vous avez trouvé un adversaire à votre mesure ? Parce que votre esprit vindicatif vous interdit toute forme d’abandon ?
Qui sait.

Inconnus de A à Z. C’est le cas de le dire. Tout ce qu’il a de toi, ce sont des mots et une lettre comme signature. Z. Une initiale ? Comment Alec pourrait-il le savoir ? Tout ce qu’il connait de toi, ce sont des renseignements qu’il a obtenus à force de déductions. Jeune demoiselle passionnée par les arts, avec qui il est possible d’avoir à ce sujet des conversations intéressantes ; des avis divergents certes, mais une réflexion suffisamment construite pour permettre de soutenir un débat agréable. Accordant un intérêt tout particulier pour le violon : coïncidence presque trop amusante pour être jugée comme telle, et pourtant.
Une erreur de destinataire dans le LMS, un monoclard qui se prend pour un escroc et joue le jeu, se mettant au défi d’en apprendre le plus possible sur la propriétaire du crétin de lézard qui peut se tromper ainsi de destinataire. Il n’en faut pas plus pour établir une correspondance avec une inconnue. Bourré de préjugé, monsieur est déjà persuadée que tu es dans les hautes couches des classes prismverienne, soupçonnant même de correspondre avec une camarade, sinon de classe, au moins de groupe.
Quelle atroce surprise il aurait si jamais un jour, la vision de ta personne en chair et en os devait détruire tous ses espoirs….

Professeure de musique. Voilà au moins un membre du corps enseignant qu'Alec est susceptible d'estimer. Pratiquant lui-même le violon avec assiduité, il n'est pas rare que vous vous retrouviez à discuter de cette caractéristique partagée qui vous rapproche. Ou de la musique de manière générale; fervent appréciateur d'art, le monoclard est capable de soutenir la conversation avec quelqu'un dont c'est la spécialité, ce qui est, évidemment, ton cas. N'hésitant pas à rester à la fin des cours pour cela; évènement suffisamment rare pour que ce soit souligné, privilège qui t'est accordé. Perfectionniste et haïssant la saleté tous les deux; que de points communs poussant votre relation vers le positif. Peut-être qu'un jour il t'invitera à manger du kiwi avec lui.
Te draguer? Que nenni. Ayant appris que tu étais dénuée du moindre pouvoir, il ne peut s'empêcher de s'inquiéter; les pensionnaires sont, ici, souvent plus dangereux qu'ils n'en ont l'air. Malgré ton rang de professeur, tu reste relativement jeune et surtout complètement désarmée. Il s'est spontanément posé en protecteur; ta petite taille a sans doute fait oublier à ce grand dadais que tu étais, techiniquement parlant, son supérieur hiérarchique. T'appréciant, suffisamment pour te proposer son soutien en cas de problème. Te demandant régulièrement si tu n'as pas rencontré de difficultés; il sait à quel point les gens peuvent avoir envie de s'attaquer à quelqu'un dénué de ce qu'ils ont la chance de recevoir à la naissance, lâches qu'ils sont. Tu es la seule violoniste digne de ce nom à Prismer, et une enseignante appréciable. Normal qu'il prenne ta défense.

Vous savez a quoi vous me faite penser avec vos chaussures à quatre sous et votre sac à main bon marche agent Starling ? À une fille de ferme, une fille de ferme endimanchée sans le moindre bon-gout. Une alimentation correcte a fait de vous une fille solide mais vous n’êtes qu’à une génération de la pauvreté crasse. Que fait votre père est-ce qu’il descend dans la mine ? Est-ce qu’il empeste de le charbon ? Et ces tâtonnements pénibles et moites a l’arrière des voitures pendant que vous ne rêviez que de partir, de vous sortir de la, et d’entrer enfin au F.B.I....